Remarquable intervention d’Emmanuelle Duverger-Ménard à l’Assemblée nationale le 4 août 2017, à propos du projet de loi pour la confiance dans la vie politique :
Si plusieurs articles de cette loi méritent que l’on s’interroge sur leur pertinence, voire sur leur légitimité, c’est sur l’article premier de la loi ordinaire que je voudrais revenir. Cet article est un véritable attentat, un véritable crime, une véritable forfaiture à l’égard de la liberté d’expression. Elle équivaut à criminaliser des opinions qui n’ont pas l’heur de vous plaire. En menaçant d’inéligibilité quiconque se verrait condamner pour diffamation, injure, discrimination, c’est le droit de ne pas penser comme vous que vous bafouez. Vous cédez à l’air du temps, à l’emprise médiatique, à ces pseudo-associations de défense des droits de l’homme, vous vous transformez en véritables chiens de garde de la police de la pensée.
La loi a néanmoins été votée…
Source : Résistance Républicaine
Commentaire de Georges Brazon sur Riposte Laïque
Vidéo : menard2017.fr via Vlad Tepes blog, extraits transcrits par Cenator pour Les Observateurs
https://www.youtube.com/watch?v=rZ4oUxGy3c8
Chapeau bas Madame.
Vous êtes malheureusement d’une race en voie d’extinction.
D’ABORD UNE MAGNIFIQUE PERSONNALITE, qui sait prendre sa place et la parole. Une parole claire sans agressivité. (Marine devrait s’en inspirer – Marion avait aussi ce talent)
Et elle dit clairement que nous entrons dans une police de la pensée, que nous allons “facilement avoir le verbe coupable” et que la castration de la parole commence.
Fallait-il s’attendre à mieux de la part de ce gouvernement, qui prépare la France au multiculturalisme à outrance, non pas pour plaire à ces nouvelles cultures, mais pour les exploiter.
Chers immigrés, Il faut bien vous offrir une compensation : je vous exploite mais je surprotège vos manières de concevoir le monde dont par ailleurs je me fous éperdument.
Magnifique, Madame. Je vous présente l’expression de mon profond respect. Qui disait, je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour qu’on vous entende ?