Quand la relève est là, l'avenir du PS
La lecture du Matin Dimanche ne déçoit jamais, tant on y apprend au sujet des habitudes socialistes. Aujourd'hui, nous avons pu lire que Christian Levrat avait clairement menacé le pauvre chef de groupe PLR aux chambres fédérales Igniazio Cassis dans le cadre du projet de réforme des retraites. Le camarade numéro 1 vit toujours aussi mal le recul de la gauche dans notre pays et n'hésite plus désormais à utiliser le chantage lorsque certains élus d'autres partis n'entrent pas dans ses vues. Selon M. Cassis, le regrettable personnage l'aurait menacé de représailles lors d'une éventuelle future candidature au Conseil fédéral si d'aventure le groupe PLR ne suivait pas le Conseiller fédéral Alain Berset. La manœuvre a heureusement échoué, le PLR étant peu à peu en train de perdre cette détestable habitude de finir régulièrement par entrer dans les desseins du PS. Même s'il est judicieux de ne jamais s'abaisser au niveau de Christian Levrat, il est probable que ce procédé de truand reste en mémoire chez les uns et les autres lorsque Simonetta Sommaruga quittera le Conseil fédéral après avoir causé tant de mal à notre pays par sa politique migratoire sans contrôle et son inféodation à Bruxelles.
On peut lire également la profession de foi de Cesla Amarelle en vue de l'élection au Conseil d'Etat. La dame dit s'attendre à une campagne dure et agressive qui aurait déjà commencé sur les réseaux sociaux. Jusqu'ici, point de dureté ni d'agressivité mais simplement le rappel de ses prises de positions en faveur des colons qui entendent abaisser la Suisse au niveau des pays qu'ils ont quittés. A la suite des viols du Nouvel An à Cologne et ailleurs, Cesla Amarelle expliquait avec ses consœurs femmes socialistes que la Suisse n'avait pas attendu l'arrivée de ces migrants à la testostérone en furie pour découvrir le sexisme et la violence sexuelle, deux notions elles aussi ancrées depuis longtemps dans nos mœurs. Il est vrai que les viols collectifs au vu et au su de tous se produisent très régulièrement lors d'événements populaires depuis fort longtemps dans notre pays. Etonnant néanmoins de constater qu'il a fallu attendre Cologne pour que nos pasionarias de l'asile s'en émeuvent. Toujours à ce sujet, Cesla Amarelle a largement fait savoir qu'il était de notre devoir d'offrir le gîte et le couvert aux terroristes s'ils sont menacés chez eux. Déjà que le canton de Vaud n'est guère féroce en matière de renvoi, imaginez comment évoluerait la situation si d'aventure le peuple la portait au pouvoir. Très attractif pour la délinquance vagabonde grâce à Simonetta Sommaruga, notre pays le serait plus encore eu égard à l'accueil qui lui serait réservé du côté de Lausanne.
En parlant de frontière, nous avions évoqué il y a quelques jours la Jeunesse socialiste et son projet de droit d'établissement planétaire. La barre était déjà haute mais la présidente de la relève rouge a choisi de faire encore plus fort, brulant son soutien-gorge avec quelques camarades pour appeler à la marche des femmes. Naturellement, cet acte de révolte novateur se devait d'être immortalisé, ce qui a permis à beaucoup de constater que certains gestes politiques devraient être plus murement réfléchis. Il est en effet à craindre que la forme ait pesé plus lourd que le fond, l'image l'emportant sur le texte.
Au sortir de la première guerre mondiale, Rosa Luxemburg donnait sa vie face aux tenants de la réaction. Aujourd'hui, Tamara Funiciello brule son soutien-gorge. Du courage à l'effeuillage, la différence entre oser et poser.
La Côte-aux-Fées, le 20 mars 2017 Yvan Perrin, président UDC-NE
Merci Monsieur Perrin, une fois de plus vous parlez juste. Et encore Merci de citer Lausanne qui est devenue une poubelle envahie de faux réfugiés, de dealers, de mendiants obèses qui réclament à manger, et de “collectif” d’abrutis.
Merci pour votre texte très explicatif et que j’apprécie énormément, comme d’ailleurs tout ce que vous publier dans “lesObservateurs.ch”. A bientôt !!!
Merci de cette mise à jour de l’état de certains de nos plus grands malades mentaux.
par M. Jean D’ORMESSON académicien
Je vous prie d’enregistrer le dernier mot de notre belle langue française, avec la définition par l’un de ses plus
DEFINITION : farouches défenseurs : Jean d’Ormesson.
L’INAPTOCRATIE
Un système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de la société les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d’un nombre de producteurs en diminution continuelle.
TRADUCTION BRITANNIQUE…
> > Il n’y a pas lieu de désespérer parce que comme l’a dit Margaret Thatcher : Le socialisme ne dure que jusqu’à ce que se termine l’argent des autres.
Ou comme l’a dit Winston Churchill : Les socialistes, c’est comme Christophe Colomb, quand ils partent ils ne savent pas où ils vont et, quand ils arrivent, ils ne savent pas où ils sont.
D’où l’invention du GPS : Guide Pour Socialiste
> > A l’école primaire des socialistes, on apprend les 4 opérations :
– L’addition des impôts;
– La soustraction des revenus;
– La multiplication des fonctionnaires et des immigrés;
– La division du travail.
Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba.
Au moins vous serez sûrs de n’avoir que 40 voleurs.
Jean d’ORMESSON.
Juste et fort joliment écrit.