Événement presque passé inaperçu (sauf pour les lecteurs d’EuroLibertés et de Riposte laïque), ces derniers jours, que celui de la signature de la Charte constitutive du premier mouvement politique identitaire européen : « Forteresse Europe ». Le 13 mai dernier, dans l’enceinte du Parlement de Prague, des représentants de la Tchéquie, l’Estonie, l’Espagne, l’Italie, le Danemark, l’Autriche, la Hongrie, la Bulgarie, l’Irlande, la Grande-Bretagne, la Pologne, l’Allemagne… et la France (sans compter un représentant de l’Australie) étaient réunis autour de Tatjana Festerling, porte-parole de « Pegida ».
Sur le ton martial d’une mobilisation générale pour sauver la vieille maison Europe, cette Déclaration de Prague (cliquez ici) prône l’avènement d’une Europe des nations et le droit pour chaque peuple européen d’être, chez lui, maître de ses choix.
Le lundi de Pentecôte, cette fois-ci à Dresde, au pied de la rutilante statue du Cavalier d’Or, monument emblématique de la ville, devant plus de 3 000 personnes arborant drapeaux nationaux et autres étendards noirs et jaunes frappés du lambda grec (insigne et couleurs des identitaires européens), ce mouvement paneuropéen de lutte contre le Grand Remplacement fut porté officiellement sur les fonts baptismaux. Festerling en appela à la constitution d’« un esprit de corps européen », tout en exhortant « les Européens unis à combattre ensemble pour la préservation du continent » face à la « menace d’une migration de masse globale. »
Par la voix du SIEL (Souveraineté, Identités et Libertés), seul parti identitaire et patriotique français présent ce jour-là, son président, Karim Ouchikh, déclarait ne pas croire « au déterminisme en Histoire. Les hommes peuvent toujours modifier le cours des choses, dès lors que la volonté politique est au rendez-vous. Pour conjurer le chaos migratoire, l’Europe doit se réarmer politiquement, moralement et spirituellement ». Propos que n’aurait certainement pas désavoué un Dominique Venner qui bien qu’ayant constaté que l’Europe fût « en dormition », n’en considérait pas moins que l’Histoire était « imprévisible »
Que « Forteresse Europe » ait été consacré à Dresde ne tient aucunement à un caprice du hasard, la cité martyr ayant vu éclore, en octobre 2014, « Les Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident » (« Patriotische Europäer gegen die Islamisierung des Abendlandes », soit, en abrégé, « Pegida »). Depuis cette date, chaque lundi, quelques milliers de patriotes allemands prennent pacifiquement possession du centre-ville de Dresde et manifestent leur refus du tsunami migratoire et de sa conséquence mécanique, l’islamisation de l’Europe. Le 6 février dernier fut même déclaré « Fortress Europe’s Day » par « Pegida » qui lançait, à travers toute l’Europe (dont la France où le général Piquemal fut arrêté à Calais), des « marches anti-islamisation ».
Nullement fortuite, elle aussi, la dénomination « Forteresse Europe » est significativement parlante, les médias « mainstream » l’employant de manière foncièrement dépréciative à l’encontre de pays comme la Hongrie ou le Danemark qui traduisent en actes concrets (fermeture de frontières, érection de murs…) leur hostilité à ces vagues continues de populations allogènes, armées d’invasion pacifiques complaisamment encouragées par les élites européistes de Bruxelles.
Dans ce qui restera, pour la postérité, comme le « Discours de Dresde », Karim Ouchikh jetait, dans une intention refondatrice, les bases d’une authentique réconciliation franco-allemande nouée sur l’essentiel : la sauvegarde de notre héritage européen reçu indivis, comme la défense corrélative des nations issues des lentes maturations de l’Histoire. Pour ce faire, précisait-il, « l’Allemagne doit se réconcilier avec elle-même, comme la France doit également savoir le faire avec son héritage colonial, pour faire de l’amitié franco-allemande ce carburant irremplaçable qui fera avancer l’Europe des Nations de manière décisive. »
De Poitiers à Lépante en passant par la « Reconquista » (même si, entre-temps, l’on y perdit Byzance), l’identité européenne s’est forgée autant sur un substrat spirituel commun qu’en opposition aux velléités conquérantes des cimeterres mahométans. Et n’oublions pas non plus que la France et l’Allemagne jaillirent à la pleine conscience d’elles-mêmes un jour brumeux de février 842, lorsque Charles le Chauve et Louis le Germanique s’échangèrent, en leurs langues respectives, les Serments de Strasbourg.
En d’autres termes, incessamment se rappeler que notre longue mémoire primordiale constitue les contreforts culturels et civilisationnels de notre forteresse européenne.
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Extrait de: Source et auteur
C’est Erdogan qui nous a déclaré le djihad (=la guerre) et qui nous envoie des millions de mahométans pour nous envahir, et qui fournit secrètement ses milliers d’imams en armes et munitions pour la nuit de cristal qui viendra. Pas d’autre choix que de tirer sur les envahisseurs, sinon ils finiront par nous massacrer, car Mahomet leur a ordonné de massacrer tous les chrétiens. Sinon il faudrait interdire l’islam et surtout la Sharia en Europe, et envoyer tous ces mahométans au catéchisme pour en faire des catholiques, des protestants, des orthodoxes ou toute autre religion pacifiste.
https://addisabram.wordpress.com/2016/05/04/war-on-christians-four-orthodox-churches-burn-all-on-orthodox-easter/
Googlez: “669+ million non-muslims” massacred
Vous voulez vraiment être les suivants?
Tous les discours ne serviront à rien. Comme l’a bien dit Poutine concernant l’immigration-invasion actuelle, de deux choses l’une : soit stopper net – au besoin par la force – les nouveaux venus à l’extérieur de l’Europe, soit les laisser entrer et l’Europe deviendra vite un véritable enfer. Les attentats sont des signes précurseurs. Les arrivants sont encore plus violents et déterminés. Ils agiront un peu partout le moment venu. L’enfer ne fait que commencer.
Si les p’tits Suisses sont acceptés, j’adhère immédiatement !
@Vautrin
Je regarde pour ces autollants 😉
SI, si, nous avons été quelques uns à regarder la retransmission des discours.
Je propose que nous éditions une série d’étiquettes autocollantes “Festung Europa / Forteresse Europe” avec le logo.