Par Madjid Zerrouky
[...]
L’assassinat d’un prêtre, mardi 26 juillet, à Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), lors d’une prise d’otages réalisée par deux hommes, a été revendiqué par l’organisation Etat islamique (EI). Celle-ci ne fait ainsi qu’assouvir, après plusieurs échecs, le désir de s’en prendre à des églises en France, pays qu’elle qualifie de « royaume de la croix » : deux attentats avaient été déjoués en 2015 contre deux églises de Villejuif (Val-de-Marne) et la basilique du Sacré-Cœur (Paris), cibles de Sid-Ahmed Ghlam, arrêté le 19 avril 2015.
« Essaie de trouver une église avec du monde », lui avait alors écrit un commanditaire pour l’instant inconnu. Ce meurtre s’inscrit dans la stratégie et la propagande du groupe, qui fait du choc et de la guerre contre les « croisés » l’un des marqueurs de son identité. Non content d’avoir éradiqué la présence chrétienne dans les territoires qu’il contrôle – à commencer par la plaine de Ninive, en Irak, un berceau du christianisme –, l’EI a toujours symboliquement présenté son combat contre l’Occident comme une guerre religieuse, en plus de celle qu’il mène contre l’islam chiite.
[…]
Fragiliser les sociétés occidentales
Mais derrière l’idée de « terroriser » les populations ennemies et de déstabiliser leurs Etats apparaît aussi, pour ce qui est des attentats en France, ou encore de ceux commis en Allemagne, la volonté de frapper des pays abritant une forte proportion de musulmans dans le but de fragiliser ces sociétés et d’y détruire toute coexistence religieuse.
[…]
Article complet : lemonde.fr
Les Croisés contre les Ratés.
Ces passéistes en sont encore à l’époque des Croisades, qui étaient des contre-attaques aux invasions musulmanes. Si Hussein Obama n’était pas des leurs, puisque les USA ont fortement contribué à la création de l’EI, il détournerait les troupes de l’OTAN installées à la frontière russe pour aller exterminer une bonne fois pour toutes ce cancer de la planète, avec l’aide de la Russie et de la Chine, et en écrabouillant Erdogan et son régime au passage.