« La France n’est pas responsable du Vél’d’Hiv. » C’est la phrase qui plonge depuis deux jours Marine Le Pen au cœur d’une nouvelle polémique. La candidate du Front national à l’élection présidentielle répondait ainsi à une question posée lors de l’émission « Le Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro » au sujet de la reconnaissance par Jacques Chirac, en 1995, de la responsabilité de la France dans la rafle du Vélodrome d’Hiver, durant laquelle plus de 13 000 juifs avaient été arrêtés par des policiers français, en zone occupée.
« S’il y a des responsables, ce sont ceux qui étaient au pouvoir à l’époque, ce n’est pas LA France. La France a été malmenée dans les esprits depuis des années. On a appris à nos enfants qu’ils avaient toutes les raisons de la critiquer, de n’en voir que les aspects historiques les plus sombres. Je veux qu’ils soient à nouveau fiers d’être Français », a poursuivi Marine Le Pen, expliquant ainsi qu’elle ne minorait ni ne niait l’atrocité de l’événement, mais qu’elle refusait une lecture culpabilisante de l’histoire de France.
Tollé à gauche comme à droite, où l’on s’est empressé de brandir les accusations habituelles et assez peu pertinentes en l’occurrence : « vrai visage du FN », « elle est bien la fille de son père », « négationnisme »…
Reproches illégitimes à plusieurs titres. D’abord, elle rompt ici, précisément, avec l’héritage pétainiste effectivement porté par certains cadres du Front national de l’époque de son père. Il n’y a pas là de débat mais un constat : Marine Le Pen reprend à son compte une rhétorique gaulliste portée par tous ses successeurs, qui consiste à affirmer que la France n’était pas à Vichy mais à Londres. Il est difficile d’accuser la candidate de flatter les nostalgiques de Vichy tout en condamnant de facto ce régime à l’illégitimité !
Illégitime également car il n’y a pas l’ombre d’un négationnisme dans ses propos : Marine Le Pen ne remet pas en cause la rafle, ni son horreur, ni la responsabilité des Français engagés dans l’arrestation et encore moins celle du gouvernement de Vichy. Elle se contente d’affirmer que ce n’était pas « LA » France, confirmant son acculturation gaulliste. Rien de plus.
Mais, dépassés dans leurs réflexes, tous ses détracteurs ont réagi comme un seul homme : l’erreur stratégique de Marine Le Pen a été de répondre à cette question en pensant que l’on pouvait être la fille de « l’homme du détail » et aborder sereinement ce débat.
Quant à l’erreur de ses adversaires, elle reste toujours la même : se focalisant sur des fantasmes qui pousseraient les gens à voter Front national, ils ne voient pas les raisons présentes de ce qui semble être une irrésistible ascension.
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Cette fausse polémique est orchestrée par les médias à la botte du cabinet noir de Hollande qui vise à mettre aux commande bébé Cadum Macron avec l’aide de son suppositoire Mélanchon qui lui veut faire comme la Grèce. Tous ces faux-cul pseudo journalistes, mais véritables militants crypto-communistes de l’extrême gauche font semblant de poser une question dont ils connaissent d’avance la réponse, puisque Marine Le Pen y a répondu à de multiples reprises et qu’en plus c’est dans son livre https://www.marine2017.fr/wp-content/uploads/2016/12/contreflots.pdf
Comme l’on écrit des commentateurs, c’est le gouvernement illégal de Vichy auquel la gauche socialo (alors sans islamo)fasciste a donné les pleins pouvoir qui ont permis la rafle du vel d’hiv. Et maintenant elle voudrait que tout les Français en soient responsable. C’est pas le culot qui les étrangle. Cette responsabilité socialiste et d’autant plus importante que le F.N. n’existait pas à cette époque. C’est donc bien une manoeuvre du cabinet noir des Hollando-Macronistes qui est en train de transformer la Présidentielle en 49-3 obligatoire en leur faveur sous prétexte d’alliance ou de sursaut républicain contre le F.N. un habituel coup tordu qui a constellé toutes les élections impliquant le F.N.. Espérons enfin le réveil même tardif des électeurs.
Or ce cabinet noir représente exactement les même équipes de pourceaux des gouvernement successifs de Hollande auxquels l’on doit la finalisation de la faillite de la France. Ils veulent se soustraire à leur réelle responsabilité devant l’histoire. C’est bien pour cette raison que l’histoire ne devrait plus être enseignée puisque c’est la presse à la botte qui la fabrique en fonction des intérêts du moment. L’histoire est une imposture permanente qu’il faut apprendre à analyser mais surtout pas à en faire une intoxication obligatoire.