Arbres arrachés, traces de sang recouvertes de sable… Ce samedi, au lendemain d’une rixe particulièrement violente survenue dans la nuit, sur le camp qui réunit quelques 350 réfugiés sur l’esplanade Nathalie-Sarraute (XVIIIe), les riverains ont le tournis.
Il était un peu plus de 23 heures, vendredi, lorsque des dizaines d’hommes armés de branches et de barres de fer se sont affrontés. Un véritable déluge de coups, ponctué de hurlements, qui a mis en émoi le quartier Pajol, confronté depuis neuf jours à la nouvelle installation sauvage d’un campement où se sont regroupés Soudanais, Erythréens et Afghans.
« C’était effrayant, confie un riverain. Les groupes se sont poursuivis jusqu’à l’un des restaurants de la halle Pajol dont la terrasse était bondée. Les gens ont dû se réfugier dans l’établissement. L’émeute n’a cessé qu’à l’arrivée de la police qui a dû user de lacrymogènes ».
Déjà théâtre de l’installation d’un camp l’été dernier, l’esplanade, avec ses commerce et sa médiathèque – fermée depuis une semaine -, vit de plus en plus mal la situation. Et les tensions entre réfugiés afghans et soudanais pour le contrôle du campement seraient de plus en plus vives. « Qu’attendent les pouvoirs publics pour mettre ces personnes à l’abri ? s’inquiète un couple de riverains de la rue Pajol. Qu’il y ait un mort ? »
Mais qu’on m’explique une fois pour toutes en quoi je dois considérer mon existence comme étant enrichie au quotidien par la présence de cette populace!
Je passe comme chat sur braise sur l’origine géographique et religieuse des protagonistes de cette rixe, de crainte de me voir taxé de raciste, de rétrograde ou de néo-nazi!
Qui peut encore croire que ces clandestins sont des réfugiés de zones de conflit? Ils importent toutes leurs pathologies dans nos pays – en particulier la violence – contre notre volonté, à nos dépens, à notre détriment et pour notre malheur.
Ne pas parler de Réfugiés, ils n’ont peut-être pas la carte d’identité spécifique aux réfugiés. mais il est vrai que cela est plus politiquement correct que de dire “clandestins” ou étrangers originaires de tel ou tel pays !!! On ne peut plus accueillir tous les peuples qui fuient leurs pays, si c’est pour les laisser vivre dans la rue, autant donner de l’argent pour déjà sortir nos SDF de la rue avant de l’occuper des étrangers.
Du moment qu’ils se battent ou se tuent entre eux, mon sommeil est épargné d’une nuit…..
Mettre ces personnes à l’abri ou mettre la population à l’abri?
Merci le vivre ensemble !!!