Vaud: Loyers, écoles, intégration… les communes peinent sous la pression financière de l’asile

«On veut bien faire notre part, mais on ne veut pas être péjorés!» Pour le syndic de Bex, Pierre Rochat, il existe actuellement une injustice envers certaines communes vaudoises qui accueillent, proportionnellement à leur population, un grand nombre de migrants. En cause? Les subventions pour l’intégration scolaire des enfants de migrants. Ces 4000 francs par année et par élève sont attribués aux communes, pour les enfants accueillis dans le giron de l’Etablissement Vaudois d’accueil des migrants (EVAM). Rien n’est prévu en revanche pour ceux dont les parents ont obtenu l’asile, mais restent suivis par le Centre social d’intégration des réfugiés (CSIR).

«A Bex, cela représente une quarantaine d’élèves, soit presque trois classes supplémentaires, détaille le syndic. Il est vrai que notre commune, comme d’autres aux extrémités du Canton, a encore suffisamment de biens à disposition, à des loyers raisonnables. C’est pourquoi le CSIR les loue pour y placer des réfugiés statutaires (ndlr: ayant obtenu un droit d’asile).

Source et article complet

2 commentaires

  1. Posté par pépé le moko le

    Il y a un moment ou un syndic doit regarder aux intérêts de ses administrés et dire Stop !
    Au risque d’être démis de ses fonctions, d’autres suivraient !

  2. Posté par bigjames le

    Faire sa part, ça veut dire quoi ?
    Imposer à la population, incivilités, insécurité, coûts démesurés.
    Imposer le grand remplacement au détriment des autochtones.
    Se sentir étranger dans son propre pays.
    J’appelle pas ça faire sa part. j’appelle ça trahir ses compatriotes.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.