4 commentaires

  1. Posté par Daniel le

    @ Bussy… C’est totalement mon cas 🙁 je ne sais pas si je suis dans l’erreur ou non… Mais j’ai changé d’avis et je vais voter NON. De toute façon la Suisse est en très mauvais état et on continue encore et encore avec l’immigration massive et ses conséquences sociales désastreuses à ses coûts faramineux … Alors un peu plus ou un peu moins…. Je m’en temponne le cocotier… Je dois encore convaincre ma femme et ma famille…

  2. Posté par Bussy le

    Avec ce que l’avenir nous réserve (peut-être) à cause des islamo-collabos, je me demande si les gens ne commencent pas à se dire qu’ils n’en n’ont plus rien à fiche des problèmes d’énergie !

  3. Posté par Claude le

    Lisez bien TOUS les articles de loi (il y en a 77 au total !) AVANT de voter ! C’est un projet mal ficelé et surtout le peuple votera le 21 mai SANS connaître d’addition finale qui risque d’être TRES salée ! L’EPFZ (Ecole Polytehnique Fédérale de Zürich) a fait une estimation de 100 milliards de Frs pour réaliser l’article N°3 – 2 (réduction de la consommation d’énergie de 43% d’ici à 2035). Bonjour les dégâts au porte-monnaie !! Je voterai NON.

  4. Posté par Vengeur le

    Voilà encore un ineptie de ce fameux “conseil fédéral”;
    Article sur 20minutes de ce jour (10 mai 2017)
    Berne devrait verser 600 millions par an au Sud
    “Le Conseil fédéral a adopté un rapport sur la protection du climat dans les pays en développement.Dès 2020, la Suisse devrait contribuer à hauteur de 450 à 600 millions de dollars par an à la protection du climat dans les pays en développement. Le Conseil fédéral a adopté mercredi un rapport en ce sens.

    Le document répond à un postulat du Conseil national. La fourchette de 450 à 600 millions de dollars, soit quasi autant de francs, représente une «contribution équitable» de la Suisse à l’objectif de financement commun de 100 milliards de dollars par an dès 2020, selon le Conseil fédéral.
    Cette estimation tient compte des capacités économiques de la Confédération et des émissions des gaz à effet de serre dont elle est directement responsable (principe du pollueur-payeur). Selon la pondération de ces deux critères, le montant du financement se situera en haut ou en bas de la fourchette. A titre de comparaison, la Suisse a contribué au total pour près de 400 millions de dollars au financement international dans le domaine du climat en 2014.
    Fonds publics
    Les fonds devraient provenir de sources aussi bien publiques que privées. Les fonds publics devraient être attribués majoritairement aux crédits-cadres pour la coopération internationale et au crédit-cadre en faveur de l’environnement mondial, entièrement imputable à l’aide publique au développement.
    Le Conseil fédéral pourrait envisager de relever les prestations d’aide au développement au-delà de la hausse prévue dans l’actuelle planification financière de la Confédération. Mais une telle augmentation ne semble pas réaliste d’ici à 2020 en raison des finances fédérales tendues.
    UNE AUTRE OPTION CONSISTERAIT À INTRODUIRE DES IMPÔTS OU TAXES À ÉCHELLE NATIONALE. Si la disponibilité et le volume de fonds étaient garantis à long terme, cela nécessiterait de changer la Constitution. Les instruments ne requérant aucune modification
    constitutionnelle sont eux jugés infructueux.
    Voila ce qu’on appelle un vol pur et simple, si cela se produit….

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