17/05/16 Près de 500 étrangers chassés de leur domicile par des habitants de Mayotte ce week-end ont passé dehors les nuits de dimanche et hier, ont indiqué aujourd’hui des associations tentant de les reloger. Depuis dimanche, la place de la République de Mamoudzou, chef-lieu de l’île, est occupée par des centaines de familles, la plupart […]
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En effet, j’ai reçu directement des nouvelles de Mayotte signalant que des Mahorais ont démonté des cabanes édifiées par des illégaux venus des autres îles de l’archipel. Mon contact précisait bien qu’il ne s’agissait pas de “domiciles” au sens propre du terme, mais de paillotes genre bidonville. Les idiots utiles des “associations” ont tout intérêt à parler de “domicile”, cela va de soi puisqu’ils sont sur le terrain de la propagande larmoyante.
On comprend la colère légitime et l’action des mahorais : la jungle abrite quelque deux-cent mille clandestins qui pillent. L’insécurité à Mamoudzou est permanente, les cambriolages font partie de la routine quotidienne, au point que nombre d'”expats” quittent l’île. Naturellement, les “autorités” sont débordées, comme elles le sont en métropole dans certains quartiers.
Les mahorais, ainsi que le signale Peyhem Veys, font eux-mêmes ce que la gouvernance ne fait pas par idéologie. C’est un exemple à suivre : quand l’État n’exécute lus ses rôles régaliens, c’est aux citoyens de s’y substituer.
Ce que les gouvernants ne font pas, la rue finit par le faire. Tout simple, et tellement évident….
Autre forme de bon sens !