INFO PANAMZA. Le rapport de la police des polices a passé sous silence le motif-clé de l'absence de gendarmes et CRS à Nice pour le 14-Juillet : ils avaient été mobilisés à Avignon pour le "dîner privé" de François Hollande.
Le 28.09.2016 à 17h54
Lors du procès de l'affaire de pédophilie d'Outreau, les chaînes de télévision avaient pu -fait exceptionnel- retransmettre en direct les audiences.
À propos de l'attentat de Nice qui a causé la mort de 86 personnes, aucun média audiovisuel n'a souhaité diffusé le seul débat de fond qui s'est tenu sur le sujet à l'Assemblée nationale.
Dans l'après-midi du 6 septembre, la commission des lois a auditionné la patronne de l'IGPN, police des polices, à propos de son rapport relatif à la sécurisation de la Promenade des Anglais au soir du 14 juillet.
Dans la soirée du 6 septembre, Panamza avait déjà souligné que l'IGPN n'avait pas voulu et pu accéder aux images pourtant cruciales de la vidéosurveillance de Nice.
Aujoud'hui, mercredi 28 septembre, un nouvel élément d'information nécessite d'être souligné. Membres de la commision des lois, les députés de l'opposition (LR) se sont étonnés (à 1h40 et 1h42) que le rapport de l'IGPN -qui indique que 5 villes de la "zone de défense et sécurité sud" (Marseille, Toulouse, Montepellier, Carcassone, Avignon) ont bénéficié ce soir-là de la protection de forces mobiles (CRS et gendarmes)- passe sous silence le motif de l'affectation pour Avignon : la présence non annonçée de François Hollande (en compagnied'Audrey Azoulay, ministre de la Culture) pour un "dîner privé" suivi de sa venue au Festival pour assister à la dernière représentation locale des "Damnés", curieuse pièce de théâtre sur la montée du nazisme (qu'il ira finalement voir le 24 septembre à La Comédie Française).
Précisément : une unité de force mobile avait donc été refusée à Nice pour être affectée à Avignon et protéger le président de la République.
Eric Ciotti a notamment insisté (à 1h02 et 1h38) sur le fait que, "pour la première fois", Nice n'ait pas disposé de telles forces de protection pour le 14-Juillet, contrairement aux éditions de 2015 (60 gendarmes) et 2014 (37 CRS). En cette année 2016, seuls des policiers municipaux (42) et nationaux (64) étaient présents pour encadrer la fête de la "Prom'Party".
Chef de l’état ou pas, il dispose déjà de pas mal de service de protection, il venait à un dîner privé, pas à une sortie publique, comme valls, il y a peu, plusieurs dizaines de véhicules de crs mobilisés pour son déplacement.
Sans compter les ex ministre d’ici et la qui bénéficient d’une protection de leur habitation par des gendarmes ou policiers aux frais du contribuable. Ces fonctionnaires seraient plus utile sur le terrain pour renforcer les autres unités, les politiques ont les moyens financiers de se payer une protection privée.
Bref sinon oui, la coïncidence est troublante
Ce que j’en dis c’est qu’il porte la poisse !ou alors que certaines horreurs auraient pût être évitées,mais pour ça il aurait fallut une certaine volonté manquante (comme pour les attentats de Paris!)
Donc on comprends l’empressement de mohamed Hollandi à mettre la main sur la videosurveillance.
Ce qui est surtout étrange, c’est que l’attaque ait justement eu lieu dans la seule ville où le service d’ordre était déforcé.
Quand on sait en outre que l’attaquant avait effectué des reconnaissances auparavant, c’est encore plus troublant.
Au final, l’Intérieur a de plus menti sur la composition du service d’ordre.
Ça fait vraiment beaucoup!
Ouais ! “A force de chercher la petite bête on en vient parfois à dire n’importe quoi.” Eh bien ! La protection d’un raout présidentiel impromptu serait-elle un motif pour déplacer des forces de police de gendarmerie pour protéger un petit satrape élyséen, lorsque la fête nationale rassemble des milliers de personnes dans une ambiance terroriste ? Allons donc ! Le malfaiteur de l’Élysée pouvait fort bien demeurer dans son antre, au lieu d’aller se goberger aux frais de la Princesse ! Un chef d’État, ça ? Non, un glouton !
D’un autre côté c’est aussi et surtout le chef d’état français, non ?
A force de chercher la petite bête on en vient parfois à dire n’importe quoi.