Mi-février, cinq demandeurs d'asile érythréens ont abusé d'une femme à la gare de Coire. A présent, trois d'entre eux vont être jugés. L'un des auteurs est toujours en fuite, un autre aura à répondre devant le tribunal pour mineurs.
Victime était sans défense
Selon l'acte d'accusation, les cinq jeunes Érythréens se trouvaient lors de la nuit en question, entre 22h00 et 23h43, dans le hall de la gare de Coire et buvaient de l'alcool. La future victime était aussi là et n'était plus sobre. Comme l'écrit «Südostschweiz», elle connaissait vaguement l'un des hommes. Tout à coup, l'un des hommes l'aurait enlacée et l'aurait embrassée sur la bouche. Cela ne s'est pas arrêté là. Selon l'acte d'accusation, deux autres l'ont embrassée et l'ont enlacée et lui ont tripoté les seins et touché entre les jambes. La victime a tenté de se défendre.
Par la suite, le groupe s'est déplacé en direction d'Alexanderplatz. "Les accusés étaient conscients que la femme n'était plus en mesure de se défendre contre les contacts sexuels non désirés», selon l'acte d'accusation. "Néanmoins, ils avaient l'intention d'abuser sexuellement de leur victime."
Interrompus par les habitants
Dans la cour d'une maison familiale, les hommes ont enlevé le pantalon de leur victime présumée et ont déchiré sa culotte. Selon l'acte d'accusation, deux des hommes ont mis des préservatifs. L'un d'eux l'a violée, par la suite un autre a aussi voulu abuser d'elle pendant qu'un troisième maintenait la tête de la femme. Cependant le deuxième Érythréen n'a pas pu abuser d'elle car à ce moment-là, deux habitants sont apparus. Les demandeurs d'asile ont pris la fuite.
A l'hôpital cantonal des Grisons, une teneur en alcool de 1,67 à 2,62 pour mille a été mesuré dans le sang de la femme. Des médicaments ont aussi été détectés selon le journal «Südostschweiz». L'acte d'accusation parle d'une conscience réduite. En outre, la victime a des ecchymoses sur les deux genoux, les cuisses et les jambes, le bras et le pied. De plus, elle souffre d'écorchures aux jambes, aux lèvres ainsi qu'à l'arrière de la tête.
Enfin, elle présente des traces de griffures à la lèvre supérieure, au-dessus de la poitrine et au dos de la main.
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Nos remerciements à Info
C’est qui ce Burkhalter ? Et Simonetta ?
Sorry: ne pas foyer mais flyers
Ces hommes sont en manque et ils nous regardent avec envie. Les masturber régulièrement ça devrait être un acte obligatoire pour les socialiste femmes et hommes et ca limiterait le danger des viols. Au travail ! Ils peuvent appeler SS pour ce travail, elle distribue déjà des foyers pour Mme Wyss à Bern!
Le fait que des erythréens soient accueillis en Suisse est un véritable scandale. Ziegler a appelé a manifester pour que ces pauvres chéris obtienne l’autonomie, leur propre pays. Ils l’ont obtenu ils et viennent à présent vivre à nos crochets, incapables de construire leur avenir chez eux. Et il faut voir comme Burkhalter monte au créneau pour les défendre, affirmant que même si un sur dix mille est en danger, il faut quand même tous les accueillir. Eh oui, un sur dix mille…Avec quel argent? En tout cas pas le sien. Bref c’est un bon copain de Mamma erythrea a savoir SS.
Vite, vite, Simonetta, dépêche-toi de faire naturaliser tes copains afin qu’ils ne puissent pas être expulsés. Et offre-leur le meilleur des avocats, payé par le contribuable suisse. Avec l’appui des autres femmes socialistes, tu devrais y parvenir.
La prochaine fois elle choisira mieux ses amis. Et un tel comportement ne peut venir que d’une gauchiste.
Burkhalter refuse de renvoyer les Érythréens et bien envoyons Burkhalter en Erythrée avec la Sommaruga pour lui tenir compagnie.