Droits dévoyés de l’homme, islam conquérant…

...immigration, chrétiens, juges-prêtres, citoyens autochtones, étrangers choisis, accueillis, assimilés et Starbucks

Par Dominique Schwander

 

«En se conservant, les élites croient conserver tout ce qu’elles représentent, mais elles ne se demandent jamais si elles sont des élites, c’est-à-dire si elles en remplissent les devoirs; je ne me lasserai point d’insister sur ce point capital. Une société où le prestige ne correspond plus exactement aux services rendus où les classes dirigeantes reçoivent plus de la communauté qu’elles ne lui donnent, est une société vouée à la ruine. »

Georges Bernanos: Lettres aux Anglais. Gallimard 1946.

 

Le monde musulman nous envahit et nous colonise inexorablement en exploitant la « religion » droit-de-l’hommiste qui s’est emparée de nous. Au nom du dogme de l’amour de l’autre et des autres  jusqu’au mépris et la haine de soi et des siens, cette idéologie est devenue l’arme non conventionnelle de la conquête musulmane feutrée, non dite, sournoise mais bien réelle et mortifère de l’Occident et de la réislamisation en cours. La catastrophe actuelle de l’immigration de masse incontrôlée résulte de notre démission face à l’islam au nom des droits de l’homme inventés pour protéger les droits des citoyens contre les risques de l’arbitraire de l’Etat mais qui sont devenus une idéologie civile séculière suicidaire pour les Occidentaux. Quant à la réislamisation mondiale actuelle, elle n’est rien d’autre que l’expression de la volonté de guides et de leurs adeptes dévots de revenir aux prescriptions fondamentales de l’islam, applicables au monde entier et commandées impérativement par coran, hadiths et charia.

Pourquoi cette réislamisation pure et dure par les vraies « valeurs » de l’islam n’est-elle pas désapprouvée par les musulmans pratiquants, pour lesquels c’est trop dangereux d’être un mauvais musulman, pire encore d’être un musulman impie? Parce que la Déclaration des « droits » de l’homme musulman du Caire de 1990 interdit d’exprimer toute opinion « en contradiction avec les principes de la charia »; elle exclut donc toute liberté d’exprimer sa pensée et confirme la discrimination prescrite dans charia, sunna et coran. L’islam, que tant de nos élus droit-de-l’hommistes méconnaissent, repose sur des discriminations irrévocables et éternelles, en particuliers: à l’encontre des non-musulmans, à l’encontre des femmes, à l’encontre des justiciables et par la légalité de l’esclavage toujours cautionnée par les textes « sacro-saints » de l’islam.

Les musulmans se justifient en rappelant qu’ils ont leur Déclaration des droits de l'homme en islam, adoptée le 5 août 1990 au Caire par 57 états musulmans. Dans le texte original en arabe, ce n’est pas le terme droit (ensemble des règles qui régissent les rapports des membres d'une même société) qui y est utilisé, nuance islam oblige, mais le terme flou « dignité humaine ». Cette déclaration se distance énormément de nos Droits de l’homme de 1789 et de 1948. En réalité elle s’y oppose. Par exemple, elle affirme au premier article: « Toutes les créatures humaines sont des sujets d’Allah »; la liberté de conscience est donc illicite dans ces 57 états musulmans signataires. Cette Déclaration islamique universelle des droits de l’homme interdit d’exprimer toute opinion et pensée « en contradiction avec les principes de la charia ». Au sixième article, est précisé que les droits des femmes ne sont pas ceux des hommes, que la femme jouit de droits spécifiques à son genre et qu’il incombe aux femmes des devoirs tout particuliers. L’article 24 dit que les dispositions de cette déclaration sont sujettes à la charia et l’article 25 dit que la charia est l’unique source d’explication et de clarification de cette déclaration. Ces deux articles affirment ainsi que l’exemple de Mahomet, soit la sunna laquelle est la racine de la charia, a la suprématie dans le domaine des droits de l’homme. Que dire de cette prétendue déclaration islamique des dignités humaines de l’homme, qui énonce toute une série de « droits », en précisant sournoisement que ces dignités humaines ne peuvent s’exercer que dans les limites des prescriptions coraniques et leurs discriminations ? Concrètement, cela signifie que nos droits de l’homme de 1948 sont inacceptables et inapplicables dans ces 57 états musulmans signataires. On ne peut être plus clair. Cette déclaration du Caire n’est qu’un leurre pour de naïfs occidentaux qui ne saisissent pas le langage particulier des musulmans.

Au nom des droits dévoyés de l’homme, l’affichage identitaire arabo-musulman et africano-musulman dans le publique s’affiche comme l’étendard symbolisant ces

discriminations musulmanes, le rejet de notre civilisation occidentale, de nos démocraties, de nos valeurs et de nos vertus, et autour duquel se rassemble la fraternité musulmane prosternée qui se reconnait publiquement en temps que contre-nation et devient la rivale du peuple légitime de chaque pays occidental. Dans Europe menacée et meurtrie par le terrorisme musulman, l’ostentation systématique, la visibilité symbolique dans la société et dans l’espace publique des étendards musulmans, que sont, voile, indélicate burka, femmes mal emballées et sans gêne, barbe criarde, prière ostentatoire et tapageuse dans la rue, burkini tape-à-l’oeil, café sans femmes, minarets, cimetières musulmans, centres culturels islamiques, violences musulmanes telles que voitures incendiées, terrorisme musulman, etc, créent une ambiance agressive et malsaine favorable à modeler des musulmans pratiquants pour en faire des terroristes et des soldats sans uniforme des califats; cette ostentation et cette visibilité doivent être inversées et l’islam et les musulmans pratiquants doivent devenir discrets et effacés. Il y a une génération que nos autorités auraient dû s’attacher à cette tâche prioritaire et urgente.

Au lieu de cela, des élus et l’UE préparent la colonisation de l’Occident uniformisé par la fraternité musulmane; les religions chrétiennes ont été remplacées par la « religion » de l’amour de tous les autres de l’idéologie universelle d’amour droit-de -l’hommiste. L’amour chrétien de Dieu, d’où découlait l’amour de l’autre est falsifié et remplacé par l’amour absolu, obligatoire et juridique de tous les autres, sous peine de sanctions légales et d’opprobre. Il s’agit d’une inversion des valeurs avec comme résultat que les mauvais deviennent bons et victimes et les bons mauvais. Subrepticement, comme dans l’islam, il y a confusion entre les missions de l’Etat et les missions de nos religions chrétiennes, alors que les responsabilités politiques et juridiques sont d’ordre terrestre et que le royaume de Dieu et son paradis ne sont pas de ce monde. Des dirigeants bruxellisés immigrationistes et islamo-collabos ont rééduqué l’Europe au devoir de l’amour obligatoire de tous les autres (un amour idéologique autoritaire et totalitaire et non judéo-chrétien choisi et personnel) et nous menacent de nous sanctionner si nous ne nous y soumettons pas. Le pardon accordé par nos religions chrétiennes et par nos athées de culture judéo-chrétienne concerne la morale personnelle de chaque individu, non la Justice de notre pays. Pardonner à, puis même aimer un ennemi, aimer un immigrant, défendre un criminel, tendre l’autre joue, peuvent être une intention puis un acte de sanctification personnelle ou de justice individuelle, jamais une règle de droit imposée au peuple Souverain par l’amour de tous les autres, amour imbécile droit-de-l’hommiste puisque poussé au mépris de soi et des siens. Ne tendons nos joues qu’à un coupable de notre choix parce que le pardon, l’oubli et l’amour manifestés à une multitude de criminels, de violeurs, de pervers sexuels, d’immigrants clandestins, d’immigrants illégaux et de faux réfugiés créent un enfer pour les innocents et se fait toujours au détriment des autochtones et des immigrants choisis, accueillis et assimilés, de leur qualité de vie, de leurs familles et du peuple Souverain.

L’idéologie droit-de-l’hommiste est devenue une dictature autoritaire et silencieuse; elle interdit purement et simplement de traiter et de débattre des problèmes actuels, ce qui plait aux idiots utiles, aux élus d’extrême gauche et à tous ces élus complices des partis du centre et de droite fascinés par la gauche. Elle nous empêche, de manière sournoise et feutrée, d’exprimer nos opinions sur l’immigration; parce que, comme lors de l’Inquisition catholique, toute manifestation d’opinions non conformes au politiquement correct et à la bien-pensance est devenue un crime « religieux », un blasphème.

L’idéologie droit-de-l’hommiste veut interdire l’immigration au mérite et donc choisie et faire reconnaitre et légaliser la libre immigration vers les USA et l’Europe comme un droit absolu de tout homme et de toute femme parce que l’amour de l’immigrationisme, du métissage, du supranationalisme, du vivre ensemble et du tous pareils, seraient une rédemption de l’horrible et immonde Europe colonisatrice du passé, une purification pour tous; ces objectifs soit-disant nobles, charitables, salutaires et inévitables contribueraient tous à créer un nouveau monde totalitaire, uniformisé et radieux, un genre humain politiquement unifié, un paradis du vivre ensemble sur terre. Pour cela il faut préférer les étrangers, les immigrés et leurs enfants, bannir la préférence nationale, bannir l’immigration choisie et méritée, supprimer tout frein et opposition à l’immigration, illégale incluse, même faciliter la naturalisation.

Pourtant à les observer, à l’exception de quelques-uns, ces immigrants extra-européens ne viennent pas en Europe pour s’assimiler mais pour vivre comme chez eux dans leur diaspora, importer leurs épouses, continuer  leur mode de vie habituel, profiter de notre niveau de vie plus élevé et de notre Etat social. Cette diaspora transforme de nos quartiers en quartiers ethniques de non-droit. Il y en a même déjà 50 en Suède, donc pas seulement en France hollandaise et en Allemagne merkelisée. De nombreux enfants y sont élevés en s’y sentant complètement ailleurs que dans notre Suisse bien trop accueillante; ils ne s’assimilent pas mais se radicalisent. Adolescents, ils revendiquent tout en commettant déprédations, violences et viols. La non-assimilation, d’une multitude dispensée de faire l’effort de devenir comme nous pour s’assimiler, entraine dans nos frontières la formation d’une contre-nation et de contre-sociétés néfastes au peuple Souverain suisse. La qualité de vie est de plus en plus détériorée. Le gain en niveau de vie de l’immigration de masse non choisie est nul. Les immigrants perçoivent plus en manne des prestations de la Confédération, des cantons, des communes, des Eglises et des ONG que ce qu’ils leurs versent. L’immigration pèse aussi sur les salaires, en particulier les bas salaires, ce qui arrange certains patrons d’entreprise déshonnêtes. L’immigration, surtout extra-européenne et non choisie, a un effet négatif sur l’économie de notre pays et freine les progrès en productivité. La Suisse n’a pas besoin de ces immigrés; eux estiment avoir besoin de la Suisse, accaparent la Suisse, en profitent et la colonisent. Cette colonisation coûte très cher aux contribuables, endette l’Etat, nous soumet aux créanciers étrangers et nous cause des problèmes insolubles en matière d’assimilation, d’éducation, d’enseignement, de sécurité, de sociabilité, d’ordre publique, à tel point que la société va à la dérive en plusieurs morceaux et que le désir de vivre ensemble devient absent, à de rares exceptions.

D’angéliques chrétiens complices des musulmans pratiquants exigent, au grand bénéfice de minorités et au détriment de tous, de la famille et de la nation, que l’Etat-nation légifère sur des valeurs individuelles si ce n’est intimes, comme le divorce, le ventre des femmes, la prostate des hommes, l’avortement, l’anti-conception, le mariage, le concubinage homosexuel, l’égalité des enfants légitimes et illégitimes, se réclamer du sexe qui plait, les droits des hommes justes et des hommes injustes, etc. Suivant le mauvais exemple des musulmans pratiquants et leur coran, ces chrétiens veulent transformer en règle de droit universel des idéaux et des choix chrétiens ou athées, personnels et intimes.

A cause du mêmisme droit-de-l’hommiste ces chrétiens idiots utiles n’ont que sympathie,  préférence, complaisance et générosité pour les criminels, les illégaux et rejette la sévérité à leur égard de notre tradition chrétienne et européenne. Le rachat dispendieux des criminels et des violeurs comptent plus que leurs victimes et les innocents. Par contre, la « religion » droit-de-l’hommiste est devenue autoritaire; elle ne tolère aucun désaccord et punit les impiétés qu’elle a définies. Pour les juges-prêtres droit-de-l’hommistes et leurs dévots adhérents, la condamnation de l’illégalité, du meurtre, des mutilations sexuelles et du viol a perdu  beaucoup de son autorité morale; par exemple, ils ne prennent en considération le commandement chrétien « tu ne tueras pas » que pour soustraire l’assassin à la peine de mort, pour s’ingérer à l’étranger et y militer contre la peine de mort.

L’extrême gauche à la recherche de votes et les angéliques fanatiques bien-pensants du centre et de la droite qui collaborent avec elle, ont remplacé l’ouvrier par l’immigrant extra-européen, ont droit-de-l’hommisé leur dernière utopie la libre immigration de tous, soit une immigration non-choisie, celle des clandestins et des illégaux, celle des faux réfugiés militants, économiques, des criminels et des terroristes. Pour cette gauche internationaliste, l’immigration serait une occasion inespérée pour son combat citoyen internationaliste, en réalité un combat anti-citoyen pour détruire le nationalisme, le patriotisme, la nation, les structures politiques et sociales, la vraie démocratie, l’école, le mariage aristotélicien et la famille.

En janvier 2017, le Président de Chine, l’autoritaire et communiste Xi Jinping était en Suisse à Berne et à Davos. Didier Burkhalter et notre Présidente 2017 Doris Leuthard l’ont reçu. Pour faire acte de sanctification devant leur fervents droit-de-l’hommistes d’extrême gauche, ils n’ont pas pu s’empêcher de faire acte d’ingérence en abordant, avec mollesse il est vrai, les manquements à leur « religion » droits-de-l’hommiste en Chine actuelle. Pourtant ils auraient pu aborder tant de vrais et cruciaux sujets préoccupants pour l’avenir et l’économie de l’Occident, de notre pays, de nos entreprises et de nos emplois. Malheureusement pour se préparer à un si important entretien et aborder les vrais et cruciaux problèmes qui concernent en Suisse les citoyens suisses et leurs descendants, contrairement au Président Donald Trump qu’ils discriminent, ces deux conseillers fédéraux ont-ils lu comme Trump, en 2011, le livre de Peter Navarro: Death by China: Confronting the Dragon - A Global Call to Action, édité par Pearson?

Fin janvier, on pouvait lire dans la presse: le groupe américain Starbucks prévoit d’embaucher 10.000 réfugiés sur cinq ans aux USA et ailleurs, a annoncé son PDG, Howard Schultz. Voilà comment un vendeur de cafés droit-de l’hommiste fait croire qu’il est moralement meilleur que les siens, ses compatriotes et le Président des USA et enlève des emplois aux autochtones sans formation de son pays qu’il méprise et d’autres nations avec encore d’avantage de chômage. Alors qu’un tel entrepreneur devrait se préparer à la proche robotisation de son entreprise et de son pays. Où conduit l’amour des autres, la haine des siens et l’âpreté d’un commerçant qu’on peut soupçonner de rêver de dumping salarial. Seuls les Espagnols, qui ont un chômage de 20 %, ont réagi en collant à ses cafés de Madrid un nouveau logo « Starburka »!

starburka

 Par son culte de la non-discrimination, lidéologie droit-de-l’hommiste est la première idéologie juridique qui ne se préoccupe pas de la nation, de la société, de l’homogénéité du pays, du vivre ensemble des citoyens de cantons et de langues divers, de la préférence nationale et des citoyens-autochtones eux-mêmes. Cette idéologie refuse que l’appartenance à l’humanité se fait toujours par le biais des Etats-nations, des pays, de leurs peuples, de la préférence nationale, bien que l’article 3 de la déclaration de 1789 précisait: « le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation »

Les citoyens autochtones et les étrangers choisis, accueillis chez nous et assimilés sont les victimes de la contre-société de ces immigrants extra-européens et/ou musulmans, de nos concessions à leur égard, des confrontations, des persécutions, de leurs criminels, de leurs terroristes, du favoritisme de l’Etat pour ces immigrants, de leur sur-valorisation par l’Etat; les citoyens-contribuables autochtones et les étrangers choisis, accueillis et assimilés sont malmenés, maltraités et exploités. Ils deviennent des citoyens-contribuables apatrides dans leur propre pays envahi, pris en otage et colonisé par une multitude extra-européenne et/ou musulmane. En ayant permis aux autres à rester ce qu’ils sont, en capitulant, en n’ayant pas fait obligation à tous les immigrants de s’assimiler et en bradant notre nationalité, nos valeurs, nos vertus, notre histoire, ce que nous sommes et d’où nous venons sont délaissés.

Pour un européen chrétien ou athée, c’est un non-sens d’élaborer un droit des autres en dévoyant les droits de l’homme, les préceptes des évangiles chrétiens, même la torah, et en faisant appel au contenu du coran, alors que Jésus n’a jamais voulu créer du droit, Mahomet et les autoritaires califes qui lui succédèrent évidemment oui. Toute vraie religion est une religion de salut dans l’au-delà pas un projet juridico-politique-idéologique sur terre pour uniformiser et soumettre tous les habitants de la terre. Il est fou et suicidaire de vouloir que l’amour absolu et dogmatique des autres soit une norme juridique suprême droit-de-l’hommiste sanctionnée par des juges devenus les juges-prêtres supranationalistes de l’UE.

Ces juges multiculturalistes droit-de-l’hommistes ont, d’une part une inclination vers le pluralisme juridique au nom des différences culturelles, idéologiques ou religieuses, et d’autre part vénèrent la diversité des allégeances, des exigences et des cultures au sein d’un même État-nation, cela au détriment de l’identité nationale, de la préférence nationale, des propres intérêts et des préférences du peuple souverain. Le multiculturalisme et sa religion droit-de-l’hommiste font qu’il devient de plus en plus malaisé pour ces juges de condamner l’illégalité, par exemple un crime d’honneur, un viol ou l’immigration illégale. Dès que de tels actes sont approuvés par une idéologie ou une « culture » à qui des autorités angéliques ont donné les mêmes droits que la culture nationale dominante, ces juges droit-de -l’hommistes croient devoir les défendre. Le citoyen et/ou la victime, eux, n’ont pas toujours une connaissance des lois et de la jurisprudence; ils agissent en fonction d’un sens de la justice (« Rechtsgefühl ») c’est-à-dire que certaines choses peuvent être attendues de la part des autres et que certains droits et obligations sont la norme dans les rapports interpersonnels dans la communauté. Pour eux le droit n'est autre chose qu'une faculté morale d’agir, c'est-à- dire de faire ce qui est bien, moralement possible et conforme à nos devoirs. Lorsque ce citoyen et/ou cette victime sont la cible d'un acte d'accusation morale fondé sur un tissu de mensonges multiculturalistes, ils n’ont pour se défendre que de remettre en question les qualités morales de ses attaquants, juges compris.

Lorsque le juge droit-de-l’hommiste se double d’un « anthropologue » multiculturaliste et décide de ce qui est coutumier à diverses  cultures, ce ne sont  alors plus des personnes qui sont égales devant la loi mais des cultures et les violences culturelles qui leurs sont associées. Par une telle approche multiculturelle du droit, ce juge détermine quelles pratiques idéologiques, religieuses ou culturelles méritent d’être protégées par la justice. Voilà comment le multiculturalisme aboutit à des exceptions légales pour quasiment chaque comportement, à condition qu’il soit acceptable ou autorisé par n’importe quelle culture/inculture. Pourtant condamner avec clémence un meurtre d’honneur, une mutilation sexuelle d’un enfant, un viol punitif, un mari qui bat ou égorge son épouse, ne renforce pas les droits individuels et les libertés des citoyens, bien au contraire.

Outre le pluralisme juridique droit-de-l’hommiste il existe déjà en Occident des tribunaux islamiques officieux appliquant la charia et des systèmes parallèles de règlement des conflits qui contournent nos lois nationales. Certaines communautés de musulmans pratiquants ont de plus en plus d’enthousiasme pour les tribunaux coraniques où se prononcent leurs propres juges musulmans.

Être juge signifie remplir une fonction représentative au nom de la communauté. Le juge ne doit pas formuler d’opinions arbitraires et l’objectif est que sa décision emporte l’assentiment d’autres observateurs rationnels et du peuple souverain qui est au-dessus de lui. Même si le juge a pris conscience de ses préjugés, la communauté ne peut attendre de lui autre chose qu’une vision des faits et de la loi intelligente et informée, bien que subjective. La personnalité de la personne chargée de juger est donc extrêmement importante. Le juge bénéficie de la confiance que lui ont octroyée les membres de la communauté afin d’énoncer et de co-déterminer leur mode de vie. Cela fonctionne aussi à l’inverse. Comment un juge pourrait-il en effet déterminer ce que la bonne foi, les motifs graves ou l’atteinte à l’honneur ou à l’intégrité d’une personne (légitimant l’autodéfense) signifient, s’il ne peut s’appuyer sur une vision ou une culture dominante au sein de la société ? En effet, le juge d’un Etat-nation démocratique ne peut être accepté par les minorités culturelles, idéologiques et religieuses que s’il existe un sentiment d’identité nationale et de communauté partagée qui donne au juge son autorité et lui permet de se prononcer. Il est peu probable que les parties en conflit acceptent le verdict d’un juge si elles n’ont pas toutes deux le sentiment que ce juge appartient à la même identité, à la même communauté. Par conséquent, un juge ne doit pas tant être considéré comme « objectif » que comme « faisant autorité ». Ce n’est possible que lorsque le juge fait partie d’un ensemble plus large dont sont également membres les parties en conflit. Seule la nation et sa souveraineté peuvent fournir le contexte territorial  et culturel pour une telle autorité judiciaire.

Pour les raisons ci-dessus, la Cour européenne des droits de l’homme et les juges droit-de-l’hommistes devraient limiter leurs compétences et s’en tenir à leur mission première: protéger les individus contre les injustices fondamentales et essentielles en termes de violence physique et de graves actes de cruauté et défendre les principes élémentaires de la démocratie que sont la liberté d’expression, la liberté de la presse, les référendums, les initiatives et des élections libres.

Militer pour la facilitation de la naturalisation c’est s’agenouiller devant la « religion » des droits dévoyés de l’homme et son mêmisme et faciliter la désassimilation et notre colonisation par une contre-nation, en particulier musulmane, et par plusieurs contre-sociétés.

Dominique Schwander

 

 

 

4 commentaires

  1. Posté par Bussy le

    C’est seulement quand les islamos-collabos, beaucoup de politiciens et de juges, autres corrompus par les monarchies coupeuses de têtes, idéalistes la tête dans le sable, et autres traîtres seront touchés méchamment qu’ils vont percuter, mais ça sera trop tard, ça va finir par des bains de sang !
    Par contre, ces traîtres ne se rendent pas compte qu’ils finiront la tête au bout d’une pique s’ils sont traités par des européens ou alors égorgés comme des moutons si ce sont les islamistes qui s’occupent d’eux !

  2. Posté par cord eric le

    de toutes façon il est déjà trop tard on est conquis ! ils reproduisent leur mode de vie en Europe , prière de rue avec tapis sur le sol , véritable invasion en france déjà 17 millions de musulmans , plus les africains noirs , la moitié de la France est d origine étrangère non européenne , l Italie 400 000 naissances par ans parmi lesquels viennent au monde plus de la moitié non européenne, dans 20ans les italiens seront minoritaires chez eux ; plus le métissage vitesse grand v , dans ma rue une femme a épouser un arabe , résultat 4 bébés métissé, les femmes blanche du aux moyens contraceptifs ne font pas d enfants et celles qui en font le font avec des arabes et des noirs , les européens pourrait en effet disparaître en 70 ans avec une race métissée complète et la destruction de notre civilisation millénaire , et oui on est conquis , on les avait rejeté a la mer pendant 5000 ans , toutes les guerres du passé n auront servi a rien, des milliards d européens sont morts en se battant contre les arabes et toutes les guerres du passé n auront servi a rien , la Grèce antique, la Rome antique, les croisades, l Espagne occupée pendant 800 ans par les maures de 711 a 1492, l empire ottoman , depuis la seconde guerre mondiale j ai compté plus de 30 guerres avec les arabes ….toutes les guerres du passé ont eu lieu avec eux , les guerres du présent et les guerres du futur… voire Nostradamus et la voyante baba vanga

  3. Posté par conrad.hausmann le

    Triste réalité: Dans le mème sens, le Conseil des Etats ne veut pas interdire la burqa! La soumission au fascisme islamique est en marche…forcée! Il y aurait plus de promeneurs nus dans nos alpes suisse que de promeneuses en burqa :C’est des commentaires ridicules et stupides dans la presse suisse.

  4. Posté par Nicolas le

    Magnifique!

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