Il suffit d’écouter les propos ahurissants et scandaleux du préfet Clavreul, mis en place par Manuel Valls à la tête de la Délégation Interministérielle à la Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme (Dilcra) pour comprendre ce qui se passe réellement en France.
https://www.youtube.com/watch?v=3CW2T98hrLs
Tenant des propos dignes des pires commissaires politiques de pays totalitaires, cet homme avoue crument qu’il va « cibler un certain nombre d’adversaires, et ne plus les lâcher ». Et il désigne ceux qui, selon lui, inciteraient à la haine sur la toile. Or, dans l’idéologie de ce régime, à cause de la loi Pleven et de ses extensions, critiquer l’islamisation de la France serait inciter à la haine contre les musulmans.
On comprend mieux les conséquences du discours de Clavreul, quand on découvre le harcèlement judiciaire que décrit la présidente de Résistance républicaine, dans ce texte accablant pour un gouvernement qui instrumentalise sa police et sa justice pour réduire au silence les lanceurs d’alerte contre le péril islamique qui menace notre pays.
Quant à Pierre Cassen et le site Riposte Laïque, cela dépasse les limites imaginables dans un pays dit démocratique. Ce régime ne digère pas que celui qui a fondé ce site en 2007 n’en soit plus responsable depuis qu’en 2012, l’association Riposte Laïque Suisse en a pris la responsabilité. Il ne peut supporter qu’une décision de justice, en mars 2013, ait officialisé cela. L’objectif de ce gouvernement, qui a mis en place un véritable cabinet noir pour lutter contre les islamo-critiques, est de le faire tomber par tous les moyens, y compris en prenant des libertés avec le droit. Pour cela, ce cabinet noir orchestre plaintes et procédures, n’hésitant pas à violer le secret de l’instruction pour alimenter toujours davantage de procédures contre Riposte Laïque, qui a dépassé ce jour le chiffre inimaginable de 40, alors que jusqu’en 2012, une seule plainte avait été déposée contre RL.
Convoqué systématiquement à chaque plainte déposée contre ce site, qu’elle émane de Cazeneuve, Hidalgo, Bergé, Fourest, de préfets socialistes, d’associations dites anti-racistes ou musulmanes, de journalistes ou de maires de gauche, Pierre Cassen a été, d’autre part, victime d’une perquisition policière, en avril 2016, sur requête du juge Batoz. Son ordinateur et son téléphone portable ont été confisqués, dans un contexte où des milliers de djihadistes, sur le territoire français, sont prêts à passer à l’action, selon l’ancien juge Fenech.
Encore plus grave, s’appuyant sur le seul rapport de police de la Brigade de Répression de la Délinquance aux Personne (BRDP), des juges ont décidé de considérer que Pierre Cassen devait dès ce jour répondre, en tant que directeur de publication, de tous les procès intentés contre Riposte Laïque. Autrement dit, de manière totalement arbitraire, avant que ne se soit tenu le procès quant à son éventuelle responsabilité de directeur de publication, il est déjà considéré par la justice comme tel, et devrait en assumer les conséquences.
Ainsi, le préfet Clavreul a-t-il mis ses paroles (« cibler les adversaires, et ne plus les lâcher ») en actes. Il a déposé plainte contre Pierre Cassen en personne, lui réclamant 20.000 euros de dommages et intérêts, et lui exigeant de payer ses frais de justice, parce que, sur RL, une contributrice, Lucette Jeanpierre, l’a comparé, après ses propos (voir vidéo ci-dessus) à un « kapo de la toile » et a écrit qu’il aurait fait merveille sous Goebbels, Staline ou Pol Pot. Ils veulent donc juger Pierre Cassen à Versailles, suite à cette plainte du préfet socialiste proche de Manuel Valls. Suite à une autre plainte du procureur de la République en personne, après à deux articles de Maxime Lépante, Pierre est également convoqué devant la 17e Chambre, le 22 mars, pour y être jugé à nouveau en tant que directeur de publication.
C’est d’autant plus grotesque que la même 17e Chambre a condamné, en avril 2016, le président suisse de Riposte Laïque, coupable d’avoir diffusé un texte très critique d’un apostat de l’islam sur ce dogme. C’est d’autant plus ridicule qu’un autre jugement, ordonné par une ancienne collaboratrice de Christiane Taubira, le juge Caroline Kuhnmuch, a condamné, pour avoir publié la photo de deux caissières voilées d’H et M, peu de temps après, la directrice des éditions de Riposte Laïque, qui n’a pourtant rien à voir avec la responsabilité du site RL. Mais dans quel pays sommes-nous ? La justice est-elle encore rendue au nom du peuple français, ou en celui d’idéologues fanatiques qui se servent de l’appareil d’Etat pour régler leurs comptes, avant que le peuple de France ne se débarrasse d’eux ?
En accélérant les procédures, en prenant des libertés avec toute notion de droit, ce véritable cabinet noir, mis en place par ce gouvernement, confirme les propos du préfet Clavreul, et entend interdire, en pleine campagne électorale, toute dénonciation de l’islamisation de la France, sur laquelle la plupart des candidats observent un silence assourdissant.
Nos avocats vont bien évidemment contre-attaquer, dans les jours qui viennent. Quant à nous, nous allons communiquer massivement, sur la réalité du harcèlement que nous subissons, comme d’autres sites de la réinfosphère. Nous ferons connaître toute l’ampleur des plaintes qui nous submergent, et nous coûtent beaucoup d’argent et de temps. Nous organiserons, le mardi 14 février, à partir de 19 heures, une conférence de presse, à Paris, avec des avocats et des personnalités, pour défendre la liberté d’expression, donc celle de critiquer l’islamisation de notre pays, permise par l’invasion migratoire voulue par les mondialistes.
A cette occasion, nous interpellerons les candidats aux présidentielles, sur la nécessaire abrogation de la loi Pleven, condition indispensable à un retour d’une parole libre en France.
Christine Tasin et Pierre Cassen
LE BON DOCTEUR MELENNEC, ex-consultant près le Médiateur de la République (française), docteur en droit et en médecine, candidat aux fonctions de Médiateur en 1998, inscrit sur une liste noire France – tout ce qu’il y a de plus noire, au point que son NOM a été expurgé de tous les merdias subventionnés – c’est à dire achetés et vendus, a tout appris au cours de quarante ans de carrière. Abstenez vous de lire sa littérature : C’EST UN CRIMINEL, et des plus abominables : IL EST HONNÊTE, pire : IL NE MENT JAMAIS. Impossible en France, donc.
Voici, pour vous mettre en appétit, quelques unes de ses archives :
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LA JUSTICE EN FRANCE : ARTICLE DE LOUIS
MELENNEC, PARU SUR FRANCE INTER (Nota bene : cet article a bien été publié … mais il a été supprimé au bout de quelques mois !).
Malgré l’effroyable censure française, quelques bribes de vérité paraissent. France Inter a
publié ce long commentaire de Louis Mélennec sur la Justice française, qui est une lettre
qu’il adressa au juge Duchaine sur la crapulerie de l’Etat français, en 2002.
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COMMENT MITTERRAND A ECHAPPE A LA JUSTICE.
L’affaire Luchaire : quand le Chef de l’Etat échappait à la justice
Par Jean-Philippe Deniau
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Après la condamnation de Jacques Chirac dans l’affaire des emplois fictifs à la Mairie de
Paris, après la mise en cause de Nicolas Sarkozy dans un des volets de l’affaire Bettencourt, on
apprend aujourd’hui que François Mitterrand a échappé de peu à une enquête judiciaire qui
aurait pu le mener au tribunal : l’affaire Luchaire. Tout commence le 28 février 1986 à
Cherbourg.
Ce jour-là, la Presse de la Manche révèle une affaire de trafic d’armes entre la France et l’Iran de l’Hayatollah Khomeiny. La société Luchaire aurait affrété 3 cargos bourrés d’obus à destination, non pas du Brésil et de la Thaïlande comme l’indiquaient les bons de livraison, mais vers l’Iran, contournant ainsi l’embargo avec, certainement, la complaisance des pouvoirs publics français et même, peut-être, l’accord du Président Mitterrand.
A l’époque, il y a bien eu une enquête judiciaire pendant 2 ans, mais le journaliste Thierry Lévèque raconte aujourd’hui dans le magazine Crimes & Châtiments qu’une note écrite du Garde des Sceaux de l’époque, Pierre Arpaillange (hélas, hélas, hélas), a conduit le juge d’instruction, via le Procureur de Paris, à signer en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, une ordonnance de non-lieu. Car à l’époque, contrairement à ce qu’on pourrait s’imaginer, c’était certainement plus simple pour le pouvoir politique d’étouffer une affaire, constate Thierry Lévèque.
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LA JUSTICE EN FRANCE : le bon docteur MELENNEC confirme ses accusations, FONDEES SUR L’EXPERIENCE : Commentaire à propos de l’émission de France Inter, le 23 juin 2015, publié la ledit média.
Extrait de son blog « Actualités et politique ».
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UN ETAT MAFFIEUX, auprès duquel les Siciliens et les Napolitains ne
sont pas même des ENFANTS de CHOEUR : LA FRANCE, « inventrice »
des DROITS DE L’HOMME .
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LETTRE ECRITE par le bon docteur MELENNEC, EN 2002, A M. CHARLES DUCHAINE, juge au tribunal de grande instance de Bastia (Corse), ex-juge d’instruction de la Principauté de Monaco, alliée de la France, à l’occasion de la publication de son livre « Juge à Monaco » (Michel Lafon, 2002).
M. Charles DUCHAINE, qui a occupé les fonctions de Juge d’instruction de la Principauté de MONACO de 1995 à 1999, a publié chez Michel Lafon, dans le courant de l’année 2002, un ouvrage qui fait sensation, sous le titre « Juge à Monaco ». Tiens donc ! A Monaco aussi ? Trafics en tous genres, blanchiment d’argent, corruption, impossibilité de poursuivre ou d’inquiéter les puissants, etc.
Dans le cadre du feuilleton des « médecins au noir », et du colloque qu’il doit présider au Sénat de la “République”, en 2003, le docteur Mélennec réagit et lui écrit, dès la publication de l’ouvrage, la lettre que voici, rendue publique :
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MONSIEUR LE JUGE DUCHAINE,
Nous sommes de plus en plus nombreux à souhaiter que la lumière soit faite sur le
fonctionnement de nos tribunaux – toute la lumière -, dans ces affaires glauques et malsaines qui mettent en cause les puissants du jour. Des juges ont « cafté » (enfin !), ont répondu aux
journalistes, ont publié des livres. Nous savions tout cela depuis longtemps, mais quiconque aurait parlé s’en serait repenti : l’appareil répressif se serait abattu sur lui avec férocité, et l’aurait broyé.
Chacun courbait l’échine, tout en ayant honte, tous les matins, de se regarder dans la glace.
Des travaux ( partiels ) ont été publiés sur les exactions du prétendu Président MITTERAND
quant aux interventions personnelles quasi quotidiennes dont il se rendait coupable, pour infléchir le cours de la Justice. Rien n’échappait à la sagacité de ce brave homme – oh combien honnête ! – tout l’intéressait : non point seulement les tribulations, manoeuvres et entreprises douteuses de ses adversaires comme de ses amis politiques, non point seulement les affaires pénales, mais aussi les divorces, les faillites, les adoptions, les permis de chasse, les accidents de la voie publique, du travail, domestiques, les pensions civiles et militaires, les redressements fiscaux et les vérifications à diligenter, etc. Les nominations dans les hauts postes de responsabilité étaient à l’avenant : non pas dictées, comme le croyait le menu peuple, selon le mérite et la compétence des impétrants, mais chaque fois que cela était possible, en fonction des services rendus, de la complicité ou de la proximité politique, de l’aptitude, surtout, à rendre service chaque fois qu’on en aurait besoin. Ainsi vit-on – parmi d’innombrables exemples -, désigner en qualité de membre du Conseil supérieur de la magistrature, un « ami dont la loyauté (sic) nous sera totalement acquise », plutôt que tel autre, « d’un dialogue assurément plus difficile (re-sic) ». Des hommes éminents, intègres, d’une rigueur intellectuelle et d’une honnêteté irréprochable, furent sacrifiés par dizaines à l’insatiable appétit des nouveaux maîtres du pays. Les traces écrites de ces interventions en tous genres ont, par bonheur, été conservées, du moins pour un certain nombre d’entre elles. Pour les affaires les plus importantes, elles se sont déroulées, sans témoins, sous les lambris des palais nationaux, loin des témoins indiscrets et compromettants.
Qu’il y ait eu de la crapule au sommet de l’Etat ne surprend personne : c’est chose ordinaire
dans la démocratie française, le pain quotidien dont s’alimentent nos élus. Mais comment
comprendre, comment admettre à l’autre bout de la chaîne, que l’appareil judiciaire lui-même ait pu fournir des complices pour accepter de jouer ce jeu répugnant ? Comment imaginer que l’Elysée ait pu adresser un bordereau au directeur de cabinet du ministre de la Justice pour « souligner que la requérante est une relation de M. le Président de la République » et « qu’il y a lieu d’attirer sur cette affaire l’attention de M. le procureur général » ?
On frémit D’HORREUR, en lisant de telles abominations, qui ont été légion au cours des deux dernières décennies, parmi quelques myriades d’autres, dans tous les rouages de l’Etat et de l’administration.
Les procureurs généraux savent-ils qu’en infléchissant la justice en faveur du coupable, on
condamne l’innocent à sa place ? Peut-on, si cela se produit, trouver le sommeil la nuit ? Non ! En matière de justice, les socialistes n’ont de leçons a donner personne. M. Amaud de Montebourg, à cet égard, devrait se montrer beaucoup plus discret.
Je recommande à ceux qui lisent la présente lettre, de sécuriser l’article publié dans le journal le Monde, relatant les travaux de M. Alain Bancaud, relatant les interventions de François Mitterrand dans le fonctionnement de la justice : cette sorte d’articles est publié pour donner le change d’une presse démocratique ; mais le « système » les élimine peu à peu, car ils sont compromettants.
On a beaucoup parlé de l’affaire des EMPLOIS FICTIFS à la mairie de Paris, et de l’implication de Jacques Chirac dans cette affaire. En voici une autre, infiniment plus grave, mais qui, relatée en son temps – à mon initiative -, dans plusieurs médias, est déjà tombée aux oubliettes, quoique plus que jamais d’actualité. Savez vous, monsieur le juge, que l’administration française emploie « au noir » plus de cinq mille médecins, qui ne sont déclarés ni aux caisses de sécurité sociale, ni aux caisses de retraite, ni aux ASSEDIC, pour lesquels l’Etat-employeur se dispense unilatéralement de verser les cotisations obligatoires que la loi met à sa charge, ne leur délivre pas de bulletins de salaire, ne leur verse ni indemnités journalières en cas de maladie, ni indemnités de congés payés, ni indemnités de licenciement, ni pensions ou rentes d’invalidité ou d’incapacité en cas de handicap grave et définitif, refuse de leur servir les pensions de retraite auxquelles ils ont droit, après trente années ou davantage de loyaux services ? Savez vous que l’Etat a été condamné à plus de trente reprises par les juridictions administratives et de l’ordre judiciaire, et qu’il a préféré LAISSER MOURIR
les intéressés plutôt que de leur verser les dommages et intérêts qui leur étaient dus ? (1). Savez vous encore que, quoique vingt députés et sénateurs soient intervenus dans cette hallucinante affaire, l’administration délinquante continue son commerce en toute impunité, que les fonctionnaires impliqués vont à leurs affaires en toute liberté. ? Pire : que le parquet de Paris, saisi à plusieurs reprises, a éludé les plaintes des intéressés au motif, là où des infractions innombrables sont notoirement commises chaque jour, que « les relations de travail pour le compte de l’Etat ou d’organismes publics ne relèvent pas de l’application du Code du travail » (sic) ? Alors que toute concierge, même analphabète, sait que l’employeur qui ne déclare pas ses employés aux organismes sociaux, ne paie pas ses cotisations et ne délivre pas de bulletin de salaire est un employeur illégal, et qu’il relève de peines d’amende et de prison, par quel miracle le parquet de Paris, seul de son espèce, ignore que la loi pénale a une portée universelle, et que quiconque la viole – à plus forte raison s’il s’agit de personnes remplissant au nom des citoyens des fonctions de haute responsabilité – , relève ipso facto du tribunal correctionnel ? Serait-ce l’opération du Saint Esprit ?
Après avoir, avec honneur, occupé les fonctions de juge d’instruction à MONACO, vous avez pris la responsabilité de livrer au public ce que vous avez appris sur le terrain : que la Principauté accueille avec complaisance des maffieux de tous poils, qu’il s’y traite des affaires aussi peu ragoûtantes que possible, que la hiérarchie judiciaire, bien loin d’aider ceux de ses juges qui refusent de taire avec complaisance ce qu’on ne veut pas savoir, s’ingénie à saper leur travail par tous les moyens légaux et illégaux dont elle dispose. Vous avez levé le voile sur de bien sales affaires, dont tout le monde savait, mais sans en avoir la preuve, qu’elles existaient. A quand un ouvrage, rédigé avec ceux de nos collègues juges d’instruction qui ont déjà révélé des bribes de vérité, qui traiterait de la justice de notre beau pays de France ?
Marylise Lebranchu, ministre de la Justice, mon honorable compatriote, vous aura-t-elle
félicité avant de repartir dans sa campagne bretonne ? J’ai quelques doutes là-dessus : je l’avais saisie, à trois reprises consécutives, in personam, de l’affaire des médecins « au noir ». Ma première lettre fut « perdue » ; pour la seconde, on me donna l’assurance que son cabinet travaillait avec ardeur à la recherche d’une solution ; mais le 3 mai, deux jours avant son départ définitif, mes trois lettres avaient à nouveau été perdues, corps et biens. Ah, la brave femme ! (2)
Nous nous doutons bien, Monsieur le juge, que votre livre ne vous vaudra, ni brillante promotion, ni récompense d’aucune sorte. En tout cas pas tout de suite. Mais je veux vous dire que nous sommes des millions de citoyens – probablement des dizaines de millions – qui attendent avec avidité que des magistrats courageux révèlent au pays ce qu’on leur cache depuis toujours. Mesdames et messieurs Joly, Vichnievski, Gallot, Halphen, Jean-Pierre, Fenech, et d’autres, ont ouvert la voie : nous sommes en chemin vers une Justice plus saine et plus honnête. Viendra-t-il le jour où les FRIPONS qui, dans l’appareil judiciaire, s’associent aux manoeuvres honteuses que vous dénoncez, seront placés en pension durablement là ou est leur place naturelle : derrière les barreaux ?
Quelle peine mérité un chef de l’Etat, symbole de la Justice, qui la viole tous les jours ? La réponse est simple : ce n’est pas la simple destitution, c’est la plus grave des sanctions, qui a été abolie il y a quelques années, sans aucune sanction populaire, sans aucune consultation, alors que la grande majorité souhaitait son maintien pour les crimes sordides : LA MORT.
Pauvres Bretons, qui croient tout ce qu’on leur dit !
Croyez, Monsieur le Juge, à l’assurance de mes sentiments très sincères,
LOUIS MELENNEC, Ex consultant près le Médiateur de la République.
Nota : le bon docteur, candidat aux fonctions de Médiateur de la République, en 1998 …. ne
fut pas nommé ! Surprenant, tout de même, n’est-ce pas ?
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(1) : Gazette du Palais, 28 mai 2002.
(2) Au moment de la lettre ci-dessus, la Bretonne Marilyse LEBRANCHU étant ministre, son
ministère employait des citoyens français au noir. Lire l’article : « Ils travaillent au noir au
ministère ». Plus effarant : les services du Procureur, que j’avais saisi de l’affaire, employaient lui même des personnes au noir ! Lire l’article : « Ces délégués du Procureur qui travaillent au noir ».
Cette entrée a été publiée dans Uncategorized le 23.6.2013 . “
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Cette justice est pourrie.
Seule l’élection de MLP pourra mettre fin à cette justice de pacotille.
Marine Présidente.
le nouveau président de la France a du pain sur la planche! mais avant de voter il faudrait savoir qui promet de faire quoi – vraiment – ! sinon c’est encore un tour pour rien?
Seul un tribunal d’exception venant du peuple peut remettre les pendules à l’heure. Le peuple est souverain. Pour mémoire, un certain Ceaucescu, dans son pays, en à fait les frais…
Roland Freisler (né le 30 octobre 1893 à Celle – mort le 3 février 1945 à Berlin) est un juriste allemand qui commença sa carrière sous la République de Weimar, puis la continua sous le Troisième Reich. Il accéda en août 1942 à la présidence du Volksgerichtshof, la plus haute cour de l’État national-socialiste pour les affaires pénales politiques, fonction qu’il occupa jusqu’à sa mort lors d’une attaque aérienne sur Berlin, trois mois avant la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Il est considéré comme étant le juge responsable de milliers de condamnations à mort prononcées dans les procès des trois dernières années du régime national-socialiste — des procès généralement publics dont les jugements étaient souvent établis d’avance et qu’il présidait ; c’est aujourd’hui le juge pénal du Troisième Reich le plus connu de triste mémoire. Sûr de lui, irascible et aimant à humilier les accusés, il est un exemple caractéristique des violations juridiques au temps du nazisme dans le cadre de la terreur organisée par le régime. En effet, Freisler était le représentant de la terreur judiciaire nazie, en particulier dans la poursuite des participants au complot contre Adolf Hitler, après l’attentat du 20 juillet 1944.