La ministre allemande de la Défense a appelé les Occidentaux, Américains en tête, à ne pas transformer la guerre contre le terrorisme en guerre contre l'islam, semblant faire référence au décret migratoire controversé du président américain.
"On doit se garder de transformer cela en front (commun) contre l'islam et les musulmans. Sinon, nous encourrons le risque de creuser encore les fossés qui sont le terreau de la violence et du terrorisme", a dit Ursula van der Leyen lors de la conférence sur la sécurité de Munich.
Rappel: L’islamophobie attise le «terrorisme», estime le chef de l’ONU
Elle a raison. Ursula est une franc-maçonne canapette des émirs et soumise à sa marâtre Merkel, elle-même écartecuissée devant n’importe quel mahométan (c’est lui qui a le fric!). Ursula ne peut que tenter d’exister dans ce qu’on appelle “Allemagne”, ce truc terminé en 1945, mais c’est “pafassil” (franssé moderne) de nos jours faute de repères.
Un film X en tchador, Ursula? Chiche!
Tout à fait d’accord avec Jack Palance, ci-dessous, à cette différence près qu’à mes yeux même la Thatcher n’avait aucune place en politique.
Les femmes n’ont généralement rien à faire en politique (pour des raisons qu’il serait trop long d’expliquer ici), et sitôt que nous (nos sociétés, j’entends) serons dans l’ère post-thermo-industrielle (à savoir, celle qui suivra la période de vie des sociétés industrielles basées sur la consommation d’immenses quantités d’énergie concentrée fournie par les combustibles fossiles), c’est-à-dire lorsque nous sortirons de la méga-bulle industrielle qui dure depuis l’entrée en jeu des combustibles en question et dont le déclin a commencé mais qui durera quelques décennies (la descente se fera par paliers), tout cela va changer, comme d’ailleurs toute l’organisation sociale, économique, politique et militaire de nos sociétés (retour à des sociétés fortement hiérarchisées, entre autres changements). La fin de l’accessibilité des combustibles fossiles à prix bas marquera la sortie hors de la société thermo-industrielle.
C’est donc uniquement la société thermo-industrielle qui permet le genre d’autonomisation de la femme que nous observons depuis, mettons, la fin du 19è siècle.
Et une bécasse totalement incompétente de plus, nommée à un poste ou elle n’à rien à y faire !….Avec la Mutti, ces deux gourdes font une belle paire !…La seule femme politique pour qui j’ai un profond respect, c’est Mme Thatcher….les autres n’ont fait que prouver leurs totales incompétences !….la femme n’a RIEN à faire en politique et il y a qu’à voir en Suisse le nombre de bécasses notoire qui nous polluent la vie !…merci
Oui, madame la ministre à la Défense, la guerre doit AUSSI être menée contre des gens tels que vous.
“La guerre contre les caries ne doit pas se focaliser sur les streptococcus mutans”, “Le combat contre un incendie ne doit pas stigmatiser les flammes”. Ça va, j’ai bon?
Une de plus que l’on n’aurait du jamais laisser sortir de sa cuisine.
Petit problème : les terroristes ne sont ni chrétiens ni animistes ni bouddhistes, ils sont musulmans, et se conforment non pas à une interprétation mais à la lettre du coran. Les versets sataniques incriminés ont été assez souvent publiés pour qu’il soit utile d’y revenir : on connaît la source, on connaît aussi la contrainte du djihad pesant sur chaque musulman. Alors le ministre Allemand peut toujours ergoter, la lutte contre le terrorisme passe aussi par une mise en accusation de l’islam. Faute d’admettre cela, et faute de cesser les compromissions avec les wahhabites et autres théocrates totalitaires, l’Europe périra.
Parce que les terroristes ne sont pas musulmans peut être ??????
Où étaient ces jeunes crétins quand 17 adolescents ont été massacrés à Ciudad Juarez, ou quand les corps mutilés de 49 personnes ont été ramassés le long d’une route du Nuevo Leon. Ont-ils aussi fait un mur contre la barbarie et brandi des fleurs face aux narcos?
Padamalgam entre terroristes et islamistes. Rien à voir, on l’a bien compris. Un tel aveuglement ne fait qu’empirer la situation, servir les extrémistes et croître l’électorat de gauche. Après tout, c’est bien le but recherché.