Alors que le torchon brûle toujours entre Donald Trump et les médias historiques, une présentatrice de la chaîne d'information continue américaine s'est emportée contre Donald Trump : le président se chargerait de contrôler l'opinion à leur place.
Les complotistes peuvent se réjouir : une présentatrice américaine a levé pour eux une partie du rideau. Que ce soit par ingénuité, ou en raison de l'entre-soi du plateau de télévision lui faisant, Mika Brzezinski, paraissant oublier les spectateurs de l'autre côté de la caméra laisse échapper. «Il [Donald Trump] essaie de dénigrer les médias et il essaie de créer ses propres faits», s'indigne-t-elle dans une discussion animée entre journalistes tous d'accord avec elle
"Et ça, c'est notre travail"
Il pourrait brouiller l'information fournie par les médias, déplore-t-elle, «au point qu'il pourrait contrôler exactement ce que les gens pensent». Et d'ajouter : «Et ça, c'est notre travail».
Tel père telle fille ?
La démonstration de Mika Brzezinski,indiquerait que ce qui gêne les médias mainstream, ce ne serait pas la «post-vérité», «fake news» et autres «faits alternatifs», mais bien le fait que les médias classiques perdent le monopole de la fabrique de l'opinion publique. Mika Brzezinski se trouve être la fille de Zbigniew Brzezinski, inspirateur de la doctrine néoconservatrice et des faucons aux Etats-Unis, et fervent défenseur d'un «Empire américain» unipolaire.
#Fakenews : les médias #mainstream français s'allient avec #Google et #Facebook pour cadrer l'info https://t.co/eJDXJ2rmCT pic.twitter.com/9qhJp8zEaA
— RT France (@RTenfrancais) 7 février 2017
Depuis l'élection de Donald Trump en novembre 2016, les médias s'interrogent sur l'importance acquise par les réseaux sociaux et les sources d'information alternatives. Certaines initiatives, comme le Décodex lancé par Le Monde, visent à certifier et qualifier les informations diffusées par les médias en ligne.
Rappel: la journaliste de l'Hebdo, Isabelle Falconnier prétendait aussi que le peuple devait "apprendre à penser" sous le dictat des médias.
un faux ami: to control = diriger, gouverner, ordonner, dicter sa loi
Rien à voir avec un contrôle (d’identité par exemple) au sens français du terme.
Comme disait Coluche:
“Pour qu’ils arrêtent de vendre de la m…, il suffirait d’arrêter d’en acheter.”
La même chose doit s’appliquer aux medias.
Ce lapsus est plus que révélateur, c’est la profession de foi d’une croyante du mondialisme qui avait idéalisé son job au point d’en faire le cabinet noir du gouvernement réel et qui pensait pouvoir en devenir la présidente, au-dessus de Trump… Pas toute enfermées en psychiatrie, ces bobettes qui foutent la m…