Il ose critiquer Marine sur l’école : le Peillon, cela ose tout…

Article publié le 09.01.2017

 

J’ai beau savoir qu’il vaut mieux entendre cela qu’être sourde… il n’empêche qu’écouter ce soir les mièvreries, assénées pourtant avec une morgue insupportable, par un insolent candidat à la primaire socialiste, sur tous les sujets qu’il survole, est totalement intolérable et a bien failli me valoir un arrêt cardiaque en raison de la crise de […]

 

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6 commentaires

  1. Posté par rikiki le

    Hitler avait les mêmes méthodes ! Il fallait des citoyens à son image et à sa botte.

  2. Posté par Hexgradior le

    Le frère la truelle Peillon ferait mieux de retourner en loge travailler sa planche au lieu de débiter des âneries…

  3. Posté par Carole le

    Il ne pouvait atterrir que dans le canton des socialistes, le canton où tout va mal, le canton à fuir pour les suisses

  4. Posté par Vautrin le

    Les impétrants gauchistes -il y a deux gauches en France, l’une s’appelle la droite- au titre de “président” (comprendre : de satrape agissant aux ordres des européâstres) sont des cancres. Mais en matière de cancritude (pour parler comme Mme Ségolène), on dirait bien que le fanatique Peillon est cancrissime. Il ne se passe pas un jour sans que cet Hyperbolos laïcard, homme méprisable, ne débite quelque énorme insanité. En toute impunité, cela va de soi. Nous sommes tombés bien bas, décidément !

  5. Posté par bigjames le

    Ce type est un fou dangereux.

  6. Posté par Claude le

    Pour cet individu, un bon citoyen est un être totalement décérébré. Et dire que l’Université de Neuchâtel emploie ce type comme professeur. C’est vraiment très inquiétant. Quelle université ! Quel canton ! Quel merdier ! Où va-t-on ?

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