La classe politique française a réagi à la signature par Donald Trump, le 28 janvier, d'un décret interdisant l’entrée sur le territoire des Etats-Unis de ressortissants de sept pays majoritairement musulmans : l'Iran, l'Irak, la Libye, la Somalie, le Soudan, la Syrie et le Yémen.
Au sommet de l'Etat, François Hollande s'est entretenu au téléphone avec le président des Etats-Unis le 28 janvier. Il s'agissait de leur première discussion depuis l'élection américaine du 8 novembre 2016. D’après le communiqué diffusé par la présidence française, François Hollande a rappelé à son homologue américain la nécessité de respecter «le principe de l’accueil des réfugiés». Il l'a également mis en garde contre «le repli sur soi», qui «est une réponse sans issue», selon lui.
Jugeant ce décret «inquiétant», Jean-Marc Ayrault, en déplacement en Allemagne, avait estimé plus tôt dans la journée que «l'accueil des réfugiés qui fuient la guerre, ça fait partie de nos devoirs. Nous devons nous organiser pour faire en sorte que ça se passe de façon équitable, juste, solidaire». Selon lui, la mesure prise par Donald Trump serait inefficace face au terrorisme, qui n'a «pas de nationalité».
Dimanche 29 janvier, Emmanuel Macron a également réagi aux restrictions migratoires mises en place par Donald Trump. Le candidat d’En marche ! a condamné le décret du président américain dans un tweet en anglais : «Je soutiens les gens qui fuient la guerre et la persécution. Je soutiens le peuple qui défend nos valeurs.» Il a agrémenté son tweet du hashtag popularisé sur les réseaux sociaux aux Etats-Unis, #NoBanNoWall (Pas d'interdiction, pas de mur).
Rama Yade, candidate à la présidentielle du mois d'avril prochain, a estimé quant à elle que la mesure prise par Donald Trump requérait «au minimum une convocation de l'ambassadeur américain» en France et «une action auprès de l'ONU».
Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, estime que Donald Trump ne fait qu'appliquer «le programme pour lequel il a été élu» et ne voit donc aucune raison de «polémiquer».
Du côté du Front national et de ses alliés, la décision du président des Etats-Unis est plutôt bien perçue. Robert Ménard, maire de Béziers, salue une «politique courageuse», dont il estime que la droite française serait «incapable».
Extrait de: Source et auteur
L’oligarchie monarchique française réagit comme un actuel clan gauchiste. Lepère Hoquet.
Ça choque évidemment les politiciens. Un candidat à la présidence qui, une fois élu, fait ce qu’il a promis, ce n’est pas normal.
Quant au torchon numérique dont parle Romain, le président Trump avec ses 4 milliards est un milliardaire par contre Soros avec ses 24 milliards est sans doute un bienfaiteur.
voir cette video https://www.youtube.com/watch?v=9OVnqerWUHg
C’est bien joué, Monsieur le Président!
Donald Trump n’a pas signé ce décret en tant que milliardaire, mais en tant que président des Etats-Unis, bande d’enfoirés de journalopes gauchistes.
Bien sûr Obama l’avait aussi fait et Bush avait fait construire le mur existant entre les USA et le Mexique de plus de 1000 km et Obama alors senateur avait voté en sa faveur, Trump veut l’agrandir c’est tout. Mais regardez que ce tapage médiatique faisant absolument tout pour monter un parallèle entre Trump et Hitler fonctionne à merveille. Il n’y a qu’une toute petite partie de la population qui s’est renseignée autrement et la majorité des américains qui applaudissent. Un pays qui compte 320 millions de ressortissants et lorsque 200 vont défiler on nous fait croire que tous les USA s’indignent des décisions de Trump. En attendant, il a mis en application exactement ce qu’il a promis dans sa campagne, ça nous change de nos dirigeants qui font toujours exactement le contraire de la volonté du peuple qu’ils sont sensés représenter!
Au vue de l’article de Romandie. com. La présidence précise que, je cite, “Le milliardaire a souligné que les sept pays frappés d’interdiction (Iran, Irak, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen) figuraient dans une liste de pays utilisée sous l’administration Obama: les personnes s’y étant rendues dans les cinq dernières années n’avaient plus le droit de venir aux Etats-Unis sans visa” et que, “Donald Trump a aussi affirmé que l’administration Obama avait suspendu la délivrance de visas pour des réfugiés irakiens pendant six mois en 2011”. voir ici
https://onprefereca.wordpress.com/2017/01/30/la-mauvaise-fois-des-bobos-est-sans-limite/ , et ici , http://www.romandie.com/news/Donald-Trump-le-decret-nest-pas-une-interdiction-visant-les-musulmans-/771062.rom
Je ne me souviens pas d’un tel tapage pour des faites similaires de l’administration Obama. Remarqué aussi l’utilisation de milliardaire plutôt que président.