Une Genevoise garde des séquelles de multiples interventions de chirurgie esthétique.
En cours de procédure, médecins et expert ont qualifié la pratique du docteur d'«acharnement hors norme», relaie la «Tribune». Selon eux, il n'aurait pas dû poursuivre son oeuvre après la deuxième ou troisième intervention.
L'avocat du généraliste a, lui, estimé que la patiente était au courant des risques avant chaque opération. Le défenseur plaidait l'acquittement. La juge est allée en ce sens. Elle a estimé que l'accusé n'avait pas violé son devoir de prudence et les règles de l'art, même s'il a commis des erreurs.
La porte du poulailler étant grande ouverte, les renards ne vont pas se gêner tout de même! Et maintenant qu’ils savent qu’ils ne risquent que quelques coups de bâton avec sursis, ils vont se délecter de cette situation autodestructrice initiée par de grands malades.
L’UE produit et impose à la pelle ses normes de qualité pour les produits et les “données”, mais avec la primauté qu’elle donne à la libre circulation des personnes, elle favorise la circulation des irresponsables et des roublards qui choisissent les pays les plus attrayants pour s’enrichir: à ce niveau, aucun contrôle possible de qualité, interdiction de discriminer!
C’est la juge qu’il faut mettre sur le billard de cet excellent praticien, peut-être qu’après, elle aura botoxé son d’intime conviction.
Il ne faut pas effaroucher tous ces docteurs au rabais qui viennent en Suisse pour les salaires mirobolants…et pas pour nous enrichir ! Il y a exivalences mais il doit y avoir plein de combines ! Il manque des médecins en Suisse mais à la place d’en former on préfere les faire venir d’ailleurs…
Et bien c’est lui qu’il faut liposuccioner!