L'élément suivant est un résumé d'un article du site polonais Dziennik.pl. Il décrit l'expérience d'un couple polonais qui a acheté un hôtel en Bavière et qui a été forcé de le vendre au gouvernement allemand en tant que logement pour «réfugiés».

L'élément le plus fascinant de l'information issue de cette histoire est que l'ordre gouvernemental d'acquérir des logements de masse pour les migrants a été donné trois ou quatre ans avant que la chancelière Angela Merkel n'invite l'ensemble du Tiers Monde. Quelles sont les choses que les apparatchiks de l'UE et Merkel savaient en 2011 et que le lumpenproletariat ne connaissait pas?

Un grand merci à Ava Lon pour la lecture de l'article d'origine et la rédaction de ce compte-rendu:

«Autrefois c'était le paradis, c'est un dépotoir aujourd'hui." A quoi ressemble réellement l'Allemagne colonisée  par des réfugiés.

Une amende pour discours de haine se monte à 1'200 euros. C'est la raison pour laquelle les Allemands sont très prudents. Ils ne disent rien et regardent le chaos et les ordures et les portes et fenêtres ouvertes dans les centres de réfugiés, tandis que les Allemands doivent manger peu et chauffer leurs maisons avec parcimonie.

Il y a un an, il y avait une carte sur Internet montrant la localisation des centres pour requérants. Elle a été retirée. Prétendument car cela pouvait servir à PEGIDA.

Ceci est l'histoire d'une famille polonaise qui a acheté un hôtel en Bavière, pour être forcé de le vendre afin qu'il soit transformé en un abri pour réfugiés. (...)

Lorsqu'ils ont acheté cette maison vieille de 200 ans dans un village idyllique bavarois, ils pensaient qu'ils se trouvaient au paradis. Ils voulaient transformer la maison en hôtel, avec sa propre boulangerie, un café et un restaurant. Ils habitaient un village extrêmement populaire sur le plan touristique. A présent, personne n'y va plus. Tous les hôtels et les plus grandes maisons ont été transformés en abris pour réfugiés, et les incendies criminels sont devenus monnaie courante. Cependant, les médias ne le mentionnent pas. Sous leurs yeux, l'Allemagne se transformait en un pays musulman: les vols, le vandalisme et les ordures qui s'amoncellent partout sont devenus la norme.

Lorsqu'ils ont commencé la première rénovation du plus grand bâtiment de la ville, ils pensaient qu'il prospérerait, mais vers 2011 Angela Merkel a changé sa politique.

En 2009, Merkel a remporté l'élection. En 2010, elle a déclaré que le multi-culti avait échoué, et en 2011, le gouvernement allemand a commencé activement à rechercher de grandes maisons pour les immigrants. Au début, les gens ne comprenaient pas ce qui se passait, parce qu'il n'y avait pas de réfugiés. Le printemps arabe ne faisait que commencer. Personne n'avait entendu parler des réfugiés ou des demandeurs d'asile, pourtant la pression exercée par le gouvernement pour trouver et acheter des biens immobiliers était énorme. Les gens se demandaient quels réfugiés le gouvernement avait à l'esprit.

En 2013, les manifestations ont commencé en Ukraine, et en 2014 Poutine a annexé la Crimée. Tout le monde pensait que les Ukrainiens pouvaient être ces fameux réfugiés. Puis, soudain, les médias ont commencé à diffuser le message d'invitation de Merkel, appelant littéralement chaque Syrien à venir en Allemagne.

Au début, les gens ne savaient pas que cela se traduirait par des centaines de milliers de Moyen-Orientaux et d'Africains (et autres) traversant la Méditerranée et arrivant par les voies terrestres. Mais une question évidente se pose: Comment le gouvernement allemand aurait-il pu savoir aussi longtemps en avance que cette vague d'immigration arriverait? C'est à ce moment que la propagande a débuté, disant aux gens à quel point ces nouveaux venus étaient une chance pour l'économie et la population.  

Puis, ils ont reçu l'offre du gouvernement allemand qui désirait acheter leur hôtel. Ils connaissaient d'autres propriétaires de grands ensembles immobiliers de la région qui avaient aussi été approchés par le gouvernement (le Bureau pour les réfugiés [BAMF]). On leur a dit que tous les grands bâtiments allaient être transformés en maisons pour réfugiés.

La vente de biens immobiliers au gouvernement est devenue une très bonne affaire, parce que le gouvernement paie quatre fois le prix du marché - vente ou location. En outre, si l'immeuble est loué, le gouvernement paie la rénovation, l'eau, le chauffage, l'électricité et l'assurance. Il était difficile de dire non. le gouvernement d'Angela Merkel achetait les biens immobiliers et achetait les gens.

Au début, la famille, comme les habitants de la région, désiraient que cela reste une région touristique et non une ville pour réfugiés. Ils voulaient vraiment y vivre. Autrefois, c'était une région belle et calme. Ils envisageaient sérieusement de parler à la presse au sujet des pressions exercées par le gouvernement sur les propriétaires de l'hôtel.

Ils ont essayé de louer, mais l'agence qui les a contactés était une agence qui avait un contrat avec le gouvernement. On leur a menti, parce qu'ils ne voulaient pas ce type de transaction. Lorsque l'agent immobilier a été interpellé au sujet de son mensonge, il a déclaré qu'il avait une famille à nourrir.

(...)

Pendant ce temps, la carte dévoilant la localisation de tous les foyers pour réfugiés en Allemagne disparaissait d'Internet. Une manifestation a été organisée afin de montrer le soutien des gens pour les réfugiés: les manifestants, portant des pancartes "refugees welcome", ont été amenés par bus. Dans les écoles, on a demandé aux enfants d'écrire des slogans favorables aux réfugiés sur des draps de lit et d'accrocher ces bannières dehors.

Les Allemands avaient trop peur d'exprimer leurs véritables sentiments à propos de cette immigration accélérée, spécifiquement après qu'une amende de 1'200 € pour discours de haine ait été introduite, mais ils ont été choqués par le gaspillage de l'argent des contribuables et l'impunité accordée aux nouveaux arrivants, quels que soient leurs actes. Détritus, nourriture jetée, vol (par exemple, les migrants prenaient les choses de l'épicerie, mais la police ne venait pas lorsqu'elle était appelée: la ville remboursait simplement le magasin à l'aide de l'argent des contribuables), habitants attaqués. Les gens avaient peur de faire du shoping ou de marcher dans la rue; les femmes ont cessé de sortir seules.

La ville était si fortement opposée à la vente de leur l'hôtel au gouvernement - ils ne pouvaient pas se permettre de le garder sans avoir de clients - qu'ils ont dû le vendre en l'absence du maire de la ville, car il refusait de signer les documents au nom du gouvernement. Heureusement, son adjoint l'a fait.

Le jour suivant, ils sont partis.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch