Good Bye England ! Journal du mercredi 29 mars 2017

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Au sommaire de ce journal télévisé : 1) Union Européenne / Good Bye England ! 2) Sécurité / La communauté chinoise ne lâche rien ; 3) Économie / La contrefaçon touche un produit de haute technologie sur cinq ; 4) International / La Libye : coeur des flux migratoires ; 5) L’actualité en bref.

Intense journée pour Marine Le Pen. Mardi, la candidate du Front National a enchaîné les épreuves. D’abord, un grand oral devant les patrons du Medef puis une émission politique le soir où les échanges étaient houleux.

 

La campagne n’est pas un long fleuve tranquille. Mardi, Marine Le Pen avait rendez-vous dans la matinée avec le MEDEF pour exposer son programme et répondre aux questions. Comparés aux interventions d’Emmanuel Macron et de François Fillon, les échanges se sont légèrement plus tendus avec la présidente du Front national. Si le ton est resté cordial, les échanges étaient parfois frontaux. Si les patrons ont convié la candidate pour la première fois avec cette campagne 2017, ils ne sont pas pour autant sur la même longueur d’ondes… et c’est rien de le dire. Si le prétendu cordon sanitaire d’antan a désormais volé en éclat, la conversation a souvent donné lieu à un véritable dialogue de sourds. Passablement agacée, Marine Le Pen a rappelé à plusieurs reprises qu’elle n’était pas le grand méchant loup. Les questions ont bien entendu porté essentiellement sur les orientations économiques du programme de Marine Le Pen, autrement dit, majoritairement sur la sortie de l’euro et le protectionnisme, deux mesures qui inquiètent les patrons de grandes entreprises. La présidente du Front National a, dans ce cadre, exposé à nouveaux ses volontés pour la France sans se lancer dans une opération séduction compliquée. La candidate en tête des sondages a donc rappelé les dommages causés par la mondialisation.

 

En réalité, Marine Le Pen est apparue ferme sur ses positions et semblait décidée à faire comprendre qu’elle ne comptait pas fléchir. Une stratégie sans doute payante dans la mesure où l’électorat du Front National perçoit plutôt négativement le syndicat patronal.

Aucune compromission donc de la part de la candidate, mais de la fermeté et une remise à plat des grands sujets économiques pour lesquels le Front National est souvent diabolisé et caricaturé.

Une image du parti sur laquelle David Pujadas a voulu insister, quitte à passer pour un roquet de garde… dans l’émission politique du soir. Christine Angot – qui avait littéralement agressé verbalement François Fillon la semaine dernière – était peut-être déjà prise pour faire le sale boulot, Pujadas s’en est donc saisi à bras le corp. Après quelques questions sérieuses sur le programme de la candidate, le journaliste du service public s’est adonné au ratissage de caniveaux en faisant virevolter des questions sur l’antisémitisme et les mises en examen des supposés proches de Marine Le Pen. L’entretien a donc viré au procès en sorcellerie… “du vent” pour la candidate qui a conseillé à Pujadas de faire du droit pour s’épanouir dans un rôle de procureur.

Les tirades accusatrices du journaliste ont ainsi permis une nouvelle fois d’accréditer le parti pris des medias et du pouvoir pour le candidat Macron… lequel bénéficie toujours d’une clémence voire d’éloges dithyrambiques, contrairement aux candidats des droites.

Un soutien pour Macron qui devient d’heure en heure plus difficile à cacher. Tout le pouvoir en place semble désormais en marche derrière le banquier Rothschild. Seules les déclarations officielles de ralliement se font attendre… Manuel Valls a toutefois emboîté le pas au Ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. Le catalan a annoncé son ralliement au mouvement en Marche, tournant ainsi le dos à un Benoît Hamon au plus bas dans les sondages.

 

Il ne manquera plus que la rose à l’affiche d’en Marche…Macron est devenu le candidat officiel du Parti Socialiste… Hamon est mort, vive Macron. Après s’être fait désirer, Manuel Valls a décidé de faire son “coming out”. Son soutien ira bel et bien à Emmanuel Macron, qui aura trahi François Hollande plus efficacement que lui. Valls tourne donc le dos à Benoît Hamon, pour lequel il s’était pourtant engagé à faire campagne en signant la charte de la Belle Alliance Populaire. L’homme sans honneur qui ne vaut rien, comme l’a qualifié Arnaud Montebourg ce mercredi matin, fait l’objet de nombreuses critiques dans les rangs clairsemés de la gauche radicale de Benoît Hamon, lequel confie qu’il ne s’attendait pas à recevoir autant de coups de couteau.

De son côté, le leader d’en Marche, Emmanuel Macron s’est uniquement contenté de remercier Manuel Valls… cherchant toujours à fuir l’image du successeur direct de François Hollande, une image de plus en plus difficile à éviter. En effet, Benoît Hamon a fait le choix de maintenir le cap de sa campagne à l’extrême-gauche du PS, il s’est donc naturellement coupé des branches plus libérales, telles que celle de Manuel Valls. Sans doute sincère, la stratégie – si tant est qu’il s’agisse d’une stratégie – était perdante dès le départ. Enclavé entre Jean-Luc Mélenchon qui mène une bien meilleure campagne, le candidat élu à la primaire socialiste a perdu beaucoup de temps à courtiser le candidat écologiste pesant 1 %, Yannick Jadot. Il s’est ainsi collé à la peau une image encore plus marquée à gauche. Confronté au candidat de la France insoumise qui grimpe dans les enquêtes d’opinion, Hamon est contraint de sortir du pacte de non-agression qui s’était établi fin février, faute d’alliance. C’est ainsi que le breton avait fustigé la supposée “fascination” de Mélenchon pour Vladimir Poutine au Journal de France 2… Une attaque qui avait valu une réponse d’Alexis Corbière, bras droit de Mélenchon, lequel avait conseillé à Hamon de prendre une tisane et de respecter l’accord… Vincent Peillon, pas encore déserteur, a quant à lui considéré que le rassemblement entre Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon allait finalement s’imposer… mais si le rassemblement voit le jour, il se fera sans doute au profit du tribun insoumis.

Au niveau national, partout où se tourne Hamon, on lui tourne le dos. Son unique petite joie fut de recueillir le soutien du spécialiste en oenologie du Parlement européen quand il en était le président, Martin Schulz, devenu depuis le patron des socio-démocrates allemands.

 

A cette vision peu ragoutante d’europeiste, se sont ajoutés des sondages de plus en plus inquiétants. . Oscillant entre les 11 et 12 %, Benoît Hamon se rapproche dangereusement de la barre des 10 %… A se demander s’il aura le droit de participer à tous les débats ! Face à cette promesse de déconvenue électorale, les ténors socialistes ne sont pas dupes et savent que les gamelles seront vides en juin prochain s’ils persistent à rouler pour Hamon. Les ralliements au candidat Macron deviennent alors un véritable cercle vicieux pour Hamon. A chaque départ d’un socialiste pour le mouvement en Marche, une impression de dynamique s’empare de l’ancien banquier Rothschild, pendant que lui, candidat à l’étiquette du parti, apparaît comme un vieux chien abandonné sur le bord de la route.

Les ralliements à Macron devraient donc se poursuivre, même si le loup de la finance affirme qu’il compte rester maître du mouvement… laissant planer que les investitures n’étaient pas du tout cuit pour les traîtres socialistes. Parallèlement, la famille de droite observe également son lot de trahisons… Après Michel Mercier, ancien garde des Sceaux de Fillon, après Marie-Anne Montchamp, ancien secrétaire d’état de Fillon… Jean-Louis Borloo, ancien ministre de … François Fillon pourrait également se mettre en marche.

 

 

1) Union Européenne / Good Bye England !

Good Bye England ! C’est le grand jour pour les Britanniques, le premier ministre Theresa May a déclenché l’article 50 du traité de Lisbonne. Un article qui prévoit la sortie d’un Etat membre de l’Union Européenne. Explications.

 

Cette sortie de l’UE avec l’utilisation de l’article 50 a été rendue possible grâce au référendum de juin 2016. Une sortie de l’espace bruxellois qui ne devrait pas poser de problème économique au royaume mais qui pourrait paradoxalement lui coûter cher en termes de souveraineté… Olivier Frèrejacques

 

Good Bye England ! Ca y est, c’est le début de la fin du Royaume-Uni dans l’Union Européenne. Un processus lancé depuis le référendum du 23 juin 2016. Une victoire donc pour les partisans du Brexit et pour les eurosceptiques en général. Une victoire certes mais une victoire qui aura divisé le Royaume…

 

Les divisions sont donc multiples. En Angleterre entre Londres, centre du pouvoir et de la finance, et le reste du pays. Mais aussi et surtout entre les différentes entités territoriales du Royaume ! Si le Pays de Galles ne pose pas de problème, l’Irlande du Nord, en proie à une crise institutionnelle pourrait être une épine dans le pied londonien. En effet, unionistes et nationalistes n’arrivent pas à trouver d’accord à une coalition et le Sinn Fein, parti des nationalistes de gauche, favorables à une réunification avec la République d’Irlande, trouve dans le Brexit une opportunité de faire valoir ses velléités d’indépendance vis-à-vis de la couronne ! La situation est encore plus chaude en Ecosse où le Parlement s’est prononcé en faveur d’un nouveau référendum d’indépendance.

Le premier ministre écossais Nicola Sturgeon pourrait bien être le grand artisan de l’émancipation de son pays. Egalement à la tête du Parti national écossais, nationaliste de gauche, elle pourrait réaliser la séparation que son parti rêve de réaliser depuis plus de 80 ans.

Londres est désormais lancé dans une phase de négociation de deux ans. Entrée dans la Communauté Européenne en 1973, les britanniques ne se sont jamais vraiment fondus dans la masse bruxelloise. Disposant de nombreuses dérogations sur la contribution au budget, la coopération administrative policière et judiciaire, la charte des droits fondamentaux, la législation sociale et l’Espace Schengen. En outre, le Royaume-Unis a obtenu une exemption d’intégration à l’Union Economique et Monétaire lors de la conclusion du traité de Maastricht.

En réalité le Royaume-Unis et l’Union Européenne étaient en situation de quasi divorce permanent, séparation de corps oblige… Paroxysme du paradoxe, le Royaume-Unis en récupérant sa pleine souveraineté politique vis-à-vis de Bruxelles est en passe de perdre sa souveraineté territoriale avec les cas écossais et peut être nord-irlandais. Parmi les questions à régler lors de ces deux années de négociations, la question du statut des personnes sera en première ligne avec la situation des citoyens britanniques européens, viendra ensuite le règlement des questions financières et fiscales…

Une chose est sûre, la sortie britannique de l’Union Européenne est incomparable avec un éventuel Frexit, une sortie française de l’UE. Theresa May, grande prêtresse de l’indépendance britannique est une ultra-libérale-souverainiste, un profil politique inexistant en France. De plus, son pays n’avait finalement qu’un pied dans l’UE…

 

2) Sécurité / La communauté chinoise ne lâche rien

La communauté chinoise de Paris toujours sous le choc. Après la mort d’un de ses membres lors d’une intervention de police, la diaspora a organisé mardi une nouvelle manifestation dans le 19 arrondissement de la Capitale. Des militants d’extrême gauche et autres jeunes des cités ont poussé les manifestants à l’affrontement.

La communauté asiatique dans la rue ! Mardi, environ 100 personnes se sont rassemblées devant le commissariat du 19ème arrondissement de Paris à la suite de la mort d’un père de famille lors d’une intervention de police dimanche à son domicile.

Vers 23 heures, après le départ d’une bonne partie des membres de la communauté chinoise, des militants d’extrême gauche ont crié des slogans hostiles à la police avant de lancer des projectiles sur les CRS.

Un policier présent lors du rassemblement est revenu sur le déroulé des faits qui ont conduit les forces de l’ordre à abattre l’homme de 56 ans. Un résident avait alerté le commissariat après avoir entendu des cris provenant de son appartement.

La victime aurait déjà été vue en train de lancer des objets depuis la fenêtre de son logement alors qu’il était sous l’emprise de l’alcool. Selon l’une des 4 filles de la victime, présente lors de l’intervention de police, son père, en train de cuisiner, était bien muni de ciseaux mais n’aurait pas tenté de blesser les fonctionnaires de la Brigade anti-criminalité.

Pour faire toute la lumière sur l’affaire, le parquet de Paris a ouvert 2 enquêtes : la première pour “tentative d’homicide volontaire”, la deuxième, confiée à la Police des police, sur les circonstances qui ont amené le fonctionnaire à faire usage de son arme.

 

3) Économie / La contrefaçon touche un produit de haute technologie sur cinq

L’explosion du e-commerce en Occident, tiré par le géant américain Amazon, n’en finit pas de créer des surprises et parfois… de mauvaises surprises ! Un rapport dévoile que le nombre de produits de nouvelle technologie contrefaits dépasse tout ce que l’on pouvait imaginer…

 

Un téléphone mobile sur cinq, une console de jeu vidéo sur quatre, envoyés de Chine, le plus souvent, en Europe, sont des faux.. vendus sur Internet, sur Amazon, Ebay, mais aussi sur d’autres sites de e-commerce comme Bangood.com, sont des faux, des contrefacons. Même des produits que l’on imaginait impossible à contrefaire sont victimes de ce phénomène, de faux téléphones Samsung, ou de faux iPhone d’Apple sont régulièrement saisis par les douanes…

Le problème, c’est que jusqu’ici, on estimait que seuls 2,5 % des produits technologiques étaient contrefaits mais les dernières statistiques compilées par l’OCDE, l’organisation pour le commerce et le développement économique sont bien plus inquiétantes.. elle estime désormais à près de 3 fois plus, 6,5 %, le nombre de produits ou d’appareils liés aux technologies de l’information et de la communication qui sont contrefaits.

Ces produits fonctionnent en apparence comme ceux qu’ils copient puisqu’ils en reprennent une partie de leurs composants, mais bien souvent, les écrans sont de moins bonne qualité, les commandes tactiles répondent moins bien, le logiciel système installé à l’intérieur est lui même une version piratée du système d’origine, qui vise à empêcher le constructeur d’origine de détecter la contrefaçon à distance… Plus inquiétant, certains composants comme la batterie peuvent être dangereux, et exploser ou provoquer des incendies, et les émetteurs récepteurs radio, pour la 3G, la 4G, le Wifi, peuvent aussi émettre plus de rayonnements que ce que la norme autorise normalement.

Il n’y a pas que les consoles de jeu et les téléphones qui soient victimes de ce phénomène… De fausses cartes mémoires ou clefs USB de grandes marques réputées sont aussi saisis régulièrement.. ils présentent le double risque de pertes inopinée de données ou de dommages aux ordinateur qui les utilisent… même les ordinateurs de bureau, portables, ou les tablettes commencent à être touchés.. 1 sur 20 est un faux, toujours d’après l’OCDE. Au total, ce marché de la contrefaçon de produits technologiques, en plus des risques qu’il fait prendre à ceux qui se laissent berner, représente probablement près de 500 milliards d’euros, rien que pour l’an dernier…

 

4) International / La Libye : coeur des flux migratoires

La Libye, au centre de la question migratoire ! Une réunion s’est tenue le 20 mars dernier à Rome afin d’évoquer les flux migratoires. Les ministres européens de l’Intérieur tentent de trouver une solution alors que la situation presse. Thibault Bastide

Tous les chemins mènent en Libye….enfin surtout quand il s’agit d’immigration. Alors qu’un accord a été conclu avec la Turquie pour stopper les flux migratoires vers la Grèce, un nouveau défi attend l’Union Européenne. Ainsi, les ministres de l’Intérieur du groupe de contact sur la Méditerranée se sont réunis le 20 mars dernier à Rome afin d’étudier un arrangement similaire avec la Libye.  Pourtant près de 20 000 clandestins sont déjà partis de Libye depuis le début de l’année pour rejoindre l’Italie.

Alors que cette réunion a rassemblé les ministres de l’Intérieur français, italien, allemand, autrichien, slovène, suisse, maltais et seulement 2 côté africain, les ministres libyen et tunisien, il a surtout été question d’argent. En effet, le gouvernement national libyen n’a pas hésité à profiter de la situation pour réclamer des moyens à l’Union Européenne pour un total de 800 millions d’euros. Rappelons que 200 000 millions d’euros ont déjà été alloués afin de financer la formation de 90 garde côtes libyens et la livraison de 10 navires de patrouilles.

Cependant si l’Union Européenne cède les 800 millions d’euros demandés, plusieurs interrogations sécuritaires se poseront car la Libye est actuellement plongée en plein chaos.  De nombreux observateurs s’inquiètent de voir des milices armées s’emparer du matériel et ainsi augmenter l’impact économique du trafic de migrants effectué dans certaines zones libyennes. De plus, l’ONU s’oppose à l’importation d’armes.

Dans la foulée de cette réunion, la Libye a tenté de prouver l’efficacité de son système anti-migratoire en rapatriant une centaine de clandestins nigérians.

 

Mais la question migratoire presse. Pour le moment, aucune solution n’a été trouvée et la haute saison de la migration clandestine approche.

 

5) L’actualité en bref

Pas de clandestins pour l’Autriche ! Le chancelier autrichien Christian Kern va demander à être exemptée de l’accueil de migrants dans le cadre de la répartition des réfugiés entre les pays de l’Union européenne. Le ministre des affaires étrangères autrichiennes, Sebastian Kurz, a, de son côté, dénoncé les actions de sauvetages des ONG qui conduisent les réfugiés à la noyade. Le jeune ministre de 30 ans affirme que certaines d’entre elle sont même des partenaires des passeurs. Il préconise d’arrêter les bateaux et de les emmener dans des centres à l’extérieur de l’Union européenne. Mardi, les pays du Visegard, Hongrie, Pologne, République Tchèque et Slovaquie ont quant à eux dénoncé l’idée de lier la distribution des fonds européens à l’adhésion à la politique migratoire commune.

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L’ancien préfet d’Ile de France jugé pour fraude fiscale. Jean Daubigny doit comparaître avec son épouse devant le tribunal de Paris le 28 avril. L’ancien préfet et ex-directeur de cabinet de Manuel Valls n’aurait pas payé ses impôts ni déclaré ses revenus de 2011 à 2014. Lors de sa garde à vue, il avait dit être “dépassé par la gestion de ses impôts” et ne “pas être en capacité de s’en occuper”.

Le préfet Daubigny s’était fait connaître en réprimant les militant pro famille lors des manifestation contre le mariage homosexuel.

Rappelons que le socialiste Thomas Thévenoud, qui avait dû quitter le gouvernement pour les mêmes faits juste après sa nomination, n’avait pas été poursuivi pénalement.   

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Adieu la mère Noël ! Dans un livre qui sortira le 10 octobre prochain, intitulé Santa’s Husband, comprenez le mari du Père Noël,  ce dernier sera homosexuel et dans une relation interethnique.  Selon l’éditeur Harper Design, le père Noël sera noir et vivra au Pôle Nord avec son mari blanc . On attend avec impatience l’adaptation cinématographique.

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Des cigarettes made in buraliste ! Les buralistes français ont décidé de lancer leur propre marque de cigarettes qui s’appelleront très sobrement “LCB” soit “La Cigarette du Buraliste”. Les représentants de la profession expliquent cette démarche par une volonté de sensibiliser le gouvernement au marché parallèle de cigarettes qui représente 30 % de la consommation des fumeurs. Le produit sera fabriqué en Bulgarie et composé de tabac français notamment.

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