Le nombre de sans-papiers estimé à 76’000 en Suisse par la Confédération

La Suisse comptait 76'000 sans-papiers en 2015, selon une étude du Secrétariat d'Etat aux migrations publiée lundi. Une première estimation datant de 2005 parlait de 90'000 personnes.

La plupart des sans-papiers, soit les deux-tiers, sont venus en Suisse sans documents de voyage valables ou comme touristes, précise l'étude.

Un cinquième des cas est constitué de personnes qui n'ont pas quitté la Suisse après l’échéance du permis B ou C ou après le rejet d'une demande d’asile.

La plupart des personnes en situation irrégulière proviennent d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud, ainsi que d’Europe de l’Est et la majorité sont en Suisse depuis plusieurs années.

Près de 9 sur 10 travaillent

Environ 86% des sans-papiers adultes travaillent et sont financièrement indépendants, détaille le Secrétariat d'Etat aux migrations. La moitié de ces personnes sont employées dans des ménages privés. La construction et l'hôtellerie-restauration sont aussi des secteurs très concernés.

Les cantons comptant le plus de sans-papiers (plus de 8 pour mille habitants) sont Zurich (28'000), Genève (13'000), Vaud (12'000) et Bâle-Ville (4000).

 

Source : rts.ch

 

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Note de Cenator :

 

Personnellement, je ne crois pas une seconde à ces chiffres, pour la simple raison que, durant les dix dernières années, la grande majorité des requérants d’asile déboutés sont restés en Suisse.

Il se peut tout à fait que leur nombre soit supérieur à 76'000 rien que dans 2-3 cantons.

 

D’autre part, effectivement, des clandestins travaillent mais il faut voir dans quels secteurs.

Un nombre non négligeable « travaille » dans la drogue, dans d’autres formes d’activités criminelles comme les cambriolages, la prostitution, … et une minorité de femmes d’Amérique du Sud comme femmes de ménage.

 

Les villes romandes offrent gîte et couvert à cette population et une nuée d’associations et de services publics « pour migrants » leur viennent en aide pour leur offrir des cours de langue, des aides pour la scolarisation de leurs enfants, des soins médicaux gratuits, et même, dans certains cas, des subsides pour l’assurance maladie. C’est un business juteux aux frais des contribuables.

 

Jean Raspail a raison. Tant que la population ne se révoltera pas, la gangrène va continuer de nous ronger et le mal est déjà si avancé qu’il ne nous reste que peu de temps avant l’agonie.

L’expulsion manu militari de toute cette population d’illégaux, le retrait du droit d’asile aux parasites, suivi du blocage total de l’invasion musulmane, devrait devenir rapidement l’objectif n° 1 de toute personne souhaitant la survie de notre pays, et plus largement de notre civilisation.

Si nos lois nous empêchent d’agir pour nous défendre et si la possibilité de changer nos lois nous est supprimée, il nous faudra agir autrement.

4 commentaires

  1. Posté par Gaston Siebesiech le

    N’amalgons pas, étant donné que les statistiques sont une addition de chiffres faux et que de la poudre aux yeux qui nous est balancées selon besoin, pour mieux cacher le chaos chère à SS la socialiste qui nous a balancé sur la Une de la RTS aujourd’hui, “moi je sais, moi je sais”! Personne ne sait ou on en est, seul les impôts sont clairs et net. Bien sûr pour payer tout ce beau monde il faut du fric, beaucoup de fric et encore plus de fric pour payer les fonctionnaires, les OMG, l’industrie du social. La Suisse leurs doit tout, comment avons nous fait plus de 700 ans sans eux?

  2. Posté par Christian Hofer le

    J’ai un professeur dont les enfants travaillaient dans l’administration: les déboutés reçoivent toujours toujours toutes les allocations alors qu’ils devraient être expulsés.

    Et cela c’est un scandale qui est soigneusement caché par notre administration. Par la suite, on nous dit qu’il n’y a plus d’argent pour nos retraités, nos écoles ou nos subsides de caisse maladie.

    En clair, l’administration est désormais devenue une entité anti-Suisses (pour rappel, la ville de Lausanne a imposé l’accès à l’apprentissage aux enfants illégaux alors que l’offre de places d’apprentissages n’est pas suffisant dans certains secteurs. La Confédération a repris l’idée dans tout le pays par la suite.).

  3. Posté par Peyhem Veys le

    Ah la vache, ça va fumer aux toilettes…

  4. Posté par Duval C. le

    Tout à fait d’accord avec Cenator ! Je pense que nous pouvons facilement multiplier par dix le chiffre estimé d’illégaux.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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