«En tant que ministre de l'Intégration, je dois le dire clairement : nous rejetons l'obligation de [porter] le foulard», a déclaré le 5 mars le ministre autrichien des Affaires étrangères et de l'Intégration, Sebastian Kurz, au quotidien autrichien Österreich.
Le ministre réagissait à une déclaration de la principale association représentant les musulmans du pays, la Communauté Religieuse Islamique en Autriche (IGGO) qu'il a par ailleurs qualifiée d'«attaque contre la liberté et l'autodétermination des femmes».
On peut en effet lire dans ce document mis en ligne à la mi-février sur le site de l'IGGO : «Pour les femmes musulmanes qui arrivent à la puberté, se couvrir le corps, à l'exception du visage, des mains et des pieds, est un devoir religieux et fait donc partie de la pratique de la foi».
«Je demande instamment à l'IGGO d'indiquer si sa recommandation demeurera sur son site internet», a souligné Sebastian Kurz, visant explicitement un texte signé par le mufti Mustafa Mullaoglu au nom de l'IGGO.
Mais des responsables de l'association ont estimé que ces du ministre constituaient un acte d'ingérence politique dans les affaires religieuses. Ils ont précisé s'être limités à donner des recommandations et indiqué qu'il appartenait aux femmes de choisir individuellement la manière dont elles souhaitaient pratiquer leur foi.
Pour leur défense, ils ont en outre fait remarquer que le texte plaidait néanmoins en faveur «de la liberté personnelle de [chaque] femme dans le choix de points de vue différents dans sa pratique religieuse», et qu'il encourageait les femmes musulmanes à respecter la «tradition locale», en évitant notamment de porter le voile intégral.
Le gouvernement autrichien avait annoncé en janvier dernier son intention d'interdire le port du voile islamique intégral dans les lieux publics. La coalition centriste au pouvoir a également envisagé de légiférer sur le port du voile «simple» dans l'administration. Ces projets ont provoqué de nombreux débats et des manifestations hostiles au gouvernement. Certains qualifient en effet ces mesures d'«anti-musulmanes» et de «sexistes».
Extrait de: Source et auteur
La capacité d’invention -et de provocation- des islamolâtres ne connaît pas de limites. En 2016, on a vu naître le burkini. Verra-t-on demain en Autriche et dans tous les territoires germanophones un dirndl version mahométane?
Il est intéressant de savoir que la moitié des réfugiés considèrent que la religion musulmane est au dessus de la loi
Quand ont sait que les réfugiés sont et seront à majorités musulmans, continuons à accueillir des réfugiés et nous serons “demain” et pas après demain, en musulmanie
C’est pourquoi les imams et responsables des organisations musulmanes “préconisent” le port du voile pour les femmes musulmanes en Europe. Ils se sentent très à l’aise pour le moment.
Ce qui se passera en Europe dans le futur, des généraux ou des dictateurs protecteurs contre l’islam arriveront au pouvoir. L’islam ne comprend que cela.
Et une politique généreuse de la natalité européenne sera à mettre en place.
“Pour les femmes musulmanes qui arrivent à la puberté, se couvrir le corps, à l’exception du visage, des mains et des pieds, est un DEVOIR religieux et fait donc partie de la pratique de la foi».
“Mais des responsables de l’association ont estimé que ces du ministre constituaient un acte d’ingérence politique dans les affaires religieuses. Ils ont précisé s’être limités à donner des RECOMMANDATIONS et indiqué qu’il appartenait aux femmes DE CHOISIR
individuellement la manière dont elles souhaitaient pratiquer leur foi.”
Devoir ou recommandation ne sont pas synonymes.
Encore des histoires avec ces saletés d’organisation islamiques, à quand l’Europe prendra l’initiative de les interdire et d’expulser du continent leurs membres! En Suisse, les Jésuites ont longtemps été bannis et interdits sur sol helvétique, parce qu’ils constituaient une menace pour l’Etat et l’équilibre social. Faisons de même avec ces maudites organisations islamiques!