L’AfD, c’est ce parti désormais crédité de 12 à 14 % des intentions de vote et devenu la nouvelle bête noire de nos amis journalistes.
La Hofbräukeller, située à quelques minutes du Maximilianeum (le Parlement de Bavière) et fondée en 1892 à Munich, est une des brasseries les plus connues de la capitale bavaroise.
Le 16 octobre 1919, ce lieu rentrera dans l’Histoire pour avoir accueilli un certain Adolf Hitler qui y tint son premier discours politique, point de départ de sa funeste ascension.
Or, voilà que cette brasserie fut tout récemment choisie par le parti populiste Alternative für Deutschland (AfD), afin d’accueillir un de leurs meetings, le vendredi 13 mai dernier. Aïe!
L’AfD, c’est ce parti politique si cher à Angela, désormais crédité de 12 à 14 % des intentions de vote et devenu, depuis le séisme politique survenu le 13 mars dernier lors des élections régionales en Rhénanie-Palatinat, Saxe-Anhalt et dans le Bade-Wurtemberg, la troisième force politique du pays et (nul n’ose en douter) la nouvelle bête noire de nos amis journalistes dont l’impartialité doit toujours être saluée avec le plus grand respect…
Ne leur en déplaise, le dernier congrès du parti, qui se tenait à Stuttgart le week-end du 1er mai, a rassemblé pas moins de 2.400 personnes et son ascension n’a pas fini de faire grincer les dents des bien-pensants. Le parti, dirigé de main de maître par la « Superweib » Frauke Petry et Jörg Meuthen et dont la création remonte à 2013 dans la capitale allemande, peut déjà s’enorgueillir de deux députés élus au Parlement européen (Beatrix von Storch et Marcus Pretzell), 21.923 membres (chiffre connu au 22 avril 2016) et d’une représentation dans les 16 Bundesländer que compte l’Allemagne.
Alors, quelle fut la raison invoquée par le gérant de cette légendaire brasserie munichoise, Ricky Steinberg, pour ne pas accueillir en son sein ce parti, véritable porteur d’espoir pour ces Allemands totalement dépassés par la vague migratoire que la bonne vieille Union européenne leur impose? C’est cette phrase, que Frauke Petry eut l’outrecuidance de prononcer, à savoir : « L’islam ne fait pas partie de l’Allemagne », à l’issue du congrès de Stuttgart. Tollé général, cela ne se peut!
Ainsi, M. Steinberg eut à dire que cette phrase pouvait mener à de fortes protestations en marge du rassemblement de l’AfD. Et alors, la belle affaire!
M. Steinberg prétexta encore que, pour des raisons d’ordre sécuritaire, il était en droit d’annuler la tenue de cet événement en son établissement… Manque de chance pour lui, le parti s’étant déjà acquitté d’un acompte de 6.100 euros, la Cour de Munich rendit son verdict jeudi dernier, en laissant le droit au parti de Frauke Petry d’y tenir son meeting vendredi dernier.
Allez, Ricky, sans rancune !
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Extrait de: Source et auteur
À petitjean @
Si la situation continue à empirer, ( pardon! À s’améliorer , disent les droit de l’hommistes! ) , le score de ce parti augmentera en flèche !
Entre les opinions énoncées dans les sondages de rue, et la réalité de l’isoloir électoral,…
Le pleuple allemand doit apprendre :
1) la déculpabilisation
2) la déculpabilisation
3) la déculpabilisation
La déculpabilisation historique , la nouvelle génération n’étant pas responsable des énormes erreurs et du genocide des Juifs mais toute réserve de mémoire pour éviter de tels drames
La déculpabilisation chrétienne qui en aucun cas devrait un devoir d’aider un prochain qui vient en Europe (pour une partie) pour tuer,violer et agresser.
Grand temps de se libérer de ces chaînes
La vérité vous rendra libre
le score de l’AfD est ridicule compte tenu de l’invasion migratoire que subissent les allemands !
j’ai l’impression que ce peuple allemand est aussi lobotomisé que les autres peuples d’Europe de l’ouest
En Allemagne également : soutien trop fréquent des politiques et médias aux destructeurs hyperviolents de la gauche. Tous les moyens sont bons, destruction sociale, menaces, agressions physiques, voitures en flammes, bureaux de l’AfD détruits, collabos/hôteliers craintifs refusant de mettre à disposition leurs locaux pour les réunions. L’affaire indique que le combat n’est pas vain.