Dans le débat parlementaire sur le missile Trident (18 juillet 2016), au député George Kerevan qui lui demandait si elle approuverait une frappe nucléaire quitte à tuer cent mille innocents, Theresa May a répondu résolument « Oui ».
Theresa May would authorise nuclear strike causing mass loss of life
Asked in Trident debate if she would approve attack that could kill 100,000 people, PM answers with a decisive ‘yes’
Suite : The Guardian, 18 juillet 2016
Madame May, vous vous trompez de cible. C’est l’union européenne qu’il faut abattre. Je dis bien l’union, pas les européens.
Au vu de l’ambiance actuelle et de la connerie universelle de la plupart des dirigeants anti-démocratiques, il y en a bien un capable d’appuyer sur le bouton qui déclenchera la fin de l’humanité. Donc, nous qui n’avons rien choisi, mais devons subir, faisons la fête, profitons du bon temps (qui nous reste ?), réunissons-nous avec nos êtres chers, allons manger dans de bons restaurants, cajolons nos femmes, nos hommes, nos enfants… Il ne nous reste plus qu’à espérer la peur des responsables potentiels, qui, cette fois, contrairement à Hiroshima, ne pourront pas échapper au désastre généralisé. Oui, ils mourront eux aussi et c’est probablement leur crainte qui nous sauve provisoirement.
Ils ont tous envie de faire joujou avec le nucléaire, pourvu que les morts soient d’ailleurs et que eux-mêmes ne soient pas touchés.. N’est-ce pas une preuve de couardise ?