Dans le canton de Zurich, la Clinique universitaire de psychiatrie développe en ce moment un «programme d’intervention» destiné à traiter les adolescents séduits par la guerre sainte.
La ville est confrontée à des cas de radicalisation de jeunes musulmans. A la fin 2015, le retour de Syrie de deux aspirants djihadistes, un jeune homme de 17 ans et sa sœur de 16 ans, avait notamment fait grand bruit.
Onze séances de deux heures
Les psychiatres et psychologues essaieront notamment de comprendre d’où vient la fascination pour le djihad, d’expliquer les conséquences légales de tels actes et de faire entrevoir d’autres perspectives.
Responsable du Bureau de prévention de l’extrémisme et de la violence (Fexx), à Bâle, Samuel Althof n’est pas convaincu par le projet zurichois: «On ne peut pas déradicaliser quelqu’un en 11 séances de thérapie, ni même en 50. C’est un processus qui prend des années car les causes sont très profondes.»
Une société malade (une société qui crée des psy est FORCÉMENT malade !..c’est trifouiller l’égo pour lui donner encore plus d’importance et donc plus de problèmes psychiques à venir) qui soigne les malades…”alors..! ..on voudrait qu’on soit intelligents et on nous prend pour des cons..!…mais comment on c’était alors ?!!..” -dixit Coluche-
Quelle blague, nous savons tous que c’est le psy qui a besoin du “patient” et non l’inverse!
Et là, ils vont se régaler, en facturations et en traitements. Aucun traitement ne peut dé-radicaliser quelqu’un de profondément ancré, c’est une grande utopie, donc…un échec programmé qui va nous coûter très très cher. Inacceptable!
Aux psy de prendre leur dispositions : ça va chauffer et je ne parierai rien sur le psy.
Encore un projet génial qui permettra à nos nouveaux amis de vivre mieux avec nous.
Isabelle.
S’ils sont aussi habiles à manipuler les psys que Claude Dubois ou Fabrice Ausoni, je propose plutôt des tentatives de déradicalisation sous forme de massages aux huiles essentielles, cours d’équitation, croisières dans le Pacifique, stages de macramé ou autres leçons de tai-chi.
Éventuellement de la méditation transcendantale ou des séances de clochettes tibétaines.
Moi, je serais plutôt adepte des camps de travail et de l’expulsion, mais on me dit que ce n’est gentil….
Le tout bien sûr aux frais des caisses-maladie!
C’est sûr, les psy ça fait trop peur, hihihi.
Non, mais franchement, les psys sont des gens fragiles, assez peu masculins, plutôt défaitistes et trouillards.
Les islamistes vont se régaler.
Les bobos qui on terminés leurs études en psycho se voient ainsi octroyé de nouveaux débouchés à long terme, payés par le contribuable. Les primes maladie ne sont pas prêtes de se stabiliser.
La dé-radicalisation s’adresse en fait à la conscience de la personne, d’où le propos qui suit :
Le seul passage de la Bible qui se rapproche du Coran, à savoir la Parole de Dieu, ce sont les Dix commandements qui, d’ailleurs ont subi quelques nuances avec le temps :
Voici ce qui était enseigné au XXème siècle chez les chrétiens :1) Tu aimeras le Seigneur ton Dieu. 2) Tu aimeras ton prochain comme toi-même.3) Tu ne prendras point le nom de l’Éternel en vain.4) Souviens-toi du jour du repos pour le sanctifier. 5) Honore ton père et ta mère.6) Tu ne commettras pas de meurtre. 7) Tu ne commettras pas d’adultère. 8) Tu ne commettras pas de vol. 9) Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain. 10) Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain, tu ne convoiteras ni sa femme, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien qui lui appartienne.
Sinon l’Ancien Testament rapporte des généalogies, des récits et pensées de prophètes divers, des faits et des psaumes. Le Nouveau Testament contient les quatre Evangiles qui décrivent la vie de J.C. ainsi que les Actes des Apôtres : des paroles, des messages qui s’adressent à ceux qui les entendent, aucune obligation de forcer l’autre à croire, sous peine d’être exclu ou éliminé. Aucun appel à éliminer ou exclure l’autre, au contraire: J.C. invite à aimer même ses ennemis. Je me réfère ici essentiellement au Livre (la Bible) en tant que tel, et non au pas à l’usage qui en a été fait à certaines périodes de l’Histoire pour asseoir des pouvoirs. Les protestants ont jugés bon d’ailleurs de redonner au Livre sa fonction spirituelle (en les dégageant d’une multitude de prescriptions rajoutées , à savoir parler à la conscience de chacun. LA CONSCIENCE DE CHACUN.
Rien de tel avec le Coran et les hadiths, une compilation (plusieurs centaines) de préceptes, de prescriptions, de règles, d’ordres, de lois (charia). De ce fait, un bon musulman (lettré, donc qui sait lire, et l’arabe de préférence) est celui qui les applique à la lettre; si certains musulmans évoquent des limites, AUCUNE n’est INSCRITE dans leur livre de référence. Où se loge la conscience, si ce n’est l’application stricte de ce qui est prescrit ?
Les musulmans, leurs communautés diverses, puisqu’ils sont tenus d’appliquer le Coran, devraient donc s’obliger à lire cela dans son entier et de biffer tous les passages que leur conscience réprouve. Voilà ce que les communautés d’accueil seraient en droit d’exiger, afin de savoir dans quelle morale les musulmans se situent. Mais là est leur dilemme, et non celui des non musulmans qui ne peuvent accepter un texte qui les condamnent.
J’ai bien peur que se soit toute l’Oumma fondamentaliste musulmane suisse qu’il faudrait psychanalyser…..J’entends ricaner Tarik….
Sortir un élément de son contexte équivaut à désaler la mer en isolant une goutte de son eau….
La prétention de déracaliser est en soi assez louable…mais au demeurant très naïve…..
Les honoraires de TTT psychiatrique d’une telle entreprise seront à la charge de l’Etat….et probablement passés dans la colonne des pertes et profits de la Confédération….
Nous n’en sommes plus à quelques centaines de milliers près……
Les psys vont se frotter les mains, ca fait du business pour des annees, alors qu’il existe une solution simple, rapide et relativement moins chere (non, pas de la 9 para), un billet aller simple en Syrie, pas de retour en Suisse possible.
Logique : après le business de l’asile celui de la déradicalisation.
La raison est simple : nos universités forment nettement trop de psys en tous genres, et comme personne n’en a besoin ils doivent trouver de nouveaux débouchés.
Il n’y a qu’une réponse à apporter aux radicalisés et aux jihadistes : expulsion immédiate et interdiction définitive de séjour en Suisse.
Pour ceux qui n’accepteraient pas la sentance il restera toujours le peloton d’exécution au petit matin.
On sait que l’alcoolique grave doit toucher le fond pour enfin se décider à se faire soigner, idem pour le toxicomane qui n’en peut plus de continuer ainsi. Un radicalisé, de quoi voulez-vous qu’il prenne conscience puisqu’il fait ce qui lui est ordonné et qui magnifie son acte par la mort, la sienne incluse. Un petit psy en face de lui, ça le fera rigoler.