Dans les heures qui ont suivi l’élection américaine, une étudiante musulmane de l’Université de Louisiane à Lafayette a rapporté avoir été battue et dépouillée de son hijab et de son porte-monnaie par des hommes qui l’ont invectivée de propos racistes. Dans sa plainte, elle avait rapporté qu’un de ses agresseurs portait une casquette de Donald Trump.
Après avoir été questionnée par la police qui s’était mise à la recherche de ses agresseurs, l’étudiante musulmane a fini par admettre qu’elle avait inventé l’histoire de toutes pièces.
À son habitude, le lobby islamiste Council on American-Islamic Relations (CAIR) de Washington est sauté sur l’histoire pour mousser sa thèse de ‘l’islamophobie’ généralisée. Au moment de publier ces lignes, l’annonce initiale de l’attaque est toujours sur le site de CAIR, sans rectificatifs / WebArchive – Archive.Today.
Les américains, pour la plupart candides et relativement naifs, devront désormais s’habituer, comme les francais qui sont déjà en plein dedans, aux délices de la Taqiya- les mensonges faciles, les coup bas, les manipulations, et autres victimisations qu’ils n’avaient non seulement jamais rencontré, mais que la plupart n’ont sans doute même pas imaginé possible…
Au moins eux ils ont Trump qui pourra les en protéger… il faut l’espérer.
Nous, par contre… on a Mimolette 4%… qui nous suicide allègrement aux sons d’une chanson titrée “Inchalla”…
Toute ces fictions reposent sur la capacité de nuisance orchestrée par les mêmes intervenants à travers les médias. Les médias sont partie prenante dans la soupe aux bobards, et’ils y adhèrent quelque soit l’origine des fonds qui circulent. L’alibi culturel est fortement commode pour justifier des dons d’organisations de toutes natures visant essentiellement à fausser la parole médiatique. Durant des dizaines d’années, ont explosé des industries culturelles parce que les médias se devaient de leur fournir une publicité gratuite. Face au nombre ce sont alors les journalistes rock pop etc qui sont devenu millionnaires en décidant à qui ils attribuaient leurs faveurs. C’est donc là la raison de ces mises en scènes. Nous faire croire que c’est culturel, nous faire croire que les musulmans sont des petits saints et donc une véritable religion alors que ces sont des sectes qui au fil des siècles ont vécu de guerre et de rapines. On pense aux mêmes combinard avec la scientologie. Ces imposteurs de la vérité se sont aussi profilés comme juifs avec tout le charabia habituel pour imposer le silence à tous en fabricant la pression judiciaire, ce qui dégouline de ce même dans ce nom. Et qui est là derrière, c’est encore Soros, né Schwarz Gregory qui a bâtit son empire du mal en soutenant nombres d’impostures de la même teneur, s’adressant toujours à des crédules comme dans les sectes. Sa méthode: organiser un tamtam médiatique, déstabiliser un secteur économique important comme la récolte du coton en envoyant déclenchant des tempêtes médiatiques avec ses Ong à la botte, sous prétexte qu’un gros pays producteur utilise des enfants comme esclaves pour la récolte. On a eu les même méthode avec un intriguant de l’immobilier à Genève, grâce à un Conseil d’Etat rampant à sa botte, qui retenait en mer des navires sous sa coupe, chargés de livrer du riz en Europe, le tout pour créer une raréfaction et faire monter les cours. Là c’est du même tonneau, on fait monter le cours du musulman à coup de victimisation calomnieuse à l’égard de tout ceux qui n’adhère pas à cette mouvance criminel.
Par contre son irrespect pour la cause des femmes en portant un signe de soumission à l’homme, un hijab, était, lui, bien vrai !