Les titres : Société / Manifestation de soutien au délinquant Traoré – Europe / L’appel de Stockholm des eurosceptiques – Économie / Plus d’un tiers du parc nucléaire à l’arrêt – Immigration / Des élus de l’Eure mobilisés contre les clandestins.

Société / Manifestation de soutien au délinquant Traoré

Un petit millier de personnes à Paris pour une manifestation de soutien à Adama Traoré, jeune délinquant mort après son interpellation par les gendarmes en juillet dernier. L’individu avait été arrêté pour “rébellion” alors qu’il s’opposait à l’arrestation de son frère suspecté d’extorsion de fonds. L’association “Justice pour Adama” avait appelé à la mobilisation pour soutenir sa famille. Dans un cortège largement composé de personnes issues de l’immigration, les manifestants n’ont pas hésité à émettre des revendications ethniques.

Europe / L’appel de Stockholm des eurosceptiques

Les eurosceptiques à Stockholm ! L’ADDE, l’Alliance pour la Démocratie Directe en Europe, s’est rassemblée en Suède vendredi pour signer un texte : “l’appel de Stockholm” qui vise à défendre la civilisation européenne, la liberté des nations, les libertés économiques mais qui inclut également la lutte contre l’islamisme radical et la régulation de l’immigration. Ce groupe parlementaire est l’une des deux formations eurosceptiques présentes à Bruxelles. La première étant l’ENL : l’Europe des Nation et des Libertés dont fait parti le Front National. L’ADDE est elle composée du UKIP britannique, des Démocrates suédois, de l’Alternative für Deutschland, des lituaniens d’Ordre et Justice, du Parti des citoyens Libres de Tchéquie ou encore des néerlandais du VNL. Une délégation du parti de Nicolas Dupont-Aignan, Debout la France, avait également fait le déplacement. TV Libertés s’est rendue en Suède pour l’occasion.

Au terme de la journée, un dîner de gala a eu lieu au Grand Hotel de Stockholm. Le Prix de la Liberté Européenne a été remis à l’ancien président tchèque Václav Klaus, qui a toujours été critique à l’égard des institutions européennes et de la politique migratoire d’Angela Merkel.

Economie / Plus d’un tiers du parc nucléaire à l’arrêt

Alors qu’il commence à faire froid un peu partout en France, EDF a été obligé de réviser à la baisse ses objectifs de production d’électricité. En cause, plusieurs réacteurs nucléaires à l’arrêt, avec, en ligne de mire, le spectre des coupures qui se profile à l’horizon.

Jean-Bernard Lévy, le patron d’EDF, est furieux. L’Autorité de sûreté nucléaire ne l’a pas autorisé à redémarrer certains réacteurs à l’arrêt pour révision et inspection… “en dépit de notre demande” se plaint-il. Le gendarme du nucléaire reproche à EDF et à AREVA d’avoir caché certains incidents, certains défauts sur ses réacteurs, d’avoir falsifié, même, des mesures… et redouble de précautions avant d’autoriser le redémarrage, pour ne pas risquer d’être accusé de laxisme si demain, un accident nucléaire devait survenir. Problème, EDF comptait sur certains réacteurs actuellement à l’arrêt dans les semaines à venir pour pouvoir faire face à l’accroissement de la consommation électrique.
En France, nous ne sommes pas à une exception près. Plus de 30 % des foyers sont chauffés à l’électricité alors que par exemple, chez nos voisins suisses, le chauffage électrique sera définitivement interdit dans 5 ans. Le maintien à l’arrêt de plus d’un tiers du parc nucléaire français pose donc deux problèmes à EDF. D’abord, l’électricité que l’énergéticien ne peut pas produire avec ses centrales nucléaires, il faut la produire autrement, en tirant un peu sur les centrales hydroélectriques, ou en lançant des turbines à gaz. Mais surtout, EDF est parfois contraint de l’acheter à l’étranger, au prix fort. Conséquence, les arrêts d’exploitation de centrales nucléaires non prévus pourraient coûter jusqu’à 1 milliard d’euros à l’entreprise.
Deuxième problème : faire face à la consommation, à la surconsommation cet hiver. EDF a révisé pour la 3e fois en quelques semaines son objectif de production, c’est à dire, la quantité d’énergie que l’entreprise affirme pouvoir fournir à un instant T, en France. Si ses ressources pour produire de l’électricité peuvent suffire à passer l’hiver, en cas d’hiver doux, ou normalement froid, en revanche, elles ne permettraient pas de faire face à une vague de froid longue et violente comme en 2012…
Une bataille est donc clairement engagée entre le souhait compréhensible d’EDF de pouvoir relancer les réacteurs dont l’entreprise a besoin… pour produire de l’électricité cet hiver. Et l’excès de prudence compréhensible de l’Autorité de sûreté nucléaire qui tente de résister aux pressions politiques et industrielles, tout en ne passant pas à côté d’une faille de sécurité.

Immigration / Des élus de l’Eure mobilisés contre les clandestins

L’immigration est une préoccupation pour 35 % des Français. C’est le résultat d’une enquête menée par Les Echos, Radio Classique et l’Institut Montaigne. Si les sondages d’opinion doivent être pris avec des pincettes, cela indique néanmoins une tendance forte dans l’esprit des Français. La récente répartition des clandestins de Calais sur le territoire national a suscité l’inquiétude voir même le rejet de nombreux citoyen qui craignent pour leur sécurité. A Versailles, Marseille et Serquigny, des manifestations pour dire non à l’implantation de migrants ont rassemblé des militants patriotes et autres citoyens. Dans l’Eure, dans le village de Serquigny, au coeur de la Normandie, le Front National a organisé une mobilisation en présence de son secrétaire général et conseiller régional Nicolas Bay.

Ces rassemblements citoyens ont été systématiquement accompagnés de contre manifestations à l’initiative d’organisations d’extrême gauche. D’autres mobilisations sont prévues contre l’arrivée des clandestins notamment à Louveciennes dans les Yvelines le 11 novembre prochain.

L’actualité en bref

– Le SIEL s’envole vers d’autres cieux ! Le parti Souveraineté Indépendance et Liberté, mené par le conseiller régional d’Ile-de-France, Karim Ouchikh, a voté quasi-unanimement pour sa séparation avec le Rassemblement Bleu Marine, structure ayant pour but d’unir des partis autour du Front National. Karim Ouchikh dénonce l’hégémonie du numéro 2 du parti patriote Florian Philippot qui empêcherait toute tentative de rassemblement. Les militants du Siel déplorent également le refus du Front National d’investir des candidats de leur formation politique pour les législatives. Pas rancunier pour autant, les adhérents du parti souverainiste ont voté à 96 % pour le soutien de la candidature de Marine Le Pen à la présidentielle. 100 % des votants se sont aussi prononcés pour la présentation de candidats indépendants aux législatives.

– Après l’idylle supposée entre Valéry Giscard d’Estaing et Lady Diana, les nuits sous la tente de Frédéric Mitterrand et Mouammar Kadhafi ! A la fin des années 70, alors qu’il était journaliste, l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy, raconte dans son dernier ouvrage “Mes regrets sont des remords” qu’il a passé une nuit sous la tente de l’ancien chef d’Etat libyen à son invitation. Frédéric Mitterrand, amateur de “jeunes boxeurs thaïlandais de 40 ans”, ne s’arrête pas là dans ses confidences puisqu’il affirme également avoir tourné dans un film pornographique “trash”, dans les mêmes années 70, réalisé en une nuit avec François Wimille. Un film qu’il regrette car la femme de l’acteur qui lui donnait… la réplique, la réalisatrice et romancière Catherine Breillat, était alors enceinte et avait été très peinée de cette petite coquinerie…

– La campagne électorale américaine aura été animée jusqu’au dernier instant ! Dans la nuit de samedi à dimanche, Donald Trump a dû être évacué du meeting qu’il tenait dans la ville de Reno, dans l’Etat du Nevada. Un homme a en effet proféré des menaces, laissant entendre qu’il avait un pistolet. L’individu a finalement été neutralisé et n’était pas armé. Par ailleurs, dimanche, le FBI a annoncé qu’il n’engagera pas de poursuites contre Hillary Clinton. La candidate démocrate avait utilisé un serveur e-mail privé lorsqu’elle était secrétaire d’Etat, une méthode risquée mettant en péril la sécurité nationale

– Le feuilleton de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes se poursuit ! La Cour administrative de Nantes a examiné ce lundi les recours déposés contre le projet d’aéroport, tous rejetés en 1ère instance. Le rapporteur public, dont l’avis est généralement suivi par la Cour, demande tout simplement l’annulation des arrêtés préfectoraux autorisant les travaux… Le projet, dit “d’aéroport du grand ouest” lancé en 1963 et repris en 2000, pourrait donc ne jamais voir le jour.

C’est la fin de notre édition ! Dans un instant, notre “Zoom” du jour. Guitariste et chanteur, docteur Merlin exerce sa passion depuis la fin des années 70. Au fur et à mesure des ses albums, il s’est construit un univers où se reflètent ses opinions identitaires et marquées par les idées novatrices du GRECE. Docteur Merlin a interprété les textes d’auteurs tels que Robert Brasillach, Guillaume Faye et Maurice Rollet. Il a également fait plusieurs chansons pour enfants à partir des contes de Pierre Gripari. Nationaliste, il avance en refusant de mettre son drapeau dans sa poche. Cette attitude lui a définitivement fermé les portes des grandes maisons d’éditions et des radios musicales. Cependant, elle lui a permis de conquérir un public fidèle qui le soutient et le suit depuis plus de 35 ans. Il est interrogé par le musicologue, spécialiste de la chanson patriote engagée, Thierry Bouzard.

Et tout de suite, retrouvez notre nouvelle quotidienne politique, Cap sur l’Elysée, le journal de la présidentielle, dirigé par Elise Blaise.

Cap sur l’Elysée !

Madame Monsieur, Bonsoir, Bienvenue dans votre nouveau rendez-vous quotidien, Cap sur l’Elysée !

Entre primaires des républicains, débâcle du camp socialiste et dispersion de l’extrême-gauche, l’élection présidentielle reste toujours dans le domaine de l’abstraction.

 

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Si l’on se fie aux derniers sondages, Alain Juppé confirme son avance sur Nicolas Sarkozy. Le troisième homme, souvent donné gagnant du 2e débat de la primaire est bel et bien l’ancien premier ministre François Fillon. Les dernières prestations du candidat soutenu par Sens Commun, le mouvement des Républicains proche des sensibilités de la manif pour tous, ont définitivement balayé Bruno Le Maire de sa place de 3^e homme, monté en épingle par les média. En effet, l’ancien ministre de l’agriculture s’est totalement dégonflé au fil de la campagne et des débats où il est apparu très en dessous. Tantôt décontracté en tombant la cravate, tantôt petit écolier en se justifiant auprès de ses adversaires en les nommant par leur prénom, Bruno Le Maire et son renouveau semblent désormais sombrer en queue de peloton.

Très soutenu par les militants profamille, Jean-Frédéric Poisson est parvenu à faire une belle remontée grâce au 1^er débat où il était encore peu connu. Ses positions fermes et réalistes sur la politique internationale ont su le placer dans une véritable posture présidentielle et ce, même si le second débat a été moins brillant pour lui. Les attaques dont il a fait l’objet pour ses propos sur les lobbys sionistes n’ont visiblement pas contrecarré sa progression, reléguant le scandale au rang de fait divers de la politique politicienne.

En dernière position dans les intentions de vote, Jean-François Copé peine à remonter et joue pourtant son va-tout, allant jusqu’à se lancer dans un exercice de théâtre comique chargé d’auto-dérision.

Les deux leaders maintiennent quant à eu leur ligne respective espérant s’affronter au 2^e tour. Alain Juppé reste en retrait pour ne pas de s’exposer et risquer ainsi de perdre son avance. Nicolas Sarkozy joue quant à lui de son expérience en tant que président. Même si son bilan est souvent présenté comme un boulet, il choisit de l’assumer pleinement en arguant qu’il a appris de ses réussites comme de ses échecs. Le dernier débat a été l’occasion pour lui de rappeler à ses adversaires qu’ils avaient été à son service et que leurs critiques sonnaient en partie faux du fait de leur ancienne collaboration.

Fidèle à son image, Nathalie Kosciusko Morizet poursuit sa ligne centriste libérale, mettant en valeur sa qualité de femme quitte à abuser des poses face caméra entre deux prises de paroles.

Si l’ordre d’arrivée des derniers candidats reste une grande inconnue, tout porte donc désormais à croire que le podium sera occupé par le trio Juppé, Sarkozy, Fillon.

Alors qu’il est longtemps resté absent des commentaires, François Fillon fera peut-être la surprise. Ses positions fermes sur la politique internationale aux antipodes de la gauche et ses volontés de rapprochements avec Moscou font de lui le candidat le plus réaliste. Dans son émission politique de la semaine dernière, ses positions face aux questions de repentance pour la décolonisation et l’esclavage ont montré une personnalité ferme disparue du champ politique depuis longtemps. De même, François Fillon n’a pas faibli sur les questions de GPA et de PMA, y compris face à une interlocutrice lesbienne avec deux enfants issus de Procréation Médicalement assistée. Ses positions pourraient ainsi séduire les militants pro-famille s’il se maintient au second tour… en raison de l’absence de Jean-Frédéric Poisson, et ce malgré le fait qu’il ne prévoie pas clairement l’abrogation de la loi Taubira.

 

 

Côté socialiste, l’essentiel des affrontements se situent entre le président de la République, toujours pas candidat à sa réélection et son premier Ministre Manuel Valls. Le locataire de Matignon n’a visiblement pas digéré les épanchements de son président avec les confidences faites aux journalistes dans le livre « Un président ne devrait pas dire ça ».

Malgré l’absence de médiatisation, une grave affaire de révélation de secret défense menace le président. En effet, lors de ses rendez-vous avec les journalistes, des dossiers confidentiels étaient visibles sur son bureau et ont fuité dans le quotidien Le Monde. Le député les Républicains Eric Ciotti a d’ailleurs adressé un courrier au Ministre de la Défense Jean-Yves le Drian pour qu’il se penche sur cette fuite. Si l’incidence est négligeable puisque le dossier concernait un plan d’attaque en Syrie qui n’a finalement pas eu lieu, le principe de divulgation pose un lourd problème de sérieux de la part du chef de l’Etat.

S’il est resté muet jusqu’à maintenant, Jean-Yves le Drian aurait sans doute quelques critiques à émettre sur le comportement du président. D’ailleurs, le ministre de la Défense à a confié qu’il pensait Manuel Valls le plus à même de se présenter dans le camp socialiste pour la course à l’Elysée si François Hollande n’osait pas se représenter. Une opinion déjà partagée avec Michel Sapin, le locataire de Bercy.

De son côté, l’ancien ministre de l’économie, Emmanuel Macron disparaît légèrement de la presse… mais son mouvement « En Marche » continue d’avancer. Il parvient d’ailleurs à remplir des salles devant de nombreux militants séduits par le jeune loup de la finance.

Tant qu’aucun candidat n’est officiellement lancé, tout reste donc possible.

 

L’attitude de l’extrême gauche, complètement atomisée, vient en partie secourir la vacuité des socialistes au pouvoir. En effet, la conférence nationale du PCF tenue samedi a refusé à 55 % de se rallier à la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon pour privilégier un candidat interne. Une décision qui freinera sans doute la progression de Mélenchon, pour le plus grand bonheur de Marine Le Pen qui pourra conserver en son sein une large part de l’électorat ouvrier.

Pierre Laurent, le patron des communistes, favorable à l’alliance avec la France Insoumise, est donc lui-même désavoué… Si les militants confirment la donne fin novembre… Tout porte à croire que les voix se disperseront dans tout l’échiquier de gauche. Une candidature d’Arnaud Montebourg pourrait remporter un maximum d’adhésion lors des scrutins, toutefois, sa nomination au rang de candidat officiel du Parti Socialiste reste pour l’heure du domaine de la fiction.

 

Face à ces nombreuses interrogations dans les rangs de gauche comme de droite, Marine Le Pen, seule dirigeante à être clairement candidate avec le soutien général de ses militants et cadre, peut poursuivre sereinement une campagne plongée dans le brouillard politique.

 

Passons en revue l’agenda de la primaire…

 

A moins de 2 semaines du premier tour de la primaire de la droite et du centre, les candidats multiplient les réunions politiques.

 

Le favori des sondages, Alain Juppé était  à Egletons en Corrèze samedi n’a pas cessé de

faire référence à Jacques Chirac, dont la fille, Claude, était présente.

Le maire de la capitale girondine sera mercredi dans sa ville de Bordeaux au Palais des Congrès. L’ancien premier ministre de Chirac devrait attirer les foules, déjà largement acquises à sa cause.  Nicolas Sarkozy n’a toutefois pas rechigné à l’exercice puisqu’il se rendra dans la belle endormie en fin de semaine, après s’est offert un bain de popularité dans sa ville de Neuilly sur Seine ce lundi soir.

 

De son coté, François Fillon était à Enghien les Bains, dans le Val-d’Oise, dimanche.

Près d’un milliers de personnes est venu soutenir l’ancien premier ministre.

Persuadé d’être au second tour de la primaire, François Fillon s’est permis de tacler son concurrent, Alain Juppé sur les ventes de son livre qui ne s’écoule pas, contrairement au sien, déjà écoulé à 50 000 exemplaires selon ses proches.                                    François Fillon, fort d’une importrante dynamique a prévu pas moins de 5 rendez-vous. L’ancien premier ministre sera à Strasbourg ce lundi à partir de 19h. Mardi, à la Grande Motte dans l’Hérault, mercredi à Lille dans le Nord puis en Vendée à Mouilleron le Captif jeudi. François Fillon conclura sa semaine samedi à Biarritz dans les Pyrénées Atlantiques.

 

Autre déplacement cette semaine, celui de Jean-François Copé. Après un passage à Saint-Gratien en région parisienne mardi, le maire de Meaux tiendra une réunion publique à Draguignan dans le Var, une terre largement acquise à Nicolas Sarkozy.

 

Nathalie Kociusko-Morizet n’effectuera qu’une seule réunion cette semaine.

L’ancienne candidate à la mairie de Paris sera mercredi à la Salle Wagram pour son Grand meeting National.

 

Jean-Frédéric Poisson sera quant à lui ce lundi soir à Laval en Mayenne pour s’échauffer avant son grand meeting national de samedi à Issy-les-Moulineaux

 

A présent, c’est le moment de passer à notre rubrique Tableau d’honneur où nous évoquerons les enjeux de souveraineté dans la primaire de la droite et du centre avec François Billot de Lochner, le président de la Fondation de Service Politique !

 

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C’est la fin de ce premier numéro de Cap sur l’Elysée, je vous donne rendez-vous demain. Tout de suite, comme chaque jour, retrouvez un nouvel épisode de la France de Campagnol avec Christian Combaz.

A demain, Bonsoir.

 

 

Cet article JOURNAL DU LUNDI 7 NOVEMBRE 2016 : SOCIÉTÉ / MANIFESTATION DE SOUTIEN AU DÉLINQUANT TRAORÉ est apparu en premier sur TVLibertés - Nous, c'est vous.

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