Lausanne: Le communiste David Payot qui soutient le CollectifR devant la justice. Les politiciens de gauche le couvrent!

Christian Hofer: Suite de l'affaire déjà évoquée ici.

Les socialistes, si prompts à jouer les donneurs de leçons sur le plan des droits humains lorsqu'ils veulent contraindre la Suisse à accepter n'importe qui, méprisent au plus haut point nos lois. A ce petit jeu,  nous serons systématiquement perdants!

Enfin, nul ne sera surpris de voir que parmi le CollectifR qui aide des clandestins en toute illégalité, il se trouve un PDC!

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Le syndic de Lausanne, Grégoire Junod, estime que son collègue popiste a usé de sa liberté d'expression.

«Faciliter un séjour illégal, si l’infraction est avérée, constitue un délit qui se poursuit d’office et dont la répression est de la compétence du Ministère public.» Ces propos du préfet de Lausanne, Serge Terribilini, font suite à la prise de parole du municipal communiste David Payot, le 21 septembre dernier. Il soutenait un collectif qui appelle à la désobéissance civile pour héberger des migrants en situation irrégulière. Le hic, c’est que l’élu Payot a, comme ses collègues de l’Exécutif, prêté serment de respecter et faire respecter la loi. Et de «ne jamais taire les contraventions aux lois et règlements de police qui viendraient» à sa connaissance.

David Payot a été défendu par des membres de la gauche, notamment Pierre Conscience, élu de SolidaritéS et membre du collectif R. Celui-ci a martelé que la désobéissance civile était «un devoir moral», imposé par «la machine à broyer des vies» qu'est devenu à son sens la politique de renvoi, «puisqu'il n'y a plus de politique d'asile en Suisse».

Le PDC Manuel Donzé, lui aussi parrain pour le collectif R, estime de son côté que «certains n'accepteront jamais l'élection de David Payot. Or il est légitime et il faut cesser de lui faire un procès en légitimité.»

Pour le syndic socialiste Grégoire Junod, David Payot a droit à sa liberté d’expression, certes limitée notamment par «les règles de collégialité. Mais la Municipalité ne va pas se substituer aux autorités pénales et ne veut pas donner de suite particulière à ce dossier.» Quant au devoir de dénoncer des infractions, le syndic a déclaré mardi qu’on «ne peut pas attendre d’un municipal de dénoncer toutes les infractions portées à sa connaissance, sinon cela paralyserait le travail de la Municipalité».

Source Source2

 

12 commentaires

  1. Posté par Mouchotte le

    Un “collectif”, c’est une minorité de gens, qui emmerde la majorité, qui se croit au-dessus des lois parce que s’imaginant sans le moindre petit doute une supériorité morale, qui se gave d’idéologie bien-pensante et la recrache volontiers au visage de ceux qui ont d’autres opinions, qui rappelle sans arrêt un soi-disant “devoir de générosité” tout en ne l’appliquant jamais elle-même, et qui n’oublie pas de vivre aux crochets de la société (le clientélisme, quelle invention géniale!).
    Et sinon, la dette de la ville de Lazône se monte à combien, déjà? D’ailleurs, les villes de ce pays les plus endettées sont toutes gouvernées par la gauche. Ne ralentissez pas, on arrive bientôt dans le mur!

  2. Posté par henri le

    il vient d’ou cette oiseau?? vraiment ces pauvres Lausannois méritent ce qu’ils votent.

  3. Posté par Ralebol le

    En fait, c’est comme anarchiste que cet individu aurait dû se présenter. Question d’honnêteté.

  4. Posté par Ueli Davel le

    « David Payot a été défendu par des membres de la gauche, notamment Pierre Conscience, élu de SolidaritéS et membre du collectif R, » Pierre Conscience…..!!!! « : Science sans Conscience n’est que ruine de l’ame » disait l’autre.
    Ce brave David, sa tête inspire la confiance, un vrai Lausannois à 300’000CHF/année. Lausanne est bien barrée, la barre à gauche, gauche!

  5. Posté par aline le

    La majorité de la population lausannoise qui vote régulièrement en faveur de la gauche se résume aux trois A: Arm, Alt und Arbeitslos. Et une petite minorité paie des impôts, mais pour combien de temps encore? Le folies des gauchos s’arrêteront au moment où il n’y a plus de sous dans la caisse.

  6. Posté par Martin Leu le

    Enterrement programmé…

    A lire les «explications» données à la presse par le procureur général, on peut dores et déjà augurer que l’affaire ira vers son enterrement pur et simple. Le Municipal visé a bien prononcé les paroles qui lui sont reprochées et on ne voit pas ce que l’«enquête« pourra établir de plus. On attend simplement que la mousse retombe avant de classer les plaintes. Classique d’une «justice» qui applique la loi de manière très sélective, selon la couleur politique des justiciables.

  7. Posté par Sergio Morosoli le

    Oui bigjames. On dirait que la “justice” est dotée de deux codes séparés. L’un est applicable au bobos et leurs alliés et l’autre est réservé au peuple.

  8. Posté par bigjames le

    Cela dépend toujours bien-entendu de quelles infractions on parle.
    Si elles sont de gauche, on fermera les yeux, pour ne pas paralyser le travail de la municipalité…

  9. Posté par Tommy le

    On s’attendait bien à ce que ” Payot the Outlaw” soit couvert par ses camarades de parti!
    Ma foi, je me dis parfois que les Lausannois ont ce qu’ils méritent. A vouloir élire systématiquement des bien-pensants et des dames patronnesses, on en arrive à une société mue par le sentimentalisme, rejetant les évidences les plus criantes et s’enfonçant inexorablement vers la faillite.

  10. Posté par Cécile le

    C’est de la corruption, de ne pas respecter les lois ! Ou non?

  11. Posté par Hervé le

    Il est de notre devoir moral d’arrêter de payer les impôts pour que cet argent ne soit pas dilapidé à subventionner des inconnus alors que nos concitoyens en ont tout autant besoin. Logique imparable.

  12. Posté par A. Vonlanthen le

    Ce type a une tête à baffes.

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