La leçon de cinéma de Clint Eastwood sera probablement le plus grand moment de cette 70e édition du Festival de Cannes même si la rencontre ne nous a pas appris grand-chose sur sa vie et son œuvre.
Clint Eastwood fêtera à la fin de ce mois ses 88 ans. Encore bon pied, bon œil, sauf peut-être pour les selfies qui ne semblent pas être sa tasse de thé, Clint Eastwood garde la cote sur plusieurs générations. C’est ainsi que la salle Buñuel, d’une capacité de 300 places, s’est remplie à la vitesse de l’éclair. Précisons toutefois que la plus grande partie des journalistes présents patientaient devant les portes de la salle trois heures avant l’ouverture de celles-ci.
Durant son enfance, Clint Eastwood avait pour idoles Gary Cooper, John Wayne et John Stewart. Ses films préférés étant les westerns, genre cinématographique à la mode à cette époque à Hollywood. Enfant de la grande Dépression, il n’a aucun souvenir de cette période difficile de son enfance. « Ma sœur et moi mangions à notre faim. Ce n’est que plus tard que nous avons compris que mes parents s’étaient sacrifiés pour nous. »
Et, lorsque le modérateur lui parle de politique, il botte en touche : « aujourd’hui, on se tue avec le politiquement correct, on a vraiment perdu le sens de l’humour » confie l’acteur fervent défenseur de Donald Trump, qui a bien eu du mal à esquisser un léger sourire durant l’heure de la rencontre.
Dernier GRAND de Desperadewood.
Lorsque Clint Eastwood a pu réaliser des chefs-d’œuvre comme
“Million dollar baby”, “Bridges of Madison County” et “Midnignt in the garden of Good ans Evil”, je n’ai plus à m’interroger sur ce qu’il peut apporter à l’art et porter comme messages.
Même si parfois inégal, il est un des plus grands réalisateurs du cinéma américain; un de ces hommes dont j’aurais aimé serrer la main.
Ses rôles de l’inspecteur Harry ne furent pas ses plus remarquable mais force est ce constater qu’on le verrait bien dans nos rues livrées de plus en plus aux loups.
Clins Eastwood a mille fois raison….
Un acteur et réalisateur formidable..
Et durant ce temps des bobos holyvoodiens nageant dans le luxe…incapables d’aider les plus démunis se pavanent dans leurs habits de luxe …et chient sur qui n’accepte pas leur politiquement correct imbecile…
Probablement payés encore par SSSoros et &….crétins!!!!!
Toujours bien lucide le Clint. J’ai adoré ses films en tant qu’acteur, c’était même mon acteur préféré et, j’ai eu longtemps son poster contre le mur de ma chambre. Maintenant j’apprécie les films qu’il réalise. Ce gars est “secret” un peu distant, peut laisser paraître une certaine froideur et n’est pas politiquement correct, tout ce que j’aime. Décidément, je n’ai pas fini d’être un grand fan de Clint. On aurait actuellement tant besoin d’un inspecteur Harry, (ou il excellait) pour refaire le ménage là, ou il serait nécessaire de s’y attacher.
Merci d’exister Clint.
IL EST DOMMAGE QUE L’ON N’AIT PAS PU AVOIR PLUS DE PRECISIONS, DE DEVELOPPEMENT DE SA PART SUR CETTE FORMULE.
Car” le politiquement correct” n’a rien de léger, puisqu’il peut contribuer à l’anéantissement d’une nation, par un travail doucement pervers sur les consciences exercé pendant des années.
On peut dire que la méthode a bien fonctionné et que nous nous réveillons tardivement de cette “douce maltraitance”.