Vidéo choc: Une famille allemande horrifiée examine son immeuble après des bagarres au couteau entre réfugiés. Les fillettes de l’immeuble avaient déjà été agressées sexuellement.

Une vidéo choquante provenant d'Allemagne montre une famille allemande horrifiée qui enquête à la suite de coups de couteau entre "réfugiés" dans son immeuble.

Dans la nuit du 2 octobre à environ 6h15 les membres d'une famille allemande de Frisia ont été réveillés par les bruits d'une bagarre de masse entre réfugiés syriens qui étaient cantonnés dans leur appartement. La lutte a dégénéré en coups de couteau, la suite ressemble à quelque chose que vous pouvez voir dans les films d'horreur. Deux étages de la cage d'escaliers étaient couverts de sang avec des éclaboussures de sang sur les murs et des flaques de sang sur le sol.

On a donné des coups de pied à la porte de l'appartement familial, les enfants étaient terrifiés et se sont cachés jusqu'à ce qu'ils soient partis. Heureusement, la famille n'a pas été blessée, les coups de couteau étaient entre les réfugiés eux-mêmes. Ces derniers ont été décrits comme étant ivres par la famille. La mère a enregistré l'incident avec son téléphone, le père de famille l'a publié sur Facebook. Les réfugiés avaient déjà reçu deux avertissements pour avoir harcelé sexuellement leur fille de 12 ans, ainsi que les filles de leurs voisins (âgées de 6 et 9 ans). Dans un cas, les réfugiés les ont plaquées contre le mur et leur ont tripoté les seins et les fesses.

L'histoire de la famille (Facebook):

Habituellement, je reste éloigné de la plupart des discussions qui concernent les réfugiés, mais nous sommes vraiment à court de patience ici.

Mais voilà le début: je vis dans une petite ville au coeur de la Frise orientale. C'était toujours relativement calme ici, la proportion de migrants était relativement faible et ceux qui étaient là étaient calmes et chaleureux.

Il y a quelques mois, les réfugiés syriens ont emménagé dans l'immeuble dans lequel je vis aussi avec ma famille. Ils ont été généreusement reçus et personne dans la maison n'avait un quelconque préjugé.

Puis, il y a environ 6 semaines, le premier événement négatif. Notre fille (âgée de 12 ans), ainsi que les deux petites filles de nos voisins (6 ans et 9 ans) ont été victimes de harcèlement sexuel de la part des réfugiés, poussées contre le mur de l'escalier et embrassées de force, ainsi que touchées de façon inappropriée sur les seins et les fesses.

Bien entendu, nous avons alerté la police et porté plainte. Après que la police les ait interrogés, le calme est revenu... une première fois!

Peu de temps après, ma fille est rentrée complètement affolée alors qu'elle jouait à l'extérieur. Elle m'a raconté que les réfugiés devant la maison lui ont fait des gestes obscènes explicites. Tout en ricanant, ils ont passé la langue sur les lèvres (Nd Schwarze Rose: ils insinuent qu'ils ont envie de la fillette de 12 ans.)

Nous avons également signalé cet incident à la police. Après cela, les réfugiés ont reçu leur deuxième avertissement, c'était à nouveau calme.

Mais depuis 3 semaines, la tranquillité est à nouveau brisée. Chaque week-end, chez les réfugiés il y a des bagarres, de la drogue, de l'alcool. Et à des heures avancées, il y a régulièrement des bagarres et des rixes au couteau. La nuit dernière, la porte de mon appartement a été défoncée, la cage d'escalier était pleine de sang (regardez la vidéo)... Ainsi ma compréhension pour ces gens prend bientôt fin.

Et notre chère police n'a malheureusement presque aucune emprise contre cela. Les enfants de l'immeuble ont toujours peur, ils n'osent pas sortir de leurs propres appartements. Il est scandaleux que rien ne soit fait contre cela.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

8 commentaires

  1. Posté par Carole le

    Yves, le problème c’est que Frau Bretzel n’a pas compris que ça se répand, ça pond, et donc qu’elle a contaminé un continent entier. Il faut envoyer ces pauvres qui fuient la guerre…faire de l’humanitaire, tous à Haïti… je doute que c’est ce qu’ils veulent… le problème, c’est qu’en plus c’est le genre : tire-toi de là que je m’y mette…

  2. Posté par Myrisa Jones le

    La suite logique dans quelques années:
    Une telle augmentation de la violence, que vous aurez tous pris les armes pour vous défendre et défendre vos familles.
    Les Etats avouent déjà ne plus avoir les moyens de vous protéger.
    Alors bon courage aux allemands et à tous les autres habitants des pays européens (y compris les suisses) car grâce aux “apparatchiks” de Bruxelles, à Schengen et à leurs serviteurs zélés, tout cela ne fait que commencer. N’en doutez pas!

  3. Posté par Ermacora Christiane le

    Peine de mort pour ces hommes qui violent, tuent, égorgent. A cette famille je dis que c’est bien malheureux qu’elle n’ait pas ouvert les yeux avant dès le début de ces arrivées de migrants car on connaît la ritournelle

  4. Posté par Martin Leu le

    Comment faudra-t-il le dire ? Comme l’affirme le Conseiller d’Etat genevois Mauro Poggia, ces histoires de mauvais comportements de migrants «sont des projections et des peurs ne reposant sur rien de concret.» Oseriez-vous contester un avis aussi «autorisé» ? Pas beau d’avoir répandu du faux sang dans tous les étages de l’immeuble allemand pour donner tort à l’illustre Mauro Poggia !

  5. Posté par Vicvale le

    A Lausanne il se passe la même chose ! Étonnant, non?

  6. Posté par Line DESGANS le

    Vous avez été trop naifs, ces gens ne fuient pas la guerre, ils sont jeunes, en forme, ( ou sont les femmes, les enfants , les vieillards ), c’est une armée d’invasion, il faut que vos enfants soient en danger pour que vous compreniez le danger, c’est triste !

  7. Posté par Tommy le

    Et après on déclare que le danger, c’est l’AfD, et que les migrants doivent être reçus avec force cris de joie!

  8. Posté par Yves le

    Frau Bretzel les a voulu, vous les avez 🙁

Et vous, qu'en pensez vous ?

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