Que faire des enfants soldats de l’État islamique de retour en France ?

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Enfance en danger à protéger, ou enfance dangereuse à surveiller? Ou inextricable mélange des deux? De tous les défis du terrorisme islamiste, le retour dans l’Hexagone des mineurs des zones contrôlées par Daech est l’un des plus délicats. Pour le procureur de la République de Paris, François Molins, «ces enfants constituent des bombes à retardement». […]

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6 commentaires

  1. Posté par miranda le

    Ces enfants ont tellement été instrumentalisés, qu’il sera presque impossible de les “décontaminer”

    Pourront-ils jamais, un jour, aimer vivre en occident. on ne peut pas le croire.
    Pourront-ils jamais s’extirper de la violence et de l’horreur auxquelles ils ont été habitués?
    Pourront-ils jamais reconnaître que ce qu’on leur a demandé d’exécuter n’était pas humain?

    Ne serait-il pas mieux de les élever et éduquer en territoire arabo-musulmane. Car ils seront toujours fidèles à leurs origines arabo-musulmaneS et peut-être fidèles au message islamiste de leurs parents.
    CREER EN TERRE MUSULMANE UN CENTRE EDUCATIF SPECIAL POUR EUX où ils recevraient des bases “éducatives” et l’accès à une scolarité. Et peut-être des séances de psychothérapie???

    DEMANDER AUSSI A L’ARABIE SAOUDITE ET AU QATAR DE PARTICIPER FINANCIEREMENT. que ce ne soit pas seulement à la charge de l’EUROPE.

    Les élever, les éduquer sur un territoire : “L’OCCIDENT”, que leurs parents ont désigné comme l’ENNEMI N° 1 serait une aberration.( comme si on demandait à UN NAZI FIDELE A JAMAIS AU NAZISME de se marier avec la fille du Général de Gaulle) .

    Car avec tout ce que transportent ces jeunes individus, si vous leur effacez leur seul repère, celui d’être arabo-musulmans , attendez-vous à de l’hyper-violence ou folie dans l’avenir.

    Messieurs les politiques, si vous souhaitez “les garder en vie”, ne commettez pas l’aberration de vouloir en faire des “intégrés” à la France ou à l’Europe.

  2. Posté par julia le

    COMME CLAYS HIGGINS LE CONSEILLE :
    Il est nécessaire de tuer tous les fichés S islamistes. De les rechercher, de les traquer et de les poursuivre et de les tuer sans état d’âme. Il est nécessaire aussi de mettre aux arrêts tous les soldats de daech qui entrent en France et de les tuer avant qu’ils tuent vos enfants et qu’ils violent vos femmes et qu’il égorgent vos prêtres.

    DE PLUS IL EST NECESSAIRE DE DEMANDER LA DEMISSION DE CASTANER POUR négationnisme…
    Les attentats ont été faits au nom d’Allah… Par des terroristes islamistes qui criaient Allah Akbar…
    Celui qui protège un assassin commet un deuxième assassinat. L’assassinat de la démocratie et de la liberté Républicaine est programmé par le gouvernement Macron par substitution de la charia aux droits de l’homme.

    http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/-Au-nom-de-ce-qui-est-bien-et-droit–Tuez-les-tous—20821917

    «Au nom de ce qui est bien et droit. Tuez-les tous!»
    Clay Higgins, un élu républicain du Congrès américain connu pour sa virulence, a appelé à tuer les suspects «islamiques radicalisés» après l’attentat sanglant dans la capitale britannique ce week-end.

    Pas de quartier pour les suspects islamiques radicalisés», a écrit dimanche sur Facebook Clay Higgins, ancien policier représentant une circonscription de Louisiane depuis janvier. Une photographie de l’un des assaillants présumés de l’attaque de samedi, qui a fait sept morts et des dizaines de blessés, accompagnait son message. «Chassez-les, identifiez-les, et tuez-les tous. Tuez-les tous, a-t-il ajouté. Au nom de ce qui est bien et droit. Tuez-les tous!» Le membre de la Chambre des représentants a estimé que «la chrétienté» était «en guerre contre l’horreur islamique».
    Liste des attentats commis par des musulmans en France ces 50 dernières années – attention, elle est TRES longue
    Publié par Jean-Patrick Grumberg le 22 juillet 2016

    La liste des crimes de l’islam depuis les origines, a de quoi faire tourner la tête.
    Voici plus précisément la liste des crimes de l’islam – sur le sol français cette fois.
    Ceux qui parlent d’une religion de paix et d’amour doivent confondre avec les bouddhistes.
    o=o=o=o=o
    9 janvier 1973: bombe à l’Agence juive à Paris.
    5 septembre 1973: prise d’otages à l’ambassade d’Arabie saoudite par un commando palestinien.
    15 septembre 1974: Attentat à la grenade au drugstore Saint-Germain-des-Prés à Paris, 2 morts et 34 blessés.
    13 janvier 1975: A l’aéroport d’Orly, des Palestiniens du FPLP (dont un des membres sera décoré de la médaille des droits de l’homme par Christiane Taubira) avec Carlos à leur tête, tirent au lance-roquettes et manquent un Boeing 707 de El Al, atteignent un DC-9 yougoslave. Trois blessés. L’attentat est revendiqué à Beyrouth par l’organisation palestinienne « Septembre noir ».
    19 janvier 1975: Carlos réattaque l’aéroport d’Orly et obtient un avion pour s’enfuir à Bagdad. Il y aura 21 blessés.
    10 mars 1975: Attentat de la gare de l’Est à Paris, 1 mort et 7 blessés.
    20 mai 1975: des Palestiniens tirent contre le comptoir d’El Al d’Orly, et tuent une personne.
    22 février 1976: attentat à l’Office de tourisme algérien (revendiqué par le Front de libération unifié de la nouvelle Algérie).
    2 novembre 1976: tentative d’assassinat contre Homayoun Keykavoussi, attaché culturel de l’ambassade iranienne (revendiqué par les Brigades internationales Reza Rezayi, groupe maoïste issu de la Gauche prolétarienne.)
    7 juillet 1977: tentative d’assassinat contre l’ambassadeur de Mauritanie (revendiqué par les Brigades internationales Mustapha El Wali Sayed).
    20 mai 1978: A l’aéroport d’Orly, un commando de trois hommes ouvre le feu dans la salle d’embarquement d’El Al, faisant 4 morts et 5 blessés. L’attentat est revendiqué par une organisation libanaise inconnue, « les Fils du Liban ».
    31 juillet 1978: Prise d’otages à l’ambassade d’Irak à Paris exécuté par un militant de l’Organisation de libération de la Palestine et commandité par Yasser Arafat, son président (qui recevra des obsèques nationales en France). 1 policier trouve la mort.
    3 août 1978: Assassinat à Paris du représentant de l’OLP Izz al-Din al-Kalak et un de ses assistants, par l’organisation Abu Nidal.
    2 décembre 1978: Attentat du BHV. Huit blessés dont un grave, revendiqué par
    31 août 1978: attentat au domicile d’Yves Mourousi, revendiqué par la section franco-arabe du front du Refus (10 blessés).
    27 mars 1979: Une explosion fait 33 blessés dans un foyer israélite, rue Médicis, à Paris VIe, au lendemain de la signature du traité de paix israélo-égyptien, revendiqué par une organisation antisioniste, le Collectif autonome d’intervention contre la présence sioniste en France et la paix israëlo-égyptienne.
    17 janvier 1980: Assassinat du directeur de la librairie palestinienne à Paris, Yusef Mubarak, par l’organisation Abu Nidal.
    18 Juillet 1980: L’ancien Premier ministre iranien Chapour Bakthiar échappe à une tentative d’assassinat menée par un commando iranien. 2 personnes sont tuées et 6 sont blessées durant l’attaque.
    3 octobre 1980: Une bombe dissimulée dans la sacoche d’une moto explose devant la synagogue de la rue Copernic, à Paris XVIe. 4 morts et une vingtaine de blessés. Trente-quatre ans après, en novembre 2014, un suspect libano-canadien, Hassan Diab, est extradé du Canada et écroué en France. Considéré comme proche du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), il est accusé d’avoir confectionné et posé la bombe.
    29 août 1981: attentat par un groupe terroriste palestinien à l’hôtel Intercontinental à Paris. 15 blessés.
    18 janvier 1982: assassinat de Charles Robert Ray, attaché militaire américain, à Paris. Revendiqué par les FARL, fractions armées révolutionnaires libanaises.
    3 avril 1982: Le diplomate israélien Yacov Barsimantov est assassiné à Boulogne-Billancourt. Le Libanais Georges Ibrahim Abdallah, chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), condamné à perpétuité à Paris en 1987, notamment pour complicité de ce crime, est détenu depuis octobre 1984.
    22 avril 1982: une voiture piégée explose au siège du magazine Al Watan Al Arabi rue Marbeuf à Paris. Un mort, 63 blessés (attentat revendiqué par Carlos et semblant être commandité par la Syrie)
    9 août 1982: Un commando de 5 arabes appartenant au Fatah et au Conseil révolutionnaire d’Abou Nidal – un groupe palestinien dissident de l’OLP, ouvre le feu rue des Rosiers, à Paris, et jette des grenades à l’intérieur du restaurant juif Goldenberg, faisant 6 morts et 22 blessés.
    17 septembre 1982: Le diplomate israélien Amos Manel est gravement blessé à Paris par l’explosion de sa voiture piégée, rue Cardinet. Une cinquantaine de personnes sont blessées, en majorité des élèves du lycée Carnot. L’attentat est revendiqué par les FARL libanaises.
    30 septembre 1983: Une bombe explose au Palais des congrès de Marseille, près des pavillons américain, soviétique et algérien lors d’une foire internationale. 1 mort, 26 blessés. Revendiqué par les FARL.
    7 février 1984: Assassinat de Gholam Ali Oveisi, ex gouverneur militaire de Téhéran, et de son frère, en exil à Paris. L’attentat est revendiqué par le Jihad islamique.
    8 février 1984: Assassinat de l’ambassadeur des Etats arabes unis en France, Khalifa Abdel Aziz al-Mubarak dans une rue de Paris, attribué à l’organisation Abu Nidal.
    23 février 1985: Explosion d’une bombe au magasin Marks & Spencer du boulevard Haussmann, revendiquée par l’Organisation Arabe du 15-Mai faisant partie du Hezbollah, fait un mort et 14 blessés.
    29 mars 1985: A Paris, une explosion fait 18 blessés au cinéma « Le Rivoli Beaubourg », lors du 4e festival international du cinéma juif. L’attentat est attribué au Hezbollah.
    7 décembre 1985: Double attentat au Printemps Haussmann et aux Galeries Lafayette, 43 blessés. Revendiqués par le CSPPA, Comité de Solidarité avec les prisonniers politiques arabes et du Proche-Orient, organisation marxiste liée au Hezbollah et au Djihad islamique animé par des Musulmans chiites inspirés et financés par Téhéran.
    3 février 1986: Une explosion au rez-de-chaussée de la galerie du Claridge, avenue des Champs-Elysées, également attribuée au Hezbollah, fait un mort et huit blessés.
    3 février 1986: Le même jour, un engin explosif est désamorcé au troisième étage de la Tour Eiffel.
    4 février 1986: Une explosion suivie d’un incendie au sous-sol de la librairie Gibert-Jeune, place Saint-Michel, fait cinq blessés. L’acte s’inscrit également dans la liste des attentats commis par le Hezbollah.
    5 février 1986: Explosion à la FNAC-Sports au Forum des Halles. 22 blessés, dont un très grave. Revendiqué par le CSPPA à Paris.
    17 mars 1986: Explosion dans le TGV Paris-Lyon à la hauteur de Brunoy. Neuf blessés légers. Revendiqué par le CSPPA à Paris.
    20 mars 1986: Attentat Galerie «Point Show», avenue des Champs-Elysées. Deux morts et 29 blessés, dont neuf graves. Revendiqué par le CSPPA à Beyrouth.
    8 septembre 1986: Attentat au bureau de poste de l’Hôtel de Ville de Paris. Un mort et 21 blessés. Revendiqué par le CSPPA à Beyrouth et à Paris et le PDL affilié au Hezbollah à Beyrouth.
    12 septembre 1986: Explosion à la cafétéria de l’hypermarché Casino du centre commercial des «Quatre-Temps» à la Défense. 54 blessés. Revendiquée par le CSPPA à Paris et le PDL à Beyrouth.
    14 septembre 1986: Attentat au sous-sol du «Pub-Renault» sur les Champs-Elysées. Deux policiers morts, un blessé grave. Revendiqué par le CSPPA et le PDL à Beyrouth.
    15 septembre 1986: Attentat dans la salle de délivrance des permis de conduire de la préfecture de police de Paris. Un mort, 56 blessés. L’attentat est revendiqué par le Hezbollah (CSPPA et PDL à Beyrouth).
    16 septembre 1986: Une bombe explose dans un restaurant au nord de Paris.
    17 septembre 1986: A Paris, attentat rue de Rennes, dans le magasin Tati, sept personnes trouvent la mort et 55 autres sont blessées lors de l’explosion revendiquée par le CSPPA, Comité de Solidarité avec les prisonniers politiques arabes et du Proche-Orient.
    7 avril 1987 : Assassinat d’Ali André Mécili, avocat et politique algérien, à Paris. Le principal suspect, Mohamed Ziane Hasseni, bénéficie d’un non lieu dans des conditions floues qui ressemblent à une collusion entre l’Etat français et algérien.
    24 décembre 1994 – 26 décembre 1994: détournement du vol AF 8969 par le GIA, Groupe islamique armé. Après deux jours de prise d’otage du vol Alger-Paris par des membres du GIA algérien, l’assaut du GIGN à l’aéroport de Marignane fait 3 morts (plus les 4 preneurs d’otages).
    11 juillet 1995: assassinat de l’imam Abdelbaki Sahraoui, cofondateur du Front islamique du salut (organisation concurrente du GIA), et son secrétaire, abattus dans la mosquée de la rue Myrha à Paris par deux musulmans armés d’un fusil à pompe et d’un pistolet.
    15 juillet 1995: Fusillade à Bron entre les policiers et Khaled Kelkal, du GIA qui tente de forcer un barrage de police. Kelkal sera abattu le 29 septembre 1995.
    25 juillet 1995: Gare Saint-Michel une bombe explose dans un train du RER B. Revendiqué par le Groupe islamique armé algérien. L’attentat a coûté la vie à 8 personnes et a fait 117 blessés.
    17 août 1995: Une bonbonne de gaz avec des clous, signature du GIA, explose à Paris près de la place Charles-de-Gaulle. 16 blessés.
    26 août 1995: une bombe est découverte sur la ligne TGV Sud-Est près de Lyon avant d’exploser au passage du TGV. Les empreintes de Khaled Kelkal et de Boualem Bensaïd sont retrouvées sur la bombe.
    3 septembre 1995: une cocotte-minute remplie de clous et d’écrous explose sur le marché du boulevard Richard-Lenoir dans le 11e. Quatre blessés légers. C’est toujours la signature du GIA.
    7 septembre 1995: L’explosion d’une voiture piégée devant l’Ecole juive de Lyon à Villeurbanne (Rhône) fait 14 blessés. Elle est attribuée aux extrémistes islamistes dirigés par Khaled Kelkal, directement lié à l’attaque.
    27-29 septembre 1995: Fusillade dans les monts du Lyonnais. Karim Koussa, Abdelkader Bouhadjar et Abdelkader Mameri sont interpelés. Khaled Kelkal est abattu.
    6 octobre 1995: Le jour de l’enterrement de Khaled Kelkal, une bombe du GIA (bouteille de gaz avec des clous et boulons) explose près de la station de métro Maison-Blanche. 12 blessés légers. On retrouve sur la bombe les empreintes de Boualem Bensaïd.
    7 octobre 1995: Le leader du GIA, Djamel Zitouni annonce qu’il lance le « jihad », des « frappes militaires au cœur même de la France » pour la punir de son soutien au régime d’Alger. Il exige que le président Jacques Chirac se convertisse à l’islam.
    17 octobre 1995: Attentat du RER C, une rame est perforée par l’explosion d’une bombe à la station Musée d’Orsay. Smaïn Aït Ali Belkacem, du GIA, est responsable de l’attentat.
    (En 2010, Amedy Coulibaly (auteur de l’attentat de la supérette casher en 2015), Djamel Beghal (maître à penser des frères Kouachi qui ont commis l’attentat contre Charlie Hebdo) et une quinzaine de musulmans projettent de faire évader Smaïn Aït Ali Belkacem. Ils sont arrêtés, font un peu de prison, et sont relâchés)
    27 mai 1996: Reza Mazlouman, ancien vice-ministre iranien de l’éducation à l’époque du Chah d’Iran est assassiné à Créteil.
    3 décembre 1996: Paris, attentat du RER B à Port-Royal. Une bonbonne de gaz remplie d’explosif éclate dans une rame de train. Une lettre du groupe islamique armé (GIA) envoyée à Jacques Chirac signe implicitement la revendication qui fera 4 morts et 91 blessés.
    3 décembre 1996: attentat contre le journal Tribune juive. L’attentat est revendiqué dans une lettre anonyme, qui explique que les terroristes «font partie de la grande nation arabe comme certains font partie de la grande nation juive». Le texte poursuit: «A ce titre nous nous sentons solidaire du sort qui est fait à nos frères palestiniens, en particulier à Hébron ».
    31 décembre 2001: Une classe de l’école Ozar-Hatorah de Créteil est détruite par un incendie criminel.
    1er avril 2002: La synagogue Or Aviv, à Marseille, est détruite par un incendie criminel et terroriste, alors qu’une vague d’attentats aux cocktails Molotov vise des synagogues.
    10 avril 2002: Un autocar scolaire est la cible de jets de pierre, rue Piat, à Paris. Une élève est légèrement blessée.
    22 mars 2003: En marge du défilé contre la guerre en Irak, deux membres du mouvement juif Hachomer Hatzaïr sont agressés près de leurs locaux.
    8 juillet 2003: Des élèves de l’école Jeunesse Beth Loubavitch à Paris sont attaqués à coups de barres de fer.
    17 octobre 2003: Le rabbin Michel Serfaty, reconnu par ses vêtements, est frappé au visage à Ris-Orangis (Essonne). Son agresseur, Abdelrahim criait « Palestine, Palestine, on vous casse la gueule, Youd! » pendant l’agression.
    17 octobre 2003: L’agression du rabbin Michel Serfaty à Ris-Orangis (Essonne) provoque un intense émoi. L’agresseur est condamné en décembre 2004 à 6 mois de prison dont 2 mois avec sursis.
    15 novembre 2003: Un établissement scolaire juif fréquentée par 200 élèves est dévasté par un incendie criminel à Gagny (Seine-Saint-Denis). Le président Jacques Chirac préside le lendemain une réunion interministérielle sur l’antisémitisme qu’il déclare « intolérable » – et offrira des obsèques nationales au terroriste et tueur de juifs Yasser Arafat.
    20 novembre 2003: Dans le garage du 5 rue Louis Blanc, à Paris Xe, Adel Amastaibou prend un long couteau et poignarde Sébastien Salem de plusieurs coups de couteau à la poitrine, jusqu’à la mort. Puis il rejoint l’appartement de sa mère et déclare : « J’ai tué un Juif. J’irai au paradis. Allah m’a guidé ! »
    8 octobre 2004: attentat contre l’ambassade d’Indonésie à Paris, revendiqué par le Front islamique français armé. 10 blessés.
    25 mai 2005: deux jeunes musulmans lancent trois bouteilles d’acide chlorhydrique sur une école juive du XVIIIe, à Paris.
    20 janvier 2006: Un jeune juif, Ilan Halimi, 23 ans, est enlevé par le gang des barbares, un gang musulman dirigé par Youssouf Fofana, qui espère faire payer les juifs. Il est torturé pendant trois semaines dans une cité HLM de Bagneux et retrouvé agonisant au bord d’une voie ferrée le 13 février 2006, et meurt lors de son transfert à l’hôpital.
    19 avril 2007: le rabbin de la communauté du Nord-Pas-de-Calais, Elie Dahan, reconnaissable par ses vêtements, est violemment frappé par un jeune musulman, gare du Nord à Paris.
    6 décembre 2007: À 12h50, l’explosion d’un colis piégé au un cabinet d’avocats du 52 boulevard de Malesherbes à Paris où est domiciliée la Fondation pour la mémoire de la Shoah fait 1 mort et 5 blessés. Le coursier, une jeune femme « brune, d’un mètre cinquante-cinq, la vingtaine et portant un casque », et de type « nord-africain » est activement recherchée.
    16 décembre 2008: Le Front révolutionnaire afghan informe les autorités après avoir déposé des bâtons de dynamite (sans détonateurs) au Printemps à Paris.
    20 décembre 2008: Arrestation à Paris de Rany Arnaud, 29 ans, un islamiste isolé soupçonné d’avoir voulu faire sauter le bâtiment de la DCRI.
    5 janvier 2009: Une voiture bélier est lancée contre la grille d’une synagogue à Toulouse, qui est incendiée.
    8 septembre 2009: Des engins explosifs sont lancés depuis l’extérieur et explosent dans une école juive du Xe arrondissement de Marseille dans le but de la faire brûler avec tous les élèves. «Un riverain aurait aperçu quelqu’un de jeune» au moment du drame.
    11 et 15 mars 2012: Mohamed Merah assassine trois militaires à Toulouse et Montauban.
    19 mars 2012: Trois enfants et l’un de leurs parents sont sauvagement assassinés dans une école juive de Toulouse par Mohamed Merah, un musulman français.
    25 mai 2013: La Défense. Un islamiste arrive par derrière et poignarde Cédric Cordier, un militaire français au cou, dans l’intention de le décapiter. L’agresseur portait une barbe et une djellaba de couleur claire.
    20 décembre 2014: Joué-lès-Tours. Un homme armé d’un couteau hurle « Allahu Akbar » en entrant dans un commissariat, et se jette sur un officier de police pour le tuer. 3 policiers sont blessés, dont deux gravement. Le musulman est tué.
    21 décembre 2014: Dijon. Un homme hurlant « Allahu Akbar » écrase 13 piétons avec sa voiture.
    22 décembre 2014: Nantes. Un homme que les témoins entendent crier « Allahu Akbar » écrase des piétons avec sa voiture sur un marché de Noël. 1 mort et 9 blessés dont 3 graves.
    7 janvier 2015: Les frères Kouachi commettent un attentat contre le siège de Charlie Hebdo qui fait 12 morts et 11 blessés.
    8 janvier 2015 : Amedy Coulibaly abat une jeune policière de 25 ans, Clarissa Jean-Philippe, à Montrouge (Hauts-de-Seine), et blesse un policier.
    9 janvier 2015: Yoav Hattab, Yohan Cohen, Philippe Braham et Michel Saada, des clients de la supérette casher HyperCasher de Vincennes sont tués, et cinq autres sont pris en otages par Amedy Coulibaly, membre de l’Etat islamique.
    9 janvier 2015 : prise d’otages à Dammartin-en-Goële par les frères Kouachi. Les 2 terroristes sont abattus. Un membre du GIGN est blessé, l’otage est sain et sauf.
    3 février 2015: 3 militaires qui protègent un centre communautaire de Nice, sont attaqués par Moussa Coulibaly (sans relation avec Amédy Coulibaly).
    19 avril 2015: Un djihadiste algérien tue une jeune femme accidentellement en voulant voler sa voiture, se tire une balle dans la jambe, ce qui l’obligera à renoncer à son attentat terroriste contre deux églises de Villejuif pendant la messe du dimanche.
    26 juin 2015: Attentat terroriste dans l’Isère à Saint-Quentin-Fallavier contre une usine de gaz de la société Air Products dans l’intention de la faire exploser. Un cadavre sera retrouvé, décapité, avec des inscriptions en arabe et un drapeau de l’Etat islamique.
    21 août 2015: Attentat du Thalys. Un islamiste qui venait de déclencher un attentat terroriste est terrassé par des héros américains. Les employés à la sécurité du train s’étaient enfuis. Quatre blessés, y compris le terroriste.
    Eric Denécé évaluait à 102 le nombre de victimes françaises du terrorisme islamiste entre 2001 et 2015.
    A cette liste doit être ajouté le Bataclan, le couple de policiers égorgés en région parisienne, et le dernier en date, Nice.
    J’ai compté 91 attentats terroristes commis par des musulmans. Imaginez le tableau, si l’islam n’était pas une religion de paix et d’amour.
    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
    Un homme au volant d’un camion a fauché plus de 84 personnes, dont plusieurs enfants, jeudi 14 juillet à Nice dans la foule massée sur la promenade des Anglais pour le feu d’artifice. Depuis 2012, la France a été lourdement frappée par les attentats. Chronologie.
    Lire aussi : La France, principale cible et vivier de l’organisation Etat islamique
    • Mars 2012 : Mohamed Merah tue 7 personnes à Montauban et Toulouse
    Le 11 mars, Mohamed Merah abat le militaire Imad Ibn Ziaten sur un parking à Toulouse, puis s’attaque, le 15, à trois autres soldats de Montauban, sortis de leur caserne pour retirer de l’argent. Abel Chennouf et Mohamed Legouad sont tués sur le coup. Loïc Liber est grièvement blessé. Le « tueur au scooter » est en fuite. Il frappe à nouveau le 19 à l’école juive de Toulouse Ozar Hatorah et tue un professeur, ses deux fils, ainsi qu’une petite fille de 7 ans. Mohamed Merah meurt le 22 mars dans l’assaut que donne le RAID à son appartement.
    Lire aussi : Qui est « l’Emir blanc », mentor de djihadistes français ?
    • 7-9 janvier 2015 : assaut de « Charlie Hebdo » et prise d’otages à l’Hyper Cacher
    Le 7 janvier, les frères Chérif et Saïd Kouachi attaquent le siège de l’hebdomadaire satirique français Charlie Hebdo à Paris. Parmi les victimes figurent le directeur du journal, plusieurs de ses caricaturistes vedettes et deux policiers. Après deux jours de cavale, les deux assaillants sont abattus par les forces de sécurité, après s’être retranchés dans une entreprise de la banlieue est de la capitale.
    Le 8 janvier, Amedy Coulibaly tue une policière et blesse un agent municipal à Montrouge, au sud de Paris. Le 9 janvier, il prend en otages les clients et employés d’un supermarché cacher de Paris et tue quatre d’entre eux, tous juifs. Il est abattu dans l’assaut donné par la police peu après la mort des frères Kouachi. Ceux-ci se revendiquaient d’Al Qaida dans la péninsule arabique (AQPA), Amedy Coulibaly du groupe Etat islamique (EI).
    Lire aussi : « Charlie Hebdo » visé par une attaque terroriste, deuil national décrété
    • 3 février 2015 : agression au couteau à Nice
    Trois militaires en faction devant un centre communautaire juif sont agressés au couteau. L’assaillant, Moussa Coulibaly, 30 ans, demeurant à Mantes-la-Jolie (Yvelines), est aussitôt arrêté. Il exprime en garde à vue sa haine de la France, de la police, des militaires et des juifs.
    Lire aussi : En garde à vue, Moussa Coulibaly évoque sa haine des militaires et des juifs
    • 19 avril 2015 : une église de Villejuif visée
    Sid Ahmed Ghlam, étudiant algérien en informatique, est arrêté à Paris, soupçonné d’avoir tué une femme et préparé un attentat imminent contre une église de Villejuif dans la banlieue sud de Paris. En possession d’armes de guerre, il était connu des services de renseignement pour avoir basculé dans l’islam radical. Il admettra avoir projeté d’autres actions.
    Lire aussi : Attentat manqué de Villejuif : sur la piste des commanditaires
    • 26 juin 2015 : un patron décapité dans l’Isère
    Yassin Salhi tue et décapite son patron Hervé Cornara à Chassieu (Rhône), puis, brandissant des drapeaux islamistes, tente de faire exploser l’usine Air Products de Saint-Quentin-Fallavier (Isère), en précipitant son fourgon contre des bouteilles de gaz avant d’être arrêté.
    Lire aussi : Yassin Salhi, la surveillance en pointillé d’un salafiste trop discret
    • 21 août 2015 : attaque dans le Thalys
    Un carnage est évité dans un train Thalys reliant Amsterdam à Paris, lorsque des militaires américains maîtrisent un homme lourdement armé qui ouvre le feu à hauteur de Oignies (Haute-Picardie). Deux personnes sont blessées, l’une par balle, l’autre par arme blanche. L’assaillant, un jeune Marocain, est interpellé.
    Lire aussi : 21 août 2015, Thalys 9364, de simples passagers se transforment en héros
    • 13 novembre 2015 : carnage au Bataclan et sur des terrasses de l’Est parisien
    La France est frappée par les pires attaques terroristes de son histoire, avec, pour la première fois dans ce pays, des actions kamikazes. Les attentats sont perpétrés à Paris dans la salle de concerts du Bataclan, contre plusieurs bars et restaurants du cœur de la capitale, et près du Stade de France, à Saint-Denis. Cent trente personnes, notamment des jeunes, sont tuées et plus de 350 sont blessées. L’EI revendique les attaques.
    Lire aussi : Attentats du 13 novembre : où en est l’enquête ?
    • 7 janvier 2016 : attaque du commissariat du 18e arrondissement à Paris
    Un homme armé d’un hachoir et d’une fausse ceinture d’explosifs est abattu après avoir crié « Allah Akbar » en s’approchant du commissariat du 18e arrondissement de Paris. Il porte une revendication manuscrite en arabe dans laquelle il fait allégeance au chef de l’EI.
    • 13 juin 2016 : deux policiers assassinés à leur domicile
    Lire aussi : Que sait-on de Larossi Abballa, le meurtrier d’un couple de policiers à Magnanville ?
    Lire aussi : Les attentats de l’Etat islamique ont fait plus de 2 500 morts en deux ans
    Un policier de Magnanville (Yvelines) et sa compagne employée au commissariat de Mantes-la-Jolie, sont assassinés chez eux. Jean-Baptiste Salvaing, 42 ans, est poignardé devant son domicile, sa compagne Jessica Schneider, 36 ans, égorgée à l’intérieur du pavillon par un jihadiste de 25 ans. Larossi Abballa, qui avait revendiqué son action sur Twitter et Facebook au nom de l’EI, est tué par le RAID.

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/07/15/les-principaux-attentats-en-france-depuis-2012_4970357_3224.html#4VGdKpszHb27ttl3.99

    http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2017/06/05/31003-20170605ARTFIG00156-pascal-bruckner-desole-m-castaner-daech-appartient-bien-helas-a-la-sphere-musulmane.php

    Pascal Bruckner : « Désolé M. Castaner, Daech appartient bien, hélas, à la sphère musulmane »
    • Par Vincent Tremolet de Villers
    • Mis à jour le 05/06/2017 à 18:21
    • Publié le 05/06/2017 à 18:06

    Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro/STEPHANE DE SAKUTIN


    292 commentaires

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    FIGAROVOX/ENTRETIEN – Christophe Castaner a déclaré qu’il ne fallait plus parler d’État islamique parce que les « djihadistes » n’avaient rien à voir avec l’islam. Pour Pascal Bruckner, il s’agit pourtant d’un des visages, pas le principal et fort heureusement pas le seul, de la religion musulmane.
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    Pascal Bruckner est philosophe, essayiste et romancier. Il a dernièrement publié La Sagesse de l’argent (éd. Grasset, 2016) et Un racisme imaginaire (éd. Grasset, 2017).
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    FIGAROVOX. – «Cessons de parler d’État Islamique, ils trahissent la religion qu’ils prétendent servir. Ce sont juste des assassins» a déclaré, sur Europe 1, Christophe Castaner, le porte-parole du gouvernement. Faut-il cesser de parler d’État islamique?
    Barack Obama n‘a jamais parlé de terrorisme islamiste et François Hollande non plus.
    Pascal BRUCKNER. – Une remarque préliminaire: on assiste, en France, à une impressionnante multiplication de théologiens et de spécialistes en islam. Nos politiques sont tellement informés qu’ils savent mieux que les musulmans ce qu’est l’islam lui-même! Plus sérieusement, ce n’est pas la première fois que l’on hésite à qualifier cette organisation terroriste par autre chose que par un acronyme. Laurent Fabius quand il était au quai d’Orsay avait affirmé une préférence pour Daech plutôt que pour État Islamique. Barack Obama n‘a jamais parlé de terrorisme islamiste et François Hollande non plus, sauf dans les confidences faîtes à Gérard Davet et Fabrice Lhomme dans le livre Un président ne devrait pas dire ça . La pudeur linguistique n’est donc pas le seul fait de M. Castaner. Cette déclaration fait songer à celle d’Erdogan lorsqu’il était il y a quelques mois en Allemagne. Madame Merkel avait affirmé combattre le «terrorisme islamiste» et le président Turc avait rétorqué que l’islam était une «religion de paix». Angela Merkel avait répondu, imperturbable: «nous combattons le terrorisme islamiste.»
    Que signifie cette bataille sémantique?
    Elle est essentielle. Camus l’a dit et nous le répétons sans cesse «Mal nommer les choses c’est ajouter aux malheurs du monde». Dire que ce terrorisme n’est lié a aucune religion c’est tout simplement faux. Le calife et ses soutiens se revendiquent de l’islam. C’est un des visages, fort heureusement pas le seul et pas le principal, mais c’est un des visages de l’islam. En outre, si toutes les religions comptent dans leurs rangs des criminels et des assassins, la systématisation de la terreur n’appartient aujourd’hui qu’à la sphère islamique. Le nier c’est se priver du moyen de désigner ceux qui veulent nous tuer et qui le font comme à Londres «au nom d’Allah». Personne aujourd’hui ne tue au nom de Jésus, Vishnou ou Moïse.
    On ne peut en rien exonérer l’islam des crimes qui sont commis en son nom.
    Rachid Kassim, l’un des organisateurs des attentats en France l’avait déclaré avant d’être tué par un drone américain: ses motivations n’étaient ni sociales, ni idéologiques (colonisation) mais religieuses. On ne peut en rien exonérer l’islam des crimes qui sont commis en son nom. Ceux qui le font rejoignent le discours de Tariq Ramadan qui veut noyer la singularité d’une grande confession dans la masse des crimes mondiaux, dans la nuit de l’équivalence. Pourtant les islamologues comme Gilles Kepel ou Suleiman Mourad sont très clairs. Ce dernier, dans son essai La mosaïque de l’islam (Fayard, 2016), écrit: «Les penseurs sunnites qui ont soutenu que le Coran pouvait servir à la modernisation se sont empêtrés dans un bourbier conceptuel, ce qui explique la crise de la pensée islamique aujourd’hui. Le Coran, poursuit Suleiman Mourad, légitime nombre de choses embarrassantes pour les musulmans modernistes: l’esclavage, le djihad armé, le contrôle des femmes, la polygamie et des aberrations scientifiques…»
    Critiquer l’islam, est-ce être «islamophobe»?
    C’est l’esprit d’une motion que Trudeau a fait voter il y a quelques semaines au Canada et qui, en substance, empêche toute critique de l’islam. L’islam est en train d’acquérir un brevet de religion intouchable. La confession la plus gangrenée par la violence est repeinte en religion de tolérance et d’amour. On ne peut pas continuer à rester dans le conte de fées pour échapper à l’accusation de racisme et d’amalgame.
    L’islam est en train d’acquérir un brevet de religion intouchable.
    Adonis, Kamel Daoud, Boualem Sansal, Abdenour Bidart pourtant ne cessent de nous mettre en garde. Au fond, cette rhétorique est très anglo-saxonne. Pour les Américains et les Anglais, toute religion est bonne en soi. Mais l’islam n’a pas connu les lumières et la réforme interne. La vérité que nous sommes obligés de répéter sans cesse est la suivante: ces massacres n’ont pas de causes sociales, économiques, pathologiques mais bien théologiques. Garder les yeux grands fermés comme M. Castaner augure mal de la politique du gouvernement.

  3. Posté par monde-tombé-sur-la-tête le

    IL ne s’agit de toutes façons pas d’un retour dans la mesure ou ils n’ont de toutes façons jamais appartenu à ici, même s’ils ont des papiers.
    Ils n’ont donc (et n’avaient jamais ni eux ni leurs familles) rien à faire ici et en Europe.
    Cessons d’adopter des problèmes mortels et insolubles comme si c’était les nôtres.
    Par la même occasion il faut procéder d’urgence à une révision très méticuleuse de tous les passeports européens distribués à la pelle et à n’importe qui depuis 15 ans et expulser tous ceux qui ne le méritent pas. L’attribution de la nationalité doit être l’exception pour des cas précis qui remplissent des conditions très claires et qui adherent totalement à leur pays d’accueil, et non pas une distribution de passeports genre resto de cœur à tous ceux qui viennent encaisser, parasiter, s’incruster puis détruire.
    Ca suffit maintenant.

  4. Posté par Vautrin le

    Pas de “retour”, et mise hors d’état de nuire.

  5. Posté par Justin le

    Il est hors de question de les rapatrier! Il faut au contraire leur retirer la nationalité et les laisser là où ils sont, où les ré-expulser s’ils sont parvenus à revenir au pays! Si nécessaire, ils doivent rendre des comptes dans les Etats où ils ont commis leurs méfaits.

  6. Posté par Michel le

    Et, que faire pour nos enfants qui sont désignés et offerts en victimes à ces robots tueurs ?
    Lesquels devons nous protéger ?
    Le choix est clair pourtant. La politique c’est blanc ou noir .
    Pas de “retour”

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