Autriche. Les ONG et les politiciens utilisent les réfugiés pour leurs intérêts propres.
Franz Schabhütti, durant 13 ans chef du plus grand camp de réfugiés d'Autriche, émet de graves reproches envers les ONG et les politiciens dans son livre "Brennpunkt Traiskirchen" (Point chaud Traiskirchen). Il critique particulièrement des ONG comme Caritas et Amnesty International. Plusieurs projets d'aide ont fait plus de dégâts qu'ils n'ont été utiles.
http://www.oe24.at/oesterreich/chronik/Traiskirchen-Fuenfzig-Tonnen-Essen-in-Muell/274535599
Traduction (Claude Haenggli) : Ces ONG ont continué à faire des appels aux dons, même lorsque le camp était déjà rempli à éclater (4740 immigrants en été 2015). Nous avons dû détruire chaque semaine aux frais du contribuable jusqu'à 50 tonnes de produits alimentaires encore bons à consommer. Même si les ONG travaillent bien, pour plusieurs d'entre elles, il ne s'agit que d'augmenter leur influence. Schabütti réclame aussi une "adaptation" de la Convention de Genève. "Les gens se choisissent leur pays d'accueil selon des critères économiques. Ils réservent les services des trafiquants comme dans un bureau de voyage."
Claude Haenggli, 25.3.2017
Ne pas oublier non plus les gauchistes de tout poil: No Borders, anars de pacotille qui n’ont jamais lu Bakounine de leur vie, punks à chien totalement has been, membres des Black Block arborant des sapes de marque payées chèrement par leurs darons, etc, etc. Eux aussi instrumentalisent les glandestins; et si ces derniers n’existaient pas, ils s’inventeraient de nouvelles victimes pour se donner l’illusion réconfortante d’être aux côtés des “damnés de la terre”. Comme faux-jetons, on ne fait pas mieux. Dans dix ans, ils seront notaires et évoqueront avec attendrissement leurs glorieues années de “luttes”.