Du Tea Party à Donald Trump, l’Amérique à la reconquête d’elle-même.
Olivier Pichon reçoit Evelyne Joslain, universitaire, journaliste et écrivain. Tea party (Ed.Picollec 2012), Obama, De la déconstruction de la démocratie en Amérique (Ed Les Quatre vérités 2009), à paraître chez le même éditeur : Trump pour le meilleur et pour le pire.
Première Partie : Genèse du phénomène Trump.
– Tea party, l’Amérique veut retrouver ses libertés.
– Comprendre les méfaits de la politique d’Obama.
– A l’origine un coup de « gueule médiatique » 1er février 2009 sur CNBC le journaliste RICK Santelli, interpelle le président Obama sur une nouvelle rallonge budgétaire
– Obama imposé par les caciques du parti démocrate, corruption du système des super délégués, l’ultra gauche domine.
– Le GOP (parti républicain) ses élites n’écoutent pas les electeurs.RINO : Republican In Name Only.
– Trump contre les oligarques de Washington.Deuxième partie ; qui sont les électeurs du Tea party et de Trump ?
– La classe politico journalistes les traite de « red- necks », des beaufs des ploucs, comme en Europe, le populisme méprisé.
– Une réfutation : des ouvriers, des chômeurs mais aussi des intellectuels, des cadres, des femmes.
– Un antiféminisme conservateur, portraits de femmes du Tea party
– Un programme, la lutte contre l’immigration clandestine et l’infiltration islamique des cercles de Washington.
– Manifestations pacifiques dans l’ordre et la propreté, le contraire des mouvements de l’ultra gauche style Occupy Wall Street -France : Nuit Debout coqueluche des médias.
– La presse aux ordres du système, les universités contrôlées par l’ultra gauche héritière de Berkeley, la parole confisquée domination du PC. (Politicaly correctness)
– Reconquérir les libertés et notamment les libertés fédérales ne suffit pas pour Trump, c’est l’Amérique qu’il faut reconquérir, sa langue, ses frontières, sa sécurité nationale.
– Une guerre culturelle, contre l’absurdité des lois anti discrimination.Troisième partie, perspectives pour les élections de novembre 2016
– Trump va-t-il changer la donne d’une élection présidentielle où à peine 50 % des citoyens votaient ?
– La reconquête des mots, le vocabulaire de Trump.
– Le refus d’être aimable variante du PC, comme en Europe où les élites émasculées se couchent devant l’adversité.
– Compte tenu des difficultés économiques, l’Etat providence doit être réformé avec prudence selon Trump.
– Trump et la politique étrangère, l’Otan, le TAFTA, isolationnisme ? Trump n’est pas un idéologue il est réaliste et tient compte du contexte.Conclusion : Trump pour le meilleur peut-être mais assurément le seul capable de vaincre le couple infernal des Clinton.
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