L’Allemagne face à l’intégration économique des réfugiés

Dans un atelier de formation pour les migrants, à Berlin. / Tobias Schwarz/AFP

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Les réfugiés sont-ils une chance pour l’économie allemande ? La question interpelle plus que jamais la classe politique, les milieux économiques mais aussi la population qui, pour une partie, s’inquiète des conséquences de l’arrivée l’an dernier de 1,1 million de candidats à l’asile.

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4 commentaires

  1. Posté par Bussy le

    Regardez l’âge des formateurs…. l’Allemagne remplace le travail des enfants par des migrants, encore plus mal payés… et effectivement ces derniers ne travailleront pas longtemps préférant pomper des allocs !
    L’Allemagne préfère importer des esclaves plutôt que de robotiser !

  2. Posté par sophie edouard le

    Mais vous pensez vraiment que ces gens pourront trouver un travail ? Gagner une misère et travailler 9h00 par jour pour ceux qui n’ont aucune qualification au lieu de se faire entretenir ??? Pour ceux qualifiés c’est tellement minime et en plus la barrière de la langue est un gros problème… vraiment qui a pu penser une seconde que c’était une aubaine pour l’Europe, peut-être dans un pays sous développé manquant de main d’oeuvre mais là encore, pas de bol, car les pays sous développés ont une natalité trop forte…. L’Europe a déjà voulu mettre ensemble des pays n’ayant pas la même économie ce qui a conduit à la faillite de la moitié des pays européens, maintenant on nous injecte une population n’ayant pas le même niveau d’éducation…. on devine déjà le résultat…..

  3. Posté par Gaël le

    Ceux qui sont vraiment qualifiés, allez 10% d’entre eux, seront facilement intégrable au monde du travail. Mais les autres ???????
    C’est quand même des salopards, parce qu’il y a officiellement 3 millions de chômeurs + les autres, parce qu’ils comptent comme aux US. Tu fais 1 heure de travail dans le mois et tu sors de la stats du mois en question. Mais réellement, il y a 5 millions de gens qui cherchent du travail.
    Et nous avoir rabâché que c’était des gens qualifiés, voire très qualifiés, fallait oser et c’est nous traiter de sous-développé. D’ailleurs, les industriels le disent, ils viennent en Suisse et Allemagne, parce que la main d’oeuvre y est très qualifiée, mais surtout en Suisse pour le régime fiscal et la loi sur le travail très flexible.

  4. Posté par Tommy le

    Observez le panneau” Fluechtling ist kein Beruf “!
    Eh bien si, pour la grande majorité de ces envahisseurs, le statut de réfugié est une fin en soi et l’assurance d’une prise en charge étatique pour l’éternité.
    Totalement sous-qualifiés, ces types touchent de toute façon plus en glandant qu’en ” travaillant”.
    Cela ce sait jusque dans leur pays d’origine.
    De plus, cette ” chance” à bonnet pourrait aussi faire preuve de courtoisie en se découvrant.

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