Après le viol et le meurtre d'une femme de 19 ans par un migrant afghan en Allemagne, Facebook a répondu en bannissant une femme allemande, coupable de "discours haineux" parce qu'elle avait affiché la photo du meurtrier.
Hussein K., un demandeur d'asile afghan âgé de 17 ans, a été arrêté vendredi pour des soupçons de viol et de meurtre après qu'un échantillon de ses cheveux ait été retrouvé sur les lieux du crime à Freiburg.
L'incident a suscité un tollé en Allemagne, le pays souffre actuellement d'une explosion de viols et de crimes violents depuis que ses frontières ont été ouvertes aux migrants l'année dernière.
Une lectrice, Lena Kirschbaum, nous a contactés pour signaler qu'elle avait trouvé le profil Facebook du tueur présumé (il est ici, mais ne vous attendez pas à ce qu'il soit longtemps accessible).
Cette photo est interdite sous peine d'incitation à la haine puisqu'elle dérange les immigrationnistes. Il est fortement recommandé de partager et de diffuser cette photo par contre.Après que Kirschbaum ait affiché le lien du Facebook de l'agresseur dans l'un de ses commentaires en mentionnant qu'il était "l'assassin de Maria", son compte a été banni par Facebook. La raison? Elle aurait violé les règles concernant « les discours de haine» en affichant l'image du tueur.
Le bannissement est effrayant mais guère surprenant étant donné que Facebook travaille ouvertement avec le gouvernement allemand pour censurer les critiques sur la crise des migrants sous prétexte de prévenir le «discours de haine».
L'année dernière, il est apparu que le gouvernement allemand et Facebook ont travaillé avec une organisation dirigée par un ex-agent de la Stasi pour superviser un nouveau programme afin d'identifier les messages "xénophobes" postés sur les réseaux sociaux et punir les gens qui les publient par des amendes et des peines de prison.
À la suite du viol et de l'assassinat de l'étudiante de 19 ans, le gouvernement allemand a répondu en mettant en garde les Allemands en colère sur le fait d'inciter à la violence contre les musulmans.
"Ces meurtres horribles avaient déjà lieu avant que le premier réfugié afghan ou syrien arrive ici," a déclaré le Vice Chancelier Sigmar Gabriel au journal Bild. "Nous ne permettrons pas l'incitation à la haine après de tels crimes violents, peu importe qui les commet."
Parlallèlement, l'Union européenne exige à présent que Facebook, Twitter et YouTube censurent le "discours de haine" et les "fausses nouvelles" dans les 24 heures.
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Ca y est, la petite chansonnette bien pensante poussée à coin par le gouvernement pour détendre les éventuelles éphémères velléités de quelques autochtones, à qui il pourrait effleurer l’esprit d’avoir une mauvaise pensée déplacée à l’encontre de ces victimes venues chercher paix et refuge et à qui tout est dû : “Ces meurtres horribles avaient déjà lieu avant que le premier réfugié afghan ou syrien arrive ici” et blablabla, et on ressasse les mêmes sornettes pour justifier l’indéfendable et mettre l’européen au même niveau que ces barbares récemment débarqués. Et pour Cologne, les agressions sexuelles de masse, là ils ont innové quand même, ou Merkel va nous expliquer que ça se pratiquait déjà du temps des Wisigoths? C’est franchement honteux de la part du gouvernement de jouer aux justiciers moralisateurs après avoir sacrifié (malheureusement au sens propre comme l’atteste ce drame) l’avenir des jeunes générations. Je ne sais même pas comment Sigmar Gabriel peut se regarder dans une glace après avoir prononcé une telle platitude d’une viciosité aussi insultante, celle de la relativisation.
C’est comme en France où des individus disent qu’ils sont chez eux et peuvent tout se permettre contre les infidèles dont brûler des églises.
Il va nous falloir “boycotter” …fesses de bouc” !!!
Facebook a également collaboré avec les autorités chinoises pour dénoncer les opposants au régime.J’avais créé un compte au moment où j’ai appris cela. Dès lors je ne l’ai jamais utilisé et en l’utiliserai jamais.
Facebook, goggle, même combat. A boycotter !