Il y a davantage de chômage chez les requérants en Suisse romande, comparativement aux statistiques sur le chômage des requérants outre-Sarine.
A Genève, seulement 8,9 % des requérants enregistrés travaillent. A Fribourg, 16,4 %. Au Tessin, 15,4 %.
Pour une part, le taux de chômage est plus élevé en Suisse Romande et au Tessin. Une autre raison, évoquée par Marcel Suter, président de l’association des services cantonaux de migration : « Les cantons romands sont plus généreux en matière d’aide sociale ».
La majorité ne travaillera JAMAIS.Pourquoi travailler quand l’aide sociale généreuse donne beaucoup plus de fric que les envahisseurs pouraient en gagner en travaillant dans leur pays d’origine!J’avais engagé un apprenti d’Ethiopie pour “offrir une chance ” comme on dit, mais j’ai été dans l’obligation de le virer! Il était trop assidu….au travail !
Moi qui croyait qu’on avait pénurie de médecins et ingénieurs , curieux.
Ces ouistitis viennent en Suisse POUR se mettre au social.
Nos ” programmes d’occupation” , ils n’en ont rien à foutre.
D’ailleurs, la presse se focalise toujours sur ceux qui s’y inscrivent, mais occulte les milliers qui ne foutent rien.
C’est comme dans l’hebdomadaire de la Migros ou celui de la Coop qui, à chaque fois qu’ils interviewent un travailleur de l’ombre, tombent COMME PAR HASARD toujours sur le Somalien ou l’Ougandais de service.
Ben voyons, c’est bien plus confortable de se faire entretenir que de travailler. Si vous vivez de votre travail, il n’y a que des inconvénients, les impôts et la caisse-maladie à payer, la fatigue, parfois des responsabilités, un horaire à respecter, quelle horreur. Et les milliers de fonctionnaires du social, on va les mettre où si les requérants devaient travailler ?