EUROPE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : C’est un phénomène à l’échelle européenne, pourtant massif, sur lequel les médias du système sont curieusement peu loquaces : le « white flight » ou fuite des Blancs. Les classes moyennes blanches quittent un quartier lorsque celui-ci connaît un afflux de populations immigrées. En clair : au‑delà d’un certain seuil, l’immigration provoque brutalement le départ des Blancs.
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Au moins les noirs au USA ont coupé le cordon ombilical depuis des centaines d’années avec l’Afrique, christianisés, plus ou moins intégrés ! Chez nous, l’Afrique est beaucoup trop proche et en plus il y a toujours de nouveaux arrivants, ce qui fait que ceux qui sont là depuis à peine plus longtemps ne s’intègrent jamais vraiment… ils forment des communautés. Les clés pour une bonne intégration sont : 1) le nombre d’étrangers venant d’un même pays doit être minime 2) la proximité avec ce pays d’origine. Moins ils sont, plus ils viendront à nous, s’intégrer. Plus ils sont, plus ils resteront entre eux et formeront des cercles. CQFD
A Sophie@
C’est pareil lorsque je me rends en Suisse alémanique, on n’y rencontre que des gens parlant allemand, ou alors des étrangers parfaitement intégrés.
À Lausanne par contre, lorsqu’on descend du train, on nous fait comprendre qu’on doit raser les murs et ne surtout pas offusquer ceux qui ont quitté leur pays pour venir nous enrichir.
Dans la gare de cette ville, les marchands de perruques africaines et de légumes nauséabonds ont remplacé les commerces d’antan.
Je m’étonne d’ailleurs que ce continent ne propose rien d’autre que des perruques, des tresses, ou des produits à blanchir la peau. Au fait, pourquoi cherchent-ils à nous ressembler?
pourquoi fuir on n’est pas capable de résister un tant soit peu non ?
il y a toujours 3 possibilités qui s’offrent à nous : FUIR – SE RESIGNER – FAIRE FACE
il y a aussi l’autre qui est d’attaquer et d’intimider en premier
et l’autre qui serait de NE PLUS PAYER D’IMPOTS !
C’est bête mais ce week-end en Italie j’ai trouvé cela formidable que tous les gens que je croisais parlaient italien en-dehors des touristes. Dans le canton de Neuchâtel, parler français est une denrée rare, et nous ne sommes pas le seul canton touché… bientôt nos différents accents ne seront plus qu’un lointain souvenir….
Le commentaire de Vautrin est fort intéressant. Il a raison. Il faut laisser les villes aux racailles, car cela permettra de mieux les contrôler.
D’autre part, cet exode de la population blanche (et chrétienne) fait penser à ce qui s’est passé dans beaucoup de quartiers et de villes aux Etats-Unis.
C’est bien triste tout ça. Il est vrai qu’entre Lausanne et Genève, c’est pas triste l’évolution.
Ce n’est pas nouveau. Enfant, dans les années 1970, j’habitais un locatif à Romont. Un trentaine d’appartements, en majorité loué par des Suisses. Puis, 2 familles d’Espagnols sont venues, aucun problème. Puis une autre, puis une autre et ainsi de suite. En l’espace de 5 ans, ce qui était un locatif où les enfants s’entendaient très bien, où les parents faisaient régulièrement la fête jusqu’à pas d’heure sur le gazon en été, est devenu un locatif où l’on parlait espagnol, où les nouveaux arrivants ne sont jamais venus boire un verre avec les anciens. Résultat, en 5 ans, quasiment tous les Suisses avaient quitté ce locatif plus du tout convivial. Pourquoi en irait-il autrement avec un quartier, une ville ?
Bien sûr, il fallait “les” empêcher d’entrer. Mais à cause de la traîtrise des castes -et de la passivité des citoyens, il faut bien le reconnaître- “ils” sont là, et occasionnent des nuisances qui rendent leur voisinage insupportable.
Au fond, il n’est pas mauvais que les autochtones quittent les villes. La ville n’est certainement pas le nec plus ultra du bien-être, d’une part, et d’autre part les villes sont cernées par les campagnes. Donc l’envahisseur urbain peut être cerné, assiégé. On peut lui couper les vivres et l’amener à résipiscence sans avoir à mener de meurtriers combats de rues.
Fuir les carpetbaggers musulmans n’est pas une solution. Il faut les empêcher de venir, et ensuite les renvoyer chez eux. Ca ne sera possible que lorsque Donald Trump aura remplacé le dangereux islamiste obama. Ce qui veut dire dans très peu de temps !
A Piche@
Ça, c’est hélas bien vrai. Je n’ai jamais habité Lausanne, j’y ai par contre étudié et bossé jusqu’à la retraite.
A part Chailly, Sous-Gare, Montchoisi, Mousquines, Georgette ou la Cité, on a l’impression de vivre dans le Tiers- Monde( Pardon! ! Dans des pays EN VOIE de développement! )
L’autre jour, j’ai passé 15 minutes à la jonction Boston / Echallens.
J’y ai dénombré une centaine de passants, dont une bonne moitié, et ce n’est PAS EXAGERE, de migrants, réfugiés et autres. Lausanne et Calais, même combat!
En effet , l’époque où l’on croisait des notables à Lausanne, faisant leurs courses, cornet Migros à la main….
Keith Emerson, Gina Lollobrigida, Nicolas Sarkozy, Mick Jagger…
Une amie Française qui a habité Lausanne dans sa jeunesse est revenue récemment… elle n’a plus reconnu sa ville et a pleuré….
une immigration subie a défiguré la ville…
vive les verts-écolos, socialos gauchos…
C’est un phénomène normal quand on accueille sans limite , sans condition d’intégration , de travail, d’éducation etc…des populations non européennes si différentes et si problématiques.
Dans les années 1990 j’ai vu partir les derniers Français de St Denis, de la Courneuve etc…
Le grand remplacement est en cours en Europe, facilité, organisé par nos propres élites adeptes du multiculturalisme, du métissage forcé pour une société “moderne” et “nouvelle”.
Les immigrants arabo-africano-musulmans de part leur natalité explosive changent rapidement le visage et l’environnement de tous les quartiers où ils s’installent…
Nous allons devenir comme les USA… allez voir les villes Américaines qui étaient blanches il y 30/40 ans ( Jacksonville, Washington etc…). C’est des villes ghettos où la population noire vit entre elle …plus un blanc. Les blancs , devant l’avancée de quartier en quartier de la population noire ont été obligé de partir vivre à la campagne dans des quartiers pavillonnaires sécurisés. C’est incroyable que cela passe sous silence, que personne ne veuille comprendre ce processus, même si ça coûte des milliards aux populations blanches qui fuient leurs quartiers dégradés pour aller s’endetter à nouveau dans des quartiers protégés loin des villes.
Je crains que ce processus n’arrivent chez nous car il est déjà bien avancé.
Lausanne la ville où il faisait bon vivre, ou David Bowie venait au marché de la Pallu au milieu des familles et des étals. Ça s’était avant. Il y a 30 ans. Il n’aura fallut que 30 année pour que cette ville devienne un repaire de cas sociaux, dealers et autre pseudo réfugiés. Lausanne la ville où les blancs sont minoritaires entre Montetan et St François, à malley, à la borde, la bourdo.. etc…
Merci la gauche pour tout ça !
Il y a des exceptions ! Par exemple Lausanne, ville défigurée, où cette “fuite” ne peut pas s’accélérer puisque tous ceux qui en ont les moyens sont déjà partis depuis longtemps 😛