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À 19 ans, orpheline, elle vit sous une toile de tente
Lucie Maquaire a perdu ses deux parents lorsqu'elle était encore mineure. Après de nombreuses de démarches, aucun propriétaire n'accepte de louer un logement à cette jeune Vendéenne.
Le témoignage
Ça fait cinq mois que j'ai planté ma tente dans la Vallée-Verte, à La Roche-sur-Yon (Vendée). C'est devenu mon chez-moi. Je la déplace tous les jours, je ne veux pas que les gens croient que je squatte. Je fais des missions en intérim qui pourraient déboucher sur un CDI. Un collègue m'emmène et me ramène, car je n'ai pas le permis. Je dois nettoyer les ateliers de coffrage ou de bardage de ferrailles. J'aurai aimé reprendre les études, mais ce futur contrat pourrait m'apporter de la stabilité. Avec mes ressources, je pourrais me payer un loyer.
Impossible de louer un appartement
Sauf qu'aucun propriétaire ne veut s'engager, car j'ai simplement 300 € de ressources fixes par mois, les salaires de mes petits boulots varient. L'État se porte garant pour moi, mais les propriétaires se méfient. J'ai démarché une quinzaine d'agences, des particuliers. Des amis m'ont proposé de m'héberger, mais ça me gênait d'y rester. Au foyer de jeunes travailleurs, ça s'est mal passé. On m'a conseillé d'appeler le 115, et je ne m'y sens pas du tout en sécurité. J'ai même ouvert un dossier pour un logement HLM, mais on m'a répondu que je ne gagnais pas assez et que je n'étais pas prioritaire, car je n'ai pas d'enfant. Sauf que dans la vie, pour avoir un travail, il faut un permis et un logement, donc de l'argent. Et pour un logement, il faut du travail...
« On ne m'a pas donné toutes les clés en main »
J'ai perdu mon père en 2012 et ma mère en 2014. Ma petite soeur, mon petit frère et moi avons été placés en foyer à La Roche. J'ai eu des relations compliquées avec les éducateurs. Je faisais un bac en spécialité musique, mais mon piano a été pris par les services. J'ai lâché les études progressivement. Comme je suis pupille de l'État, j'aurai pu consulter un avocat pour connaître mes droits, commencer à faire des démarches. On me l'a refusé car j'étais mineure.
J'ai le sentiment qu'on ne m'a pas donné toutes les clés en main pour m'en sortir. J'ai décidé de tout faire seule, pour gagner mon indépendance. J'ai refusé un contrat jeune majeur de l'ASE (1), même si cela garantissait un financement pour une formation ou l'insertion professionnelle. Mais je voulais avoir un logement à moi, pas en famille d'accueil. À 18 ans, j'ai vécu à droite, à gauche. Sans jamais m'arrêter de travailler.
« Mon histoire semble banale »
Avant de savoir que je pouvais toucher une partie de la retraite de mes parents, les nombreuses administrations se sont renvoyé la balle entre elles, avant que cela ne débouche sur du concret.
J'ai démarché les assistantes sociales, la CAF, l'Aide sociale à l'enfance, le Centre communal d'action sociale, la Mission locale, sans trouver de perspectives stables. Il y a tellement de situations complexes ici, mon histoire semble banale aux éducateurs. Aujourd'hui, la seule chose qui me manque, c'est un logement stable. Jusqu'à ce qu'on accepte de m'en louer un... »
(1) L'Aide sociale à l'enfance. Un contrat jeune majeur peut être proposé à un jeune majeur, jusqu'à ses 21 ans. L'hébergement peut se faire chez des assistantes familiales départementales, en hôtel, en foyer, voire en appartement.
Source Via Contre-Info
Bonjour
Dans le cas où tu voudrais changer de région par exemple vivre dans le Cantal Auvergne et aimer la nature les animaux nous sommes prêts à t accueillir à la ferme appartement meublé independant
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C est hallucinant. Cette société de m…. j espère que tu vas trouver. Je te souhaite que tu trouves une personne de ton coté qui puisse t aider dans ta ville
C est incroyable pour cette fille qui est française et qu’ aucun politique ne puisse l aider y a t il un député de la rem??? Ou ne sont-ils que des postiches?
C est dommage qu elle ne soit pas migrante. ….
On entretien des cohortes de glandeurs-profiteurs-opportunistes et faux-réfugiés. Qui se plaignent de la nourriture ou de n’avoir pas de réseau pour leur I-phone-gri-gri, qui ne remercient jamais. Qui dealent, volent, cambriolent et même violent nos femmes et nos filles. Et là, nous avons une jeune fille orpheline qui est est dans son pays et qui n’est pas aidée. Alors qu’elle est honnête, travailleuse et cherche sa place dans sa société. Et bien, bande de tarés qui faites les choses à l’envers du bon sens, qui aidez des parasites qui, en plus, nous détestent, le jour ou la population se réveillera vous la sentirez passer.
Honneur et respect à cette jeune fille et courage à elle. J’espère que son appel sera entendu et lui souhaite le bel avenir auquel elle a droit.
Cette jeune fille est remarquablement courageuse…..et déterminée…
Monsieur Ph.de Villiers…vendéen…comme cette jeune orpheline….pourriez-vous lui donner un coup de main?
L’embaucher…au Puits-du-fou afin qu’elle est un salaire digne et autres propriétaires francais…offrez un studio en location….
De Grâce…aidez cette brave jeune fille francaise….elle le mérite!!!!!
Voilà où la France est arrivée….elle laisse ses enfants dans la rue…mais s’occupe….avec ardeur de ceux qui veulent l’envahir….
Quelle foutue société de décadence!!!!
Idem…partout en Europe….honte ..honte à ces gouvernants!!!!
A force de nous prendre pour des cons ça finira par une désobéissance légitime et une réaction qui couve déjà… quand ça pètera à la gueule de ces gouvernements félons ils ne pourront même plus mettre en avant leur argument-clé de
” fascisme, de nazisme, de nationalisme, du retour aux snif ouin ouin pires heures sombres de l’Histoire snif ouin ouin … relents nauséabonds ouin ouiiin snifff sniff… chemises brunes ouiiiin ouiiin… etc “ah ah ah ces poncifs éculés et surannés ne marchent plus car hors contexte et hors sujet! C’est quand même marrant de constater que le vocabulaire ténu des gauchos-islamo-collabos pour défendre l’intolérable ne tient que sur un post-it et emploie constamment les mêmes termes depuis 40 ans, comme cela pourrait être le cas d’un matraquage publicitaire pour une pub de lessive… “frais, propre, blanc, facile, pimpant etc.” ah ah ah! La mayonnaise ne prend plus et la moutarde risque de piquer dans la décennie à venir …. miam mettons-nous A TABLE!
Cela fait vraiment mal au coeur. Comme c’est dur…Mais que quelqu’un se bouge pour lui préter un studio quoi !
En Suisse c’est pareil : mettre des bâtons dans les roues aux autochtones, chipoter sur ceci ou cela pour justifier les refus (“vous n’avez pas votre carte d’identité, vous ne pouvez pas faire vos tirs obligatoires” et l’amende suivra bien entendu). Mais pour les réfugiés, les chouchous/remplaçants venus d’ailleurs c’est le tapis rouge financier (“vous n’avez pas votre passeport mais vous dites être syrien et mineur en plus, c’est d’accord bienvenu en Suisse”). À quoi ça sert d’aider la terre si on est pas prêt à aider son voisin? De suspecter ses propres compatriotes de mentir, et de croire aveuglément n’importe quels immigrants? Les autres avant les nôtres, dégueulasse.