Le Parti bourgeois démocratique (PBD) a déposé une initiative afin que le nombre de signatures requises pour ce faire soit réajusté à la taille du corps électoral, a indiqué mardi son président, Martin Landolt, sur les ondes de la RTS. «On a trop de votations actuellement, c'est trop pour les électeurs, pour le Parlement, le Conseil fédéral, l'administration, les partis politiques, les comités. On ne fait pas grand-chose d'autre que des campagnes pour des votations, ce n'est pas une politique raisonnable», critique-t-il.
Il préconise ainsi un taux de 3% (150'000 paraphes) et 5% (250'000 paraphes). Alors qu'aujourd'hui, 100'000 signatures sont nécessaires pour lancer une initiative.
Quand on décortique les votations et les thèmes soumis en votation, on remarque que la surcharge d’initiatives est tout simplement due à la mauvaise foi des socialo-fascistes qui lancent des initiatives démago-populistes d’avance, juste pour pouvoir les avoir sous la main, et les faire dispatcher au bon moment par leurs petits copains du C.F. afin de rameuter les idiots utiles et contrer les précédentes initiatives à succès qui émanent comme par hasard de l’Udc. Une sorte de stratégie de la terre brûlée et du suicide collectif de la notion même de démocratie d’où cette qualité fascisante. L’exemple le plus flagrant est “le revenu de base inconditionnel” couplé à “Pour un financement équitable des transports” re-couplé à la “Modification de la loi sur l’asile (LAsi)”. A l’évidence les 2 premières initiatives étaient là pour ratisser large et rameuter tous les idiots utiles du système socialo-fasciste et faire de la Modification de la loi sur l’asile (LAsi) un succès dans le but évident de ne pas appliquer les précédentes initiatives à succès de l’UDC. Vous avez-là deux initiatives qui soutiennent abusivement la 3ème et qui sont sataniquement soumises au vote dans le même temps.
Ceci démontre que chaque parti ne devrait pas être autorisé à proposer plus d’une seule initiative pour la date d’une votation. Mais comme on connaît bien les méthodes des complotistes qui baignent la Berne fédérale et les originalités politiques de ces partis, toutes factices, on peut compter sur le PDC, le PBD etc. pour servir la soupe au PS et détourner les conditions de telles restrictions. La multiplication des partis ressemble bien à cette stratégie d’associations multiples qui donnent des ordres lors des votations, alors qu’elles émanent des partis déjà parties prenantes. Elles viennent parasiter artificiellement les votations, pour ratisser encore une fois les voix des idiots utiles à la négation de toute notion démocratique. Par exemple les listes « ainés », « jeunes », « étudiants », « cyclistes » etc. qui en plus puisent des subventions offertes par des partis qui les soutiennent pour mieux tromper les électeurs. Ce sont donc ces artifices de listes, d’associations, de syndicats qui fabriquent aussi des initiatives qu’il faudrait élaguer.
Quand on ne sait plus que dire……ben on repeint la façade!
Tout arrive! Pour une fois – la seule jusqu’à présent – je suis d’accord avec M. Landolt. Quelques initiatives auraient pu être évitées sans nuire aux droits populaires.
Le PBD n’est pas un parti, tout au plus un club…
Ce groupuscule de centre-gauche existe encore ?
Totalement à côté de la plaque, le PBD ! Cela ne gênera pas les grands partis mais pénalisera les petits. Quant aux initiatives “inutiles”, il n’y a qu’à les soumettre au peuple sans délai et sans contre-projet. Avec ce projet, le PBD tente de sortir de l’oubli et rappeler aux gens qu’il existe !