Quel soutien faut-il accorder aux requérants d’asile mineurs non accompagnés (MNA)? C’est la question posée ce dimanche aux Bernois. En septembre 2016, leur Grand Conseil a voté un crédit de 105 millions de francs pour 2016 à 2019, destiné en premier lieu à assurer un encadrement renforcé à ces jeunes ainsi que leur hébergement. Un projet jugé trop coûteux par des milieux proches de l’UDC, qui ont lancé un référendum.
Le Canton de Berne accueille actuellement 341 MNA et dépense pour chacun d’eux 171 francs par jour. Seuls 36,50 francs sont couverts par les forfaits globaux de la Confédération. Ces mineurs vont d’abord dans un centre à Huttwil, en général durant trois à six semaines. Ils sont accompagnés par une équipe interdisciplinaire qui procède à une évaluation. «Ils bénéficient par exemple d’un programme de socialisation et d’intégration basé sur le sport, pour augmenter leur confiance dans leurs propres capacités», décrit Christoph Braunschweig, du Service Social International.
Ces mineurs sont par la suite hébergés séparément des adultes (dans des foyers, des communautés d’habitation ou des familles) et suivent des cours de langue ainsi que des enseignements adaptés. Ceux qui ont moins de 16 ans fréquentent, si possible, l’école obligatoire.
Solution «luxueuse»
Les référendaires critiquent une solution «luxueuse». Ils relèvent que le Canton dépense ainsi 5000 francs par mois pour chaque requérant: la plupart des familles suisses n’ont pas de tels moyens. «Les bénéficiaires ne sont en grande majorité pas des enfants, mais des jeunes gens qui ont au moins 17 ans et qui dans leur pays d’origine subviendraient eux-mêmes à leurs besoins», ajoute l’UDC bernoise. Et puis, ils peuvent être hébergés dans les mêmes centres que les adultes. Les opposants concluent que d’autres cantons ne prévoient pas d’encadrement spécial.
Le gouvernement bernois répond que les enfants ont des droits particuliers. Son projet permet de mieux intégrer ces mineurs et de les former. Et d’éviter qu’ils ne dépendent par la suite de l’aide sociale. Les autorités ajoutent qu’en cas de non, il faudrait les transférer dans d’autres institutions, ce qui serait plus onéreux.
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@Vengeance,
Avec contre nous les monopoles de la propagande socialo-fasciste ?
La pensée unique et des mesures de répressions contre toute forme de contradiction ?
Eh ben, oui, nous le verrons, cette fois, ils échoueront, garanti !!
@ rikiki,
Il n’y aura pas de révolte, aucune chance pour que cela se passe. Lorsque l’on sait que le 75% de la populace se comporte comme des veaux qui sont menés à l’abattoir, croyant que seul celui qui est devant lui et celui qui est derrière vont être trucidé…..vous avez le niveau intellectuel de cette populace….mais ainsi va le monde, c’est pourquoi il faut toujours un coup d’avance et prévoir des chemins de traverse, afin de ne pas être trop surpris…bonne chance
“”Je sens que je vais devenir très très charitable et accueillir une dizaine de ce pôvre migrants mineurs, car en plus de pouvoir exprimer mes penchants socialo-pédophiles, 5’000.– Chf par mois, c’est mieux que de trafiquer de l’héroïne” !!
Alors que le Suisse s’est tapé son service militaire, s’est cassé le cul à développer son pays et ne toucher que 2250.- d’AVS en se tapant toutes les factures de dentistes, de téléphone, de médecins et les participations aux caisses, les impôts, l’électricité, les transports etc.
A quand la révolte contre tous ces gens qui dilapident le bien des Suisses, de ces décideurs qui font tout pour s’enrichir encore plus. Et l’on se demande si l’on peut augmenter l’AVS de 70.-…!
Quelle honte à tous ces décideurs, à ceux qui décident ainsi que ceux trop mous qui ne décident rien mais profitent sans oublier tous les lâches qui prônent que tout va bien !
🙁
Pour ceux qui se demanderaient à quoi servent leurs impôts !!!
🙁
L’industrie socialo-islamiste tourne à fond. Tous les jours, de nouvelles niches se créent et les nouveaux venus se multiplient comme des rats faisant le bonheur des gauchistes du monde entier.
C’est vrai que si on ne les chouchoute pas et qu’ils se mettent à dealer et se font arrêter, à 450 francs par jour, ça serait plus onéreux dans cette autre institution qu’est la prison !
Comme quoi la machine est bien graissée. Cela fait vivre, (pardon, s’enrichir) bien des gens et c’est bien une preuve que ces gens ne sont que de la matière première. Juristes, instructeurs, pédagogues, opticiens, docteurs, locations de places dans des campings, hôtels qui seraient en faillite s’ils ne louent pas leurs infrastructures, etc. La liste peut s’allonger encore et encore. Il semble que tout le monde est content pour le moment à part les quelques victimes collatérales qui se feront de plus en plus nombreuses au fur et à mesure que l’islam progresse dans le pays. Mais comme cela ne semble pas déranger les suisses…
Un pied dans le c.. et retour à l’ expéditeur