RT est allé à la rencontre de trois femmes qui veulent révolutionner le monde de la poupée en vendant des hijabs sous forme d'accessoires pour poupées. Selon elles, un tel objet permettrait de diffuser un esprit de tolérance auprès des enfants.
A Pittsburgh, aux Etats-Unis, trois mères de familles ont décidé de combattre l'islamophobie avec des foulards «Barbie-compatible», spécialement conçus pour couvrir la tête et les cheveux des célèbres poupées Barbie.
Aux côtés de Safaa Bokhari et Kristen Michaels, Gisele Fetterman doit officiellement lancer «Hello Hijab» le 1er avril. Le foulard islamique pour poupée coûtera 6 dollars pièce et sera commercialisé par une organisation non lucrative For Good Pittsburgh, créée par les trois femmes. L'accessoire mi-religieux, mi-ludique sera par ailleurs vendu avec une notice explicative.
Paradoxe ? C'est une femme de confession non-musulmane, Gisele Fetterman, qui est à l'origine du projet. Interviewée par Ruptly, l'agence vidéo de RT, elle s'est dit convaincue de l'utilité du projet qui doit permettre, selon elle, de répondre à un vrai besoin, ainsi qu'inculquer un esprit de tolérance et d'ouverture aux nouvelles générations.
Pour Gisele Fetterman, il faut habituer les enfants à jouer avec des poupées différentes les unes des autres pour faire émerger une «génération plus gentille». «[Les nouvelles générations] verront [le hijab] comme un doux souvenir de leurs jeux d'enfance», a-t-elle ajouté.
Lors d'un entretien accordé à Ruptly, Kristen Michaels et Gisele Fetterman ont également expliqué que le hijab «miniature» serait fabriqué à partir de foulards «recyclés» et de matériaux neufs. Elles ont ainsi indiqué avoir reçu des «dizaines de hijabs de la part de femmes qui veulent que [le tissu des foulards] soit réutilisé de cette manière».
Après avoir expliquer que les enfants jouaient à la poupée Barbie «à travers le monde», Kristen Michaels a déclaré : «Il y a des femmes musulmanes aux Etats-Unis qui sont des Américaines portant le hijab, et il y aussi des femmes musulmanes aux Etats-Unis qui ne sont pas Américaines et qui portent le hijab. Elles devraient être les bienvenues ici [aux Etats-Unis]».
En 2016, le compte Instagram d'une jeune Nigériane qui publiait régulièrement des photos de sa «Hijarbie» – une Barbie habillée d'un hijab «fabriquée maison» – était très vite devenu la cible d'attaques islamophobes. Un an après, le lancement à un niveau quasi industriel d'un «hijab pour poupée» pourrait de nouveau provoquer un déferlement de propos haineux sur les réseaux sociaux.
la connerie n.a pas de frontiere et de sexe!
EFFRAYANT DE BETISE.
Tant de femmes musulmanes subissent ce port du voile, en ce monde. On dirait que cette future productrice de poupée barbie Hijabisée n’a jamais entendu parler des ces femmes qui en ont assez de subir cet Islam là.
La seule façon de la guérir, lui faire vivre un très, très long séjour en Afganistan, en Iran, et autres pays fondamentalistes et de vivre au milieu de ces femmes, de les écouter parler de leur condition
Le danger de cette barbie Hijabisée est qu’elle va être présentée comme quelque chose d’anodin tout comme la poupée en tenue alsacienne de mon enfance. Sauf que la coiffe alsacienne de la tenue réelle, n’était portée que pendant les fêtes folkloriques locales. ET CETTE COIFFE ALSACIENNE N’AVAIT PAS LA PRETENTION D’INSINUER QUE LA CHEVELURE EST TROP EROTIQUE ET QUE PAR CONSEQUENT, IL FAUT LA CACHER.
Les religions et la peur du corps dans son entier, jusqu’aux cheveux, on connaissait déjà dans le passé. MAIS VOIR CELA RESURGIR EST MONSTRUEUX.
La manipulation des petites filles ne fait que commencer. PROTEGEONS LES!
La soumission de certaines femmes bobos-gauchos islamo-collabos est sans limites. Cette “tolérance” consiste simplement à enfermer les femmes dans une prison de tissu, symbolique de l’enfermement mental qu’elles subissent dans les pays musulmans. Les occidentales qui prônent ce genre de choses sont à envoyer en Arabie Saoudite ou mieux, en Afghanistan. Elles sont bien pires que les musulmanes, ce sont des collabos, de la même engeance que les collabos avec les nazis pendant la seconde guerre mondiale. Elles mériteraient le même sort qu’à la fin de la guerre: l’exécution capitale pour haute trahison.
Desolé, mais certaines femmes sont à baffer.
Mesdames créatrices de Barbies. Êtes-vous conscientes que les musulman(e)s ne font que provoquer? Le hidjab, c’est aussi indécent que le string. D’accord, on ne “cache” pas le même attribut féminin. Quant aux poupées, elles sont tellement disproportionnées, qu’elles devraient être retirées des marchés
C’est a espérer que la charia soit appliquée au plus vite et que ces folles, avide d’argent à n’importe quel prix, soient confinées à la casba.
C’est un marché qui ne peut que se développer, d’autres accessoires sont en préparation, les petites pierres pour la lapidation par exemple, et n’oublions pas Ken, et son magnifique couteau pour égorger moutons et kouffars….
Voilà l’école de la radicalisation. Ça s’insère bien dans le système des subventions de 200.- par mois pour porter le foulard et manipuler l’opinion. Tout est bon pour la propagande, même de cultiver l’illusion. Elles oublient au passage qu’elles ne sont que les pions de l’Etat islamique qui utilise en sous-main une pseudo neutralité de l’Islam par rapport à tous leurs crimes. En fait ces femmes agissent réellement comme des complices de l’Etat Islamique. Elles sont impliquée dans la radicalisation qui commence avec le poupées, pour finir droguées avec des ceintures explosives. Et naturellement la secte des hypocrites de chez nous n’y trouve rien à redire. Le laisser-faire porte pourtant les ferments de la guerres civiles. Peut-être vont-ils aussi toucher des commissions sur le trafic d’armes que cela engendrera ?