Tensions dans un centre d’accueil pour clandestins : les migrants à Tradate, province de Varese, dans le nord de la Lombardie, ont chassé les volontaires de la structure, empêché la croix-rouge de rentrer et bloqué la circulation, la semaine dernière. Le chaos dans et en-dehors du centre.
Italie- « Les immigrés dictent la loi et on ne peut plus rien faire autrement tu es raciste. »
il est temps que l on jette a l eau tous ses immigrets et toute les personnes qui les defendes ainsi que toute ces associations qui son juste bonne a foutre la pagaille dans notre pays la FRANCE je pense que toute cette racaille venue d aileurs et raciste elle et juste la pour nous detruire qu il creve tous et qu il nous foute la paix
J’ espérais que nos bons amis Helvètes avaient pu éviter les con. . . . françaises ! ! Hélas ,il n’en est rien ! ! Battez-vous ! GRANDSON ! GRANDSON ! !
Quand je me promène en Suisse, je me dis que la Suisse n’est plus la Suisse que j’ai connue. On s’est fait bouffé par les romands socialos. Je n’ose imaginer la Suisse – L’Europe avant 10 ans. Je me rends très bien compte que le Suisse n’a plus aucun droit vis à vis des étrangers. Tout cela va mal finir.
Je dirais que sur le bassin lémanique, cela fait une quinzaine d’années que vous êtes un raciste ou autres, si vous dites quelques choses sur les étrangers (immigrés, réfugiés, frontaliers). La sortie du livre de la journaliste française établie dans le canton de Vaud, à même fait dire au rédacteur en chef de 24h, Meyer, avec le titre, TOUS CEUX QUI DONNENT RAISON à MARIE MAURISSE, et que c’était nous qui avions un problème avec les français, et pas le contraire. C’est dommage que ce monsieur occulte l’essentiel. Il y a 30 ans, il y a avait quelques frontaliers et quelques français qui habitaient l’arc lémanique. Aujourd’hui, c’est 25% des emplois, voir plus sur Genève. C’est, selon la représentation française à Genève, plus de 50’000 qui habitent sur le canton de Genève, 160’000 sur la Suisse Romande, et c’est sans compter les autres étrangers résidents. Surtout que l’on peut constater qu’avec deux fois moins d’étrangers chez eux, l’ambiance y est détestable. Je n’ose pas imaginer comment cela sera quand ils arriveront à avoir plus de 25% d’étrangers chez eux.
On en a marre de ces chadocs qui savent tout, on tout fait, mais qui en plus nous font que du cheni comme qualité de travail (pas tous, surtout les français issus de l’immigration, secondo). Je me réjouis de voir dans 10-20 ans l’état de la construction sur l’arc lémanique. D’avance on va rigoler, surtout que sur les gros chantiers actuel, les problèmes arrivent même avant la mise en service.
Et je ne suis pas d’accord avec vous, ce n’est pas nous qui avons un problème avec les français, c’est eux, qui se croient en terrain conquis. Travaillez avec plusieurs d’entre eux, et vous comprendrez la réalité, alors je vous explique pas quand il y en a 20 sur 30 employés, comme cela arrive souvent sur Genève.
pour moi, le plus choquant avec les réfugiés. C’est que eux peuvent presque tous, se permettre de construire et avoir une maison chez eux. Ce que nous Suisse ne pouvons pas trop nous permettre. On est vraiment les dindons de la farce, si je puis dire.
Notre monde va se transformer en république bananière ,sale ,moche et violente, avec l’aval de la classe politique !!!! Grand merci à eux 🙁
Il faudrait pour cela que ces sauvages en goguette ne bénéficient pas impunément et à longueur de temps de la collaboration farouche et obstinée des merdias, des politiques et des journamerdeux…
Après un moment, on s’en fout de se faire traiter de racistes.
Comme le disait je ne sais plus qui, on ne demande jamais au vainqueur s’il a raison.
Certains sont traités de racistes. Ces derniers sont aussi traités de sales blancs. Puisque cette dernière insulte est considérée dorénavant comme politiquement acceptable, faisons pareil avec la première.
Et plus vous serez confus devant les revendications incessantes de ces enturbannés, plus vous baisserez la tête, ….ne vont cesser ni les insultes, ni les exigences de ces australopithèques attardés! Qu’on se le dise!