Le plus jeunes de deux élèves est toujours scolarisé dans la commune bâloise alors que son frère aîné en a terminé avec l'école obligatoire. Il a écopé d'une mesure disciplinaire infligée par le conseil scolaire de Bâle-Campagne qui a rejeté un recours des parents, a confirmé la conseillère d'Etat Monika Gschwind, qui dirige le département de l'éducation, dans un commentaire sur la décision du conseil.
L'adolescent, qui refuse toujours de serrer la main de son enseignante, n'accepte pas la sanction et a déposé un recours. Mais il n'est seul: il est désormais soutenu par le Conseil Central Islamique Suisse.
Le CCIS n'en est pas à son coup d'essai. C'est lui qui était déjà intervenu pour contester l'interdiction faite à deux jeunes musulmanes de porter le voile en cours à l'école de St. Margarethen (SG). Le Tribunal fédéral avait désavoué les autorités communales.
D’accord avec Le Taz: ces gens, on devrait les mettre dehors.
Quant au Conseil islamique suisse, cette organisation devrait être interdite, comme le POP d’ailleurs.
Que ces gens enfilent leurs babouches et s’en aillent prêcher l’islam dans un pays musulman de leur choix.
Mettons tout ça à la porte et arrêtons de nous compliquer la vie !!!
Au moins, on peut dire qu’ils sont cohérents…
Mais qu’attendent-ils tous pour rejoindre un de ces merveilleux pays islamiques où ils pourront exercer leur fanatisme religieux en toute quiétude ?
Qu’il aille faire des études ailleurs ! Non mais !
Lentement au début, rapidement maintenant, ce cancer ronge l’Occident.
A force de faire les carpettes devant leurs exigences conquérantes, les “bien-pensants” finiront en tapis de prière!