Aujourd'hui, je me sens obligée de dénoncer un système qui, hélas, ne protège ni le résident ni le citoyen suisse, mais qui protège tous les autres. Immigrant, frontaliers, frontaliers avec des résidences fictives, étrangers avec permis B qui, après seulement une année de travail bénéficient des services que je finance.
Je suis une citoyenne suisse, née de parents suisses, et qui a toujours travaillé. Au cours des deux dernières années, j'ai pratiqué une profession qui n'est pas la mienne, j'ai appris un nouveau métier, en faisant pas mal de sacrifices, afin de ne pas être un poids à la charge de la société malgré le fait que j'en avais tous les droits.
Le problème, malheureusement, est que j'ai travaillé pour le compte de mon mari; même si j'ai travaillé régulièrement avec tant de salaires déclarés et prouvés. Malheureusement, ceci est un gros problème: travailler, payer les cotisations, être en règle mais se faire embaucher en tant qu'employée d'une société dans laquelle l'administrateur unique est le mari. A Lugano, le bon vieux temps est désormais fini, et nombreux sont ceux qui, à contre-coeur, ont été licenciés par manque de travail.
Ainsi, payant des cotisations mensuelles () et croyant avoir tous les droits, je me suis inscrite au chômage, délivrant une série sans fin de documents, relevés bancaires, fiches de salaires, certificats de naissance et recherches d'emplois, mais aujourd'hui j'ai eu une surprise.
J'ai reçu une lettre de Bellinzone dans laquelle il est écrit que ma demande d'indemnisation a été rejetée parce que l'employeur est mon mari, conformément à l' article... de la loi fédérale sur l'assurance-chômage.
Très bien, je ne peux pas changer la loi fédérale, ni l'enfreindre, mais je voudrais souligner certains facteurs que je ne peux pas tolérer, mais par-dessus tout qui sont incohérents.
En premier lieu, pourquoi ont-ils facturé chaque mois mes contributions salariales, alors que je n'ai pas le droit d'en bénéficier comme dans ce cas d'extrême nécessité. Et puis je voudrais comprendre le motif pour lequel il n'y a pas de contrôles assidus aux frontières concernant les résidences fictives dans notre canton.
Puis, pour quel motif n'existe-t-il pas une loi où les personnes ayant le permis B ne peuvent avoir droit au chômage qu'après une période d'au moins 3 ans de travail / résidence en Suisse et non au bout de 12 mois. Mais en particulier, dans le cas où elles perdraient leur travail, le permis d'établissement devrait être révoqué.
C'est une HONTE que les citoyens suisses / résidents ne soient pas protégés alors que nous sommes les premiers à payer pour garder les gens qui ne devraient même pas avoir le droit d'utiliser nos services, et moi avec une famille à charge, il ne me reste plus que l'indignation, je ressens de la honte pour ce pays (...).
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Je suis un retraité Suisse, né à Genève, qui à vécu toute sa vie active dans la ville de Calvin. Peu avant ma retraite je suis partis m’établir à Madagascar. Après six d’aventures passé dans ce pays., Après la naissance de mon fils, j’ai décidé de rentrer en Suisse, devant l’explosion de la criminalité, des enlèvements d’étrangers et de la corruption. Sans parler des conditions sanitaires, les délestages d’électricité et les accidents de la route. Des maladies comme la peste, le choléra, existent encore dans ce pays.
En novembre 2016, je suis rentré à Genève. Je me suis rendu au bureau des suisses de l’étranger, (bureau fermé). J’ai donc contacté le service social, pour savoir s’ils pouvaient me donner un coup de pouce pour trouver un logement. Car pour bénéficier d’un logement social, il me me faudrait résider deux ans à Genève. L’hospice Général m’a baladé dans toutes ses agences à Genève, Ils avaient l’air très embarrassés, pour me confier enfin, qu’ils ne s’occupaient pas des personnes à l’AVS. Je n’ai eu droit à aucun conseil, aucun soutien moral, ou financier, rien, absolument rien. Quand j’ose évoquer l’accueil qu’ils prodiguent aux émigrés, l’on me fait vite comprendre que je suis un raciste. Ils ont même oser dire que si je n’avais pas de logement et pas de travail, je n’avais rien à faire à Genève. Je n’ai donc plus le droit de vivre sur ma terre natale. Ils sont où les racistes? Nous n’avons donc aucune priorité. Aujourd’hui je me trouve sans logement déclaré, je ne possède pas de droits civiques, pas d’assurance maladie, pas de droits à l’ouverture d’un compte bancaire, pas droits au regroupement familial. Je suis donc devenu un apatride, dans mon propre pays. Vive la Suisse!!
Monsieur Hegli, vous dites dans un de vos messages “Le jour de la distribution de l’intelligence les petits suisses étaient absents! Non seulement ils invitent à vivre chez eux, des émigrés qui les méprisent, mais en plus ils donnent le droit de vote a ces émigrés pour qu’ils puissent gouverner les petits suisses qui ne sont plus capable de ce gouverner eux-mêmes!…. ”
Mais si ces petits Suisses, comme vous dites iraient voter au lieu de rester bien au chaud chez eux, peut-être que certaines Lois, Initiatives et Referendum, ne seraient jamais passés, quand je vois que depuis que je vis en Suisse, j’y suis né, la participations est plus que souvent inférieur à 50% et même très inférieur à 45%, A a qu’a voir sur le site de la Confédération.
https://www.admin.ch/ch/f/pore/va/vab_2_2_4_1.html
Si ces Suisses se seraient bougé le cul, peut-être qu’on ne serait pas dans cette situation aujourd’hui, trop facile de mettre tout sur le dos des étrangers, moi Monsieur, j’ai le droit de vote au niveau communal et depuis que j’ai ce droit, parce que j’estime que je le mérite, je l’utilise à chaque fois, par correspondance et j’incite même mes vieux Parents à le faire, mais quand je vois le taux de participation, j’ai surtout honte pour ceux qui ne votent pas, ceux qui nous disent qu’ils ne votent pas pour boycotter etc. Ont-ils vraiment compris le principe d’une votation ou d’une élection ? Mois je ne crois pas.
En Suisse, le Citoyen a plus de droit que partout ailleurs au monde, donc donner son opinion lors d’un vote, c’est un droit, mais aussi une obligation.
Ne rien faire, s’abstenir, ce n’est pas exprimer un choix, c’est ce foutre de la gueule de tout le peuple, qu’il soit riche ou pauvre.
Un seul adjectif IMMORAL. Pourquoi un chef d’entreprise n’aurait pas le droit d’embaucher un membre de sa famille. On dirait que, dans cette ( belle suisse )TOUT EST MIS EN PLACE POUR SEPARER ET PENALISER LES FAMILLES QUI S’ENTRAIDENT. JE NE COMPRENDS PAS POURQUOI LES EGLISES; LES ONG QUI SAVENT POURTANT QUE C’EST LA SEULE ARME EFFICACE POUR SORTIR DE SITUATIONS DIFFICILES, NE REMETTENT JAMAIS EN CAUSE CES SALOPERIES DE PROCEDES. SI ON PAIE POUR UN SERVICE ALORS ON Y A DROIT ET QUICONQUE DIT OU FAIT LE CONTRAIRE NIE TOUTE LA SOCIETE ET SON FONCTIONNEMENT. TÔT OU TARD, CA RETOMBERA SUR VOUS QUI PRATIQUEZ CE GENRE DE DUPERIE. meilleures salutations MMLindemann
Le jour de la distribution de l’intelligence les petits suisses étaient absents! Non seulement ils invitent à vivre chez eux, des émigrés qui les méprisent, mais en plus ils donnent le droit de vote a ces émigrés pour qu’ils puissent gouverner les petits suisses qui ne sont plus capable de ce gouverner eux-mêmes!…. PITOYABLE!… 😛
Les vrais motifs des politiciens n’ont rien à voir avec le bien être du reste de la population. Mais bien au contraire, Ils ont deux buts très semblables… De s’établir eux-mêmes comme moralement est intellectuellement supérieur du reste de la population qu’ils méprises, et de s’accaparer le plus de pouvoir possible, afin d’usurper les droits de dires à cette population comment ils doivent vivre leurs vies
Les lois, mis en place à une autre époque, étaient adaptées à un contexte ( culture suisse, meilleure conjoncture) qui a radicalement changé, puisque l’état de dépendance ne fait que s’accroître, les indépendants étant éliminés par la concurrence sauvage de grands groupes qui favorisent l’extension migratoire.
C’est comme pour les couples mariés en activité qui paient plus d’impôts (cumul des salaires) que les concubins , mais dont la retraite est inférieure, parce qu’ils sont mariés.
Ce pays traite les petits entrepreneurs et les indépendants comme de la racaille. Des moins que rien. Combien de mois à en baver, pas de salaires qui rentrent, l’état vorace, procédurier, qui vous inonde de paperasse?
Malheureusement ce n’est pas parce que l’on paie des cotisations que l’on est toujours en droit de recevoir des subsides, c’est absolument insoutenable mais pourtant c’est le cas, comme d’ailleurs j’ai pu le lire, et je le savais car ayant cotisé durant plusieurs années, je savais que c’était en pure perte. Il y a beaucoup d’inégalités entre Suisses qui assument contre vents et marées et certains (de plus en plus nombreux) profiteurs.
C’est révoltant et cela ne concerne pas uniquement notre pays, mais tant d’autres.
La citoyenneté suisse n’apporte aucun privilège en Suisse, à part celui d’être une bonne vache-à-lait à traire à tout prix. Et quand on essaye d’obtenir la moindre prestation du social dévoyé, il faut encore se battre avec l’administration…
D’un côté il y a les vaches à lait, dont les politiques et élites diverses exigent qu’elles se laissent traire en la fermant, et de l’autre côté, il y a les vaches sacrées, en général venant de l’étranger, qui n’ont cotisé à rien mais ont droit à tout !
D’un côté ceux qui ont fait la richesse de la Suisse, en travaillant dur, en général rebuté d’être en situation de demander de l’aide, et de l’autre des gens qui pensent et à qui certains donnent à penser que tout leur est dû !
A long terme, on verra ce que ça donne……
Petit oubli: Nos remerciements à Victoria Valentini.
Ma sœur étant malade de la sclérose en plaque et étant salariée dans leur propre entreprise et payant les cotisations de l’AI,AVS,AC pendant des années á du prendre un avocat car l’AI ne voulant pas lui payer une rente á 50%. Quel honte ! Il faut se défendre !
La loi contre les citoyens. On en est là.