Suisse: Comment l’entrepreneur “Temal” se moque de notre pays à nos frais.

Nom d'emprunt qui est évidemment à consonance étrangère.

Les réponses mensongères données, le refus de comparaître, le fait qu'il soit défendu par un avocat à nos frais pendant que l'entrepreneur suisse n'a aucune aide judiciaire: Tout est emblématique de cette société dégueulasse que la gauche nous a imposée.

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André Bovey a l'impression que la justice n'a rien fait. Deux ans après les faits, l'enquête est toujours en cours.

Et les frais sont à sa charge: "J'ai même reçu CHF 2'062.95 pour les frais de ma demande de poursuite" explique-t-il.

Temal* est interrogé dix jours après le dépôt de plainte. Il se présente comme... témoin au poste de gendarmerie de Payerne.

Le jeune homme reconnait avoir demandé à un de ses employés de louer les machines. Mais, après avoir constaté la disparition du matériel, il jure avoir contacté tout de suite Bovey Machines SA pour leur demander une facture qui n'est jamais arrivée.

"j'ai toujours désiré m'arranger et je suis très étonné qu'une plainte pénale ait été déposée. Je veux juste rembourser." Temal semble correct, selon le gendarme.

Depuis, la procureur Laurence Brenlla a convoqué Temal trois fois pour en savoir davantage. Le suspect ne s'est jamais présenté volontairement aux auditions.

Au contraire d'André Bovey. "La troisième fois, il était représenté par un avocat commis d'office, c'est-à-dire payé par l'Etat. Moi, je n'en avais pas. Cela coûte trop cher" dénonce-t-il.

Temal est finalement conduit de force par la police devant la procureure pour être entendu en qualité de prévenu, le 5 avril 2016. André Bovey aurait voulu y assister, mais la justice ne l'a pas convoqué.

Lors de l'audition, Temal jure qu'il n'a pas l'habitude de louer des machines. Dans le cas de Bovey SA, il tente d'expliquer la disparition. Selon lui, un ancien employé devait ramener ces engins dans un dépôt de sa société à la fin du chantier. "J'ai constaté que les machines n'y étaient pas. L'employé n'était pas contactable car son numéro de téléphone n'était plus actif, et je n'ai pas réussi à le retrouver car il n'étati plus en Suisse. Je pense que c'est lui qui m'a volé, mais je n'ai pas le choix, je vais devoir payer. Je n'ai pas encore déposé une plainte contre lui parce qu'il est parti."

Au sujet de la deuxième disparition, à Echandens, Temal ne se souvient plus. La procureure lui rafraichit la mémoire. "Vous me faites remarquer, rétorque-t-il, que la société de location dispose d'une copie de ma pièce d'identité. Ah oui, maintenant ça me dit quelque chose." Mais il ne sait pas où se trouvent ces machines. "Peut-être sur un chantier à VallamandDessus. Nous avons arrêté d'y travailler il y a deux mois. Je ne connais pas l'adresse. Je ne connais pas le nom du maitre d'ouvrage", conclut-il.

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5 commentaires

  1. Posté par Cécile le

    Oui, et nous voulons les noms de ce qui ont volé les 3 million par l’unia.

  2. Posté par meier le

    Payerne et ses 1300 albanais de 4 pays différents. .et ..suisses.naturalisés..aussi…et leurs 60 immeubles……bonjour l’ambiance. …

  3. Posté par UnOurs le

    “Nom d’emprunt qui est évidemment à consonance étrangère.”

    On remerciera quand même le journaliste d’avoir écrit “Temal” au lieu de “Robert” ou “François”.

  4. Posté par Yolande C.H. le

    Encore une valeur (la fiabilité) qui a fait la réputation de notre pays qui va disparaître. Il faudra de plus en plus se méfier pour ne pas se faire avoir.

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