Tests ADN : quand le politiquement correct protège les criminels

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https://www.youtube.com/watch?v=N2IKz1irKas

En Allemagne, il est interdit d’utiliser l’ADN pour en tirer des informations sur l’apparence physique des coupables recherchés.

La police a le droit d’utiliser l’analyse des traces d’ADN trouvées sur le lieu du crime pour déterminer le sexe de la personne, son éventuelle parenté avec la victime, et pour voir si son ADN est identique avec un ADN déjà présent dans les bases de données ou (seulement en cas de soupçons graves et après autorisation) avec celui d’un suspect donné.

Mais elle n’a pas le droit de s’en servir pour estimer l’âge, déterminer la couleur de la peau, des yeux, des cheveux ou dresser un portrait-robot.

Cela, au nom de la protection des données.

C’est absurde, car ces informations permettraient de disculper une grande partie des suspects.

Par exemple, s’il apparaît que le coupable était un Blanc aux yeux bleus, on pourrait mettre hors de cause tous ceux qui ne répondent pas au signalement.

Beaucoup de politiciens partent de l’idée qu’il faut protéger les gens contre la police. C’est oublier que la police a pour mission de protéger les gens et qu’il faut lui en donner les moyens.

Résumé Cenator pour LesObservateurs.ch

Situation semblable en Suisse : L’ADN doit parler plus

3 commentaires

  1. Posté par HyperLucide le

    @Vautrin : Il ne s’agit pas de “salauds de bisounours” mais de “salauds” tout court ! Les mondialistes cosmopolites sans-frontiéristes suivent un plan bien précis passant par la destruction des européens en vue de transformer l’occident en un village global métissé avec gouvernement totalitaire. Informez-vous !

  2. Posté par Aude le

    Protéger les déinquants de la Police….serait plus exact…..
    En Allemagne…il y a des politiciens(ciennes) qui marchent sur la tête…..

  3. Posté par Vautrin le

    Oui, l’absurdité habituelle du monde de ces salauds de “bisounours”. Quand on pense qu’en France, le plus petit délit est accompagné de prise d’empreintes ADN, on se demande vraiment quel usage en est fait. Il est vrai que cet ADN en soi ne veut rien dire : il peut simplement suggérer qu’à un moment ou un autre un suspect a été au contact d’une victime, ou tout simplement être présent de manière absolument aléatoire. Ce n’est pas une arme absolue, contrairement à ce que raconte la propagande. Certes. Mais se priver volontairement des informations que procure l’échantillon à des fins de disculper ou de cuisiner un éventuel agresseur, c’est introduire une discrimination “positive” -par conséquent négative et délétère. L’eau commence à monter, que les gens de la caste soient plus clairvoyants !

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