« Entraide: migrants coincés par des contrats restrictifs »
Tel est le titre d’un article des 20minutes (28.7.2017), repris de la Basler Zeitung.
L’Entraide protestante suisse (EPER) emploie des requérants d’asile comme traducteurs avec une clause de non-concurrence. Or les Hôpitaux les engageraient avec un contrat fixe et mieux rémunéré s’il n’y avait pas la clause de non-concurrence.
Marianne Moreillon, spécialiste en droit du travail et directrice du cabinet Droitactif à Lausanne, accuse l’EPER : « Cette clause de non-concurrence est excessive, car elle compromet l’avenir économique de ces personnes ».
**************
Cenator : Et quel est le cabinet qui défend les intérêts de la classe moyenne qui se fait spolier jusqu’à la moelle par l’industrie de l’asile de la gauche ?
Est-ce que la population est avertie que les statistiques concernant les réfugiés et les requérants qui travaillent sont toutes faussées, car elles ne mentionnent pas le fait que les rares qui travaillent sont majoritairement employés dans l’industrie de l’asile elle-même. Comme gain de productivité pour la collectivité, c’est vraiment une balle dans le pied !
Et vous, qu'en pensez vous ?