À l'occasion de la sortie de son livre de citations et d'aphorismes, Répliques et piques, aux éditions de l'Archipel, Brigitte Bardot s'est entretenue, comme à son habitude, en toute liberté, avec Valeurs actuelles. Voici quelques extraits de cet entretien à retrouver en intégralité demain [16 mars] dans votre hebdomadaire.
L'état de la France
"J’ai été élevée dans l’honneur, le patriotisme, l’amour et le respect de mon pays. Quand je vois ce qu’il est devenu, je suis assez désespérée. Quand je constate ce qu’ils ont fait d’un pays dont la richesse intellectuelle, la qualité du langage, de l’écriture, la primauté en matière d’architecture, de mode, d’élégance, de patrimoine rayonnaient dans le monde entier, ça me déprime. Comme disait mon grand-père, il y a de quoi se les prendre et se les mordre !"
A qui attribue-t-elle cette régression ?
"À la gauche. Elle déteste tout ce qui est luxueux, élégant, tout ce qui sort un peu de l’ordinaire".
Sur le communautarisme
"Je ne peux plus les voir, les islamistes. Que pratiquement partout en France on voie des burqas, c’est inadmissible. Qu’ils se conduisent comme ils veulent dans leur pays d’origine, mais qu’ils ne nous imposent pas des coutumes, des pratiques, des discriminations d’un autre âge : la France, ce n’est pas ça."
Les personnalités politiques qu'elle apprécie
"Marine Le Pen, je l’aime beaucoup et depuis longtemps ; mais aussi François Fillon. Je trouve que c’est un type bien ; j’ai été horrifiée par ce lynchage judiciaire et médiatique. Ce type a du courage et j’ai, comme vous le savez, beaucoup de respect pour cette vertu."
L'Union Européenne
"Il faut en sortir. Bruxelles nous casse les burnes."
L'état du cinéma français
"Il n’y a plus que des barbus et des actrices aux cheveux gras, qui se font violer dans les coins et qui trouvent des excuses à leurs agresseurs. Il n’y a qu’à regarder la Cérémonie des César où de gentils zombies remercient papa-maman, leur concierge et leur chauffeur de taxi, tout en lançant l’incontournable appel à la fraternité humaine et à l’antiracisme."
La culture française
"Je ne me suis pas battue contre l’Algérie française pour accepter une France algérienne. Je ne touche pas à la culture, à l’identité et aux coutumes des autres. Qu’on ne touche pas aux miennes."
Source : Valeurs actuelles
@Ath vouyahia Zohra,
Soutient total au peuple Amazigh contre les envahisseurs sanguinaires wahhabites !
@Burnand: vu sont age , il était temps qu’il prenne sa retraite. La suite après n’a été que le début de la fin pour la France, en commençant par l’école. J’aime pas trop le coté toutou de BB mais suis totalement d’accord avec ses dires sur le déclin total de la France . Un certain JML l’avait annoncé a la création de sont parti en avertissant que nous aurions un jour un président muslim ,( cela va arriver bien plus vite que prévu). Tout les biens pensants sont mis alors en tête de détruire ce parti qui osait dire la vérité , cela par n’importe quel moyen .
Qu’elle ne se soit pas battue contre l’Algérie française, et quelle dise la vérité, c’est tout à son honneur! Cependant, elle ne peut pas dire que le pire crime que le colonialisme français ait commis, c’est d’avoir, et de poursuivre le génocide de la langue et de la culture Amazigh (Berbère) autochtone, et d’encourager le pouvoir algérien à l’arabisation politique poussée à l’extrême, et en l’imposant aux enfants amazighophones en France?!….
Brigitte bardeaux et la femme de l avenir de la femme et exemple de la femme française libre
BB est loin d’être une sotte. Ses engagements pour les animaux étaient et son d’une totale sincérité. Elle aime son pays et ce qu’il en reste la consterne. Quand on pense à la France de Napoléon et ce qu’elle est devenue. Depuis la Révolution, tout va de travers. Ils n’ont plus voulu les Rois ? eh bien c’est bien pire maintenant. Comme quoi : décapiter toutes les têtes intelligentes et instruites du pays leur a fait un énorme tort car il n’y avait personne pour les remplacer. La preuve : aucun Président n’a été un bon Président et de Gaulle n’a pas été réélu.
bravo Brigitte!mais aussi longtemps que l état n est pas plus ferme, je dirais même méchant, les petits comme nous ne peuvent pas faire grand chose. c est triste.
L’héritage d’un certain charles, première erreur, avant d’avoir été “charlie” les français étaient “charles” !
Je n’ai jamais compris cette vénération pour ne pas parler d’une certaine forme d’idolâtrie pour ce triste charlot qui ne faisait que fuir à chaque sursaut, comme quoi, en France, plus “on” est lâche et plus on a du mérite !