Parti socialiste, des défaites à la déroute
Comme nous avons déjà eu l'occasion de le souligner, depuis près d'une année, la gauche perd des plumes à chaque élection ou votation avec une régularité qui force le respect. Ceci dit, aujourd'hui dimanche 25 septembre 2016, c'est plus qu'une nouvelle défaite, c'est une complète déroute qui frappe la rose et les jardiniers. Trois claques retentissantes au niveau fédéral, dont la très douloureuse Loi sur le Renseignement, largement acceptée par 65,5% des votants et tous les cantons. La précision n'est pas anodine dans la mesure où d'ordinaire, Genève, Neuchâtel et le Jura se distinguent sur ce genre de sujet. Cette fois-ci, il n'en est rien. C'est avec une belle unanimité que le Conseiller fédéral Guy Parmelin a été soutenu partout dans le pays. Face à la menace islamiste en constante augmentation, la Suisse a choisi de se doter de moyens certes encore menus mais encourageants pour jouer son rôle dans la lutte internationale contre le terrorisme.
L'opposition socialiste à la nouvelle loi n'a bien sûr surpris personne, ce parti ayant toujours manifesté une grande empathie pour les crapules, Brigades Rouges, Action Directe ou Rote Armee Fraktion hier, islamistes aujourd'hui. L'idée que nous puissions lutter contre nos ennemis avec quelque efficacité ne pouvait que déplaire aux camarades qui ont brandi le retour de l'état fouineur en guise d'épouvantail. Fort heureusement, la manœuvre a échoué. En effet, depuis la Chute du Mur, le monde a un peu changé, engendrant par ses désordres le triste Etat Islamique. D'abord victorieux, les fous d'Allah ont fini par trouver un adversaire à leur mesure et ont donc dû porter la guerre en Occident grâce aux nombreux terroristes acquis à leur cause. Leur tâche est d'autant plus facile qu'ils savent pouvoir compter sur un soutien discret mais efficace de la part de certains coreligionnaires établis dans les pays visés.
La Suisse n'échappe pas à ce phénomène même si on nous parle régulièrement de religion de paix et d'amour. Aujourd'hui-même se tenait à Fribourg la 21ème rencontre annuelle de la Ligue des musulmans de Suisse. On y a trouvé parmi les conférenciers le regrettable Hani Ramadan, l'homme qui milite entre autres bonnes idées pour la lapidation des femmes adultères. Voici pourquoi les musulmans de Suisse se rassemblent chaque année; pour écouter l'apôtre d'une barbarie qui ne survit que là où l'Islam règne. Ce genre d'orateur devrait nous alerter quelque peu sur les réelles intentions des adeptes du Coran chez nous. La large acceptation de la Loi sur le Renseignement montre que la population a bien saisi la menace et veut donner aux autorités les moyens de la combattre.
A une toute autre échelle, à Neuchâtel, la gauche avale une autre couleuvre avec le refus par 54% des votants d'accorder le droit d'éligibilité aux étrangers au niveau cantonal. Avec l'appui de quelques PDC, Verts Libéraux et PLR, la chose semblait pourtant bien engagée. Il est vrai que le terrain avait été judicieusement préparé en accordant dans une première phase le droit de vote afin de faciliter ensuite l'éligibilité lors d'un scrutin ultérieur. L'idée générale consistait à découpler les droits des devoirs liés à la nationalité suisse pour octroyer les premiers aux étrangers sans les ennuyer avec les seconds, service militaire notamment. Plus inquiétant encore, le projet touchait également la magistrature qui aurait ainsi eu à accueillir des juges venus d'ailleurs. Neuchâtel aurait ainsi eu un droit élaboré par des étrangers et interprété par des étrangers.
Ne partageant pas cette vision des choses, l'UDC s'est engagée vigoureusement contre cette modification constitutionnelle sur le thème "tu veux être élu(e), tu te naturalises". La chose n'a rien de bien compliqué en terres neuchâteloises, le taux de refus se montant à 5 pour mille. Manifestement, les arguments ont porté et la gauche doit une nouvelle fois différer son rêve mais reviendra à la charge à la première occasion. Restons donc sur nos gardes et faisons nôtres les mots de Ronald Reagan: "Les communistes sont ceux qui ont lu Marx, les anti-communistes sont ceux qui l'ont compris".
La Côte-aux-Fées, le 25 septembre 2016 Yvan Perrin, président UDC-NE
Socialistes traîtres, quand évoquerez-vous le GENOCIDE des chrétiens, en cours, en Syrie ? Quand ?
Derrière un socialiste … se cache un opportuniste !
C’est vrai, ils ont ramassé leurs billes. Bien fait pour eux.
Mais ce sont des votations populaires, sur des objets précis où les positions du PS ont été désavouées, pas le parti lui-même ni ses élus. On ne pourra se réjouir vraiment que quand le PS aura chuté au dessous de 10% aux ELECTIONS fédérales (en 2019), ainsi que cantonales et communales. Alors cette force nuisible sera vraiment affaiblie. Et elle n’aura plus droit à deux sièges au CF.
Cela pourrait bien arriver car les prochaines élections françaises donneront un signal fort. Le parti à la rose, de Mitterrand, va se ramasser dans les grandes largeurs. Il ne sera pas au second tour et son candidat au premier, que ce soit Hollande, Valls, de Montebourg ou un autre, fera un score minable. Aux élections législatives subséquentes ce sera la Bérézina. Pas très encourageant pour Levrat et ses amis.
En Allemagne aussi le SPD est en perte de vitesse, pas seulement la CDU, les deux partis pâtissant de leur politique folle d’accueil aux migrants.
De toute façon la social-démocratie est en reflux partout et ça va continuer. Il n’y a plus aucun intérêt pour les électorats ouvriers et salariés de voter pour des partis qui ont participé activement au démantèlement de l’état social, voulu par l’Union Européenne.
Seulement en Suisse, je crains que le PS ne parvienne à s’accrocher. Il perdra des plumes, mais pas autant qu’ailleurs.
-parce que les choses vont encore, malgré tout, moins mal qu’ailleurs
-parce que les Suisses ont un réflexe très conservateur et, de ce point de vue, continuer de voter pour un part passé de mode comme le PS, sera l’expression de ce conservatisme
-parce qu’il y a des traditions de famille fortes. Il y a encore des familles socialistes comme il y a des familles libérales, radicales, PDC.
Tout cela permettra au PS Suisse de se maintenir plus longtemps qu’ailleurs par force d’inertie.
En plus, même si beaucoup d’ex électeurs socialistes votent aujourd’hui UDC, seul parti qui les protège contre le dumping social du à l’immigration de masse, la progression future de l’UDC dans l’électorat populaire sera freinée par le fait que l’UDC est un parti patronal, favorable au redimensionnement de l’état social comme le PLR.
Par conséquent, pour que le PS tombe vraiment, et rapidement, au niveau qu’il mérite, c’est à dire une quote-part électorale d’environ 8 à 11%, moyennant quoi il ne serait plus une nuisance, il faudrait que naisse UN PARTI DE GAUCHE qui parle aux classes défavorisées en insistant sur la mise en œuvre effective de la préférence nationale a l’embauche (art 121 a de la Constitution). Seul un tel parti pourrait reconquérir les 7 à 10% d’électorat populaire usurpés par le PS. Selon moi ce parti de gauche pourrait au passage écraser les Verts et atteindrait facilement une quête part de 10%, suffisante pour revendiquer un siège au CF au détriment du PS.
Alors seulement le PS sera en déroute.
Il est plaisant de constater que la clique de gauche en a pris pour son grade lors de ces dernières votations. Comme le relève “P.” (26 septembre 2016 à 10h08), seuls les perdants ont été questionnés, et pas n’importe lesquels. Pour ce qui est d’Adèle Thorens, elle ferait mieux de se montrer discrète, vu les nombreux problèmes qu’elle a causés à ses voisins à qui elle a pourri la vie pendant plus de 4 ans, pour des motifs totalement égoïstes – Réf. : http://www.lematin.ch/suisse/Adele-Thorens-perd-son-proces/story/11240747. De plus, en arrière-fond de l’interview, on voit encore le “dinosaure du PDC”. Il ne manquait plus que lui !
D’une manière générale la presse a une attitude souvent malhonnête. J’ai récemment lu “UDC (parti de l’extrême droite populiste)” alors qu’en parlant de Payot à Lausanne, on ne dit pas “POP (parti communiste aux idées révolutionnaires datant de 1917) ou encore “P.S. (parti prétendant défendre le pauvre et l’ouvrier mais composé uniquement d’universitaires et de fonctionnaires payés par ces mêmes pauvres et ouvriers)”.
Effectivement, il y aurait un tri important à faire du côté des journalistes, qui ne cessent de revendiquer une prétendue “liberté de la presse”, alors qu’elle est totalement asservie à la gauche. A l’Est, le communisme s’est effondré de lui-même et chez nous on essaie de recréer le même cas de figure. Parallèlement, les requérants d’asile musulmans qui prétendent avoir fui leur patrie à cause des persécutions religieuses, n’ont de cesse que de reconstituer les mêmes structures, à peine arrivés chez nous. Le plus fort est que la gauche admet toutes leurs revendications sous prétexte du droit à la différence. En ex-URSS, ces gens étaient qualifiés “d’idiots utiles” que l’on laisserait tomber immédiatement après avoir atteint le but recherché. Il est grand temps que l’on se réveille, tant du côté de la politique que de la presse qui doit savoir rester à sa place, qui est l’information objective et non la polémique.
Le(v)rat était bien enragé hier soir lors de la fameuse “Elefantenrunde” tour des éléphants à la télévision suisse alémanique, réunissant les présidents des 4 partis. Il est très mauvais perdant.
A noter également le traitement des ces résultats lors du JT d’hier soir avec les gens interrogés :
1) AVS+, refusé : Steiert, Nordmann (socialistes) et A. Ferrari (syndicaliste), puis A. Berset (socialiste)
2) LRens, accepté : 2 jeunes (1 PLR et 1 socialiste) qui étaient contre, puis tout de même G. Parmelin (UDC, pour)
3) Initiative verte, refusé : qui est interrogé ? A. Thorens et D. Brélaz (verts).
Bref, sur 7 personnes (hors CF) interrogées, il n’y a que des perdants (1 seul d’un parti de droite). Quant à Berset, il y a fort à parier que s’il n’avait pas été CF, il aurait été pour AVS+ mais que ce n’est que par son poste qu’il a été contraint de s’y opposer.
Y aurait-il eu autant de perdants interrogés si AVS+ et l’initiative verte avaient été acceptées ? Ou comment la RTS nous prouve par l’acte son parti pris évident. Lamentable.
Je ne partage pas l’enthousiasme de M. Perrin concernant la loi sur le renseignement. Il semble oublier que l’UDC est l’ennemi public à combattre de toutes les façons possibles. Ses téléphones et sa messagerie pourront ainsi être légalement surveillés. Il y a d’ailleurs belle lurette que cela se pratique…
Notre constitution, voulue par l’Eglise, ne nous protège pas!
En 1999, Arnold Koller, chef dt Département de Justice et police écrivait une lettre aux rédacteurs en chef de nos principaux journaux, à propos de la votation qui devait avoir lieu sur la nouvelle Constitution. Une lettre qu’il n’avait pas écrite tout seul!!! Koller PDC, voulait que les destinataires de sa lettre apportent leur soutien au projet.
Ci-dessous le texte, comment devenir citoyen américain.
Appliqué chez nous, les Ada Marra, Cesla Amarelle, Mazzone, toutes catholiques obéissant à L’Egise et Rebeca Ruiz n’auraient comme solution
de s’abstenir de jouer un rôle politique ou de rentrer dans leur pays respectif.
Serment d’allégeance prêté lors de la cérémonie de naturalisation américaine:
Je déclare, par le présent acte,
renoncer et faire abjuration d’obéissance et de fidélité à toute puissance étrangère, prince, potentat, état ou souverain, desquels j’ai été le sujet ou le citoyen;
soutenir et défendre la Constitution et la loi des Etats-Unis d’Amérique contre tout ennemi, qu’il vienne de l’extérieur ou de l’intérieur;
porter à ces derniers une foi et une obéissance entières;
prendre les armes pour les Etats-Unis si la loi l’exige;
accomplir mon service militaire pour les Etats-Unis si la loi l’exige;
exécuter un travail d’intérêt national sous autorité civile si la loi l’exige;
et prendre cet engagement librement sans aucune réserve ou volonté de fuite;
Que Dieu me vienne en aide.
Les socialistes seraient-ils ouverts à ce que des personnes non-membres de leur parti qu’ils participent à l’élection de leur président, et, qu’un jour, un non-membre de leur parti soit élu à leur tête?
Qu’ils se mettent dans la tête qu’un état (ce qu’est la république de Neuchâtel) est bien plus important que leur formation! Jusqu’où veulent-ils aller? Qu’un étranger puisse s’asseoir sous la Coupole?
C’est quasiment un patriot act à la Suisse, pas de quoi se réjouir, au contraire…