Union européenne – Donald Tusk, l’ancien Premier ministre polonais et actuel président du Conseil de l’UE a finalement admis que «nous devons sécuriser nos frontières ». L’an dernier, le politicien de centre-gauche a déclaré devant l’ONU que « pour l’Europe, l’isolationnisme n’a jamais été, et ne sera pas, une option », sous-entendant que les migrants devaient être acceptés d’une façon ou d’une autre.
« L’immigration incontrôlée et clandestine, le terrorisme et la peur de la mondialisation sont trois grands défis pour l’Europe » et « la sécurisation de nos frontières extérieures » devrait être la première priorité de l’UE, a déclaré M. Tusk. « Jamais plus nous ne pourrons permettre que nos frontières soient débordées par des vagues de migrants en situation irrégulière comme en 2015 ». Ceci est un changement saisissant de ton du patron de l’UE, dans le sillage du Brexit. En 2015, les pays tels que la Hongrie, la Macédoine et la Slovaquie ont été fortement critiqué pour la sécurisation de leurs frontières avec gardes et clôtures, note Breitbart.
Une semaine avant la réunion de Bratislava, Donald Tusk a exprimé sa volonté: « À Bratislava, je veux que nous nous engagions à ce que toute personne, y compris les citoyens de l’UE, qui passe les frontières extérieures de l’Union soit contrôlée de façon efficace. Il est question de notre sécurité ». Il a ajouté sa volonté d’apporter plus d’aide européenne à la Bulgarie, en vue de sécuriser au mieux sa frontière avec la Turquie.
L’année dernière déjà, Donald Tusk avait exprimé des critiques à l’égard de l’afflux massif de migrants frappant l’Europe. Un afflux de centaines de milliers de personnes est une «arme» et une «monnaie d’échange politique » utilisé par les voisins de l’UE qui veulent nuire au continent, avait alors déclaré M. Tusk, parlant même de « guerre hybride ».
Le 4 Septembre, le président du Conseil de l’UE a déclaré que la capacité d’accueil de l’Europe est presque atteinte. Le mardi 13 Septembre, Donald Tusk a visité Budapest afin de trouver des alliés dans un combat qui semble bien être désormais le sien également.
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Mais elles sont déjà protégées par Frontex Sté de sauvetage en mer et croisiériste depuis qu’elle va chercher les pépites sur les plages lybiennes.
Déjà que la libre circulation des personnes pose des problèmes immenses aux autochtone les plus vulnérables entre pays de l’UE, celle-ci a été une voie royale pour l’arrivée de migrants non-européens sur le continent. Des structures de contrôles minimales imposées par le non-état qu’est l’UE ont été une aubaine pour l’industrialisation de la migration (passeurs, faux-papiers, organisation de transferts, rackets, chantage). Quant on promeut la globalisation, il faut au minimum avoir une vision globale et non pas enfermée dans la luxueuse tour bruxelloise.
Sécuriser nos frontières de l’UE et continuer à blâmer la Hongrie ?
Divers accords vont être mis en place pour sécuriser les frontières extérieures de l’UE et la Confédération y participe. Fort à parier que cela ne fonctionnera pas, comme tout ce qu’entreprend l’UE!!
Dieu se rit des ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent (et dans ce cas, en sont responsables) les causes.
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C’est l’évidence-même: les frontières externes de l’Europe doivent être mieux protégées, les contrôles d’identité généralisés sur le territoire européen. Les illégaux doivent être arrêtés et expulsés. La détention administrative dans des établissements de transit doit être organisée sur le territoire européen. Enfin, toute aide au développement, d’urgence ou autre de l’UE doit être interrompue pour les Etats qui n’acceptent pas leurs ressortissants que nous expulsons!
Les responsables politiques doivent mettre en oeuvre ces mesures, sinon l’UE, l’Europe, ses peuples, sa culture, son économie vont s’effondrer et disparaître!
Tiens, serait-on au début d’un grand retournement de vestes ?
Quelle contradiction ! Sécuriser les frontières alors que l’Europe a mis en place un pont maritime pour aller les chercher… jamais ça ne se fera tant que cette EU existera, seul un recouvrement de la souveraineté de chaque pays et une remise en question de l’organisation des droits de l’homme, qui considère tout personne pauvre comme ayant le droit de rentrer en Europe, pourrait stopper cet afflux…